« Une
ado qui manque de respect » : Ségolène Royal ne cautionne pas
#JeSuisMila
VIDÉO.
L'ancienne ministre a estimé sur France 3 qu'il n'était pas sérieux
de créer un débat sur la laïcité à partir de propos tenus par une
adolescente.
Ségolène
ROYALne tweetera pas #JeSuisMila, le mot-clé devenu un signe de ralliement
pour soutenir l'adolescente qui avait critiqué l'islam, recevant un
torrent d'insultes et de menaces de mort. Interrogée sur la question
dimanche 2 février dans l'émission Dimanche en politique sur France
3, l'ancienne ambassadrice des pôles estime que « critiquer une
religion, ça n'empêche pas d'avoir du respect, de l'éducation, de la
connaissance, de l'intelligence par rapport à ce qu'on dit ». Elle refuse
surtout « d'ériger une adolescente qui manque de respect comme le parangon
de la liberté d'expression ».
Affaire Mila : retour sur dix jours de polémiqueL'ancienne ministre ose une comparaison : « Si elle avait dit la même chose sur son enseignant, sur ses parents, sur sa voisine, sur sa copine. Qu'est-ce qu'on aurait dit ? Un peu de respect ! » De plus, elle affirme qu'on ne peut créer un débat sérieux sur la laïcité « à partir des déclarations d'une adolescente de 15 ans ».
« Atteinte à la liberté de conscience » ?
L'« affaire Mila » a déchaîné les passions ces derniers
jours et relancé le débat sur le droit au blasphème. Une controverse qui a
emporté jusqu'à la ministre de la Justice, Nicole Belloubet.
Le mercredi 29 janvier, elle déclarait que « l'insulte à la
religion est évidemment une atteinte à la liberté de conscience », avant
de se rattraper et de s'excuser pour cette expression « maladroite »,
qui ne visait pas à remettre en cause « le droit de critiquer la
religion ».Nicole Belloubet, garde des sots, la chronique de Sophie Coignard
Dans les colonnes du Point, Franz-Olivier Giesbert réaffirme lui que, « jusqu'à nouvel ordre, nous sommes en France où, Dieu merci, si j'ose dire, la loi nous autorise à dire n'importe quoi sur les religions. La jeune fille n'a en aucune façon enfreint la loi ».
D'autres personnalités, comme le philosophe Raphaël Enthoven, ont apporté leur soutien à l'adolescente et dénoncent le manque de courage ou l'opportunisme de certains responsables politiques dans cette affaire.
Quant
à la jeune fille, les menaces sur les réseaux sociaux ont obligé les autorités
à la déscolariser. Elle se retrouve aujourd'hui sans affectation scolaire,
dans l'attente d'une solution du rectorat.
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Comme « une empêcheuse de
tourner en rond » qui va à la pêche aux voix, pitoyable politicienne
qui voulait et voudrait être présidente de notre république ?!
Et surtout revenir sur la scène
politique française, elle n’a toujours pas compris ?!
Par pitié qu'elle se taise, à chaque
fois qu’elle ouvre sa bouche, c’est pour dire des inepties, elle est inutile à
la vie politique française dont elle a déjà profité sous cette V eme république
vieillissante devenue obsolète dans notre pays !
Tout ça, parce qu’une adolescente a
vidé son sac en disant ce qu’elle pense avec peut-être excès, mais avec
courage, qui de par sa jeunesse n’a pas utilisé la langue de bois des nombreux bienpensants
de tous bords donneurs de leçons hypocrites qui polluent la vie des français
lambda !
Jdeclef 03/02/2020 13h14LP
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