mardi 19 novembre 2013

LA PRESSE ET LES MEDIAS AMPLIFIENT DES FAITS GRAVES ET CELA PEUT BIEN SUR ENTRAINER UNE CERTAINE PARANOÏA BIEN QUE LE MOT SOIT EXAGÉRÉ!

 Illustration de la station Auber sur la ligne A du RER

Fusillades à Paris: «Attention à la paranoïa»

REPORTAGE - L'homme soupçonné d'avoir ouvert le feu, ce matin dans les locaux de Libération, a ensuite pris le métro pour aller sur les Champs Élysées. On est allé demander aux usagers ce qu'ils en pensaient...

«Et vous? Vous avez peur?» Priscilla renvoie la question dans un sourire. Puis enchaîne. Le tireur actuellement en fuite dans les rues de Paris? «Bien sûr que c'est inquiétant. Surtout quand quelqu'un s'attaque aux gens qui vous informent.»
Cette histoire de tireur, entré dans les locaux du journal Libération puis aperçu à la Défense, et sur les Champs Élysées où il serait entré dans le métro, elle «a appris ça sur Internet...» Et elle sait aussi qu’«il porte un jeans clair, qu’il a des cheveux poivre et sel». Mais bon, «attention à la paranoïa quand même», tempère la jeune femme, qui patiente à proximité de la station Auber, sur le boulevard Haussmann. Parce que, «des gens spéciaux, il y en a plein dans les transports».

«Je ne suis pas très craintif»

Un peu plus loin, une femme s'engouffre dans les escaliers de la station de RER. «Pas du tout au courant», de ce qui s'est produit dans la matinée, elle reconnaît toutefois: «On vit dans un monde dangereux», avant de disparaître. Quant à Boubkem, habitué de la ligne 3 du métro, il nuance: «Le plus inquiétant, c’est si on n’arrive pas à le retrouver avec toutes ces caméras de surveillance.»
Quelques mètres plus bas, le flot de passagers charrié par la ligne A, sur le quai de la station Auber, ne semble pas perturbé outre mesure par cette menace.

Je ne pense pas qu'il y ait plus de paranoïa, suite à ces attentats du à un homme seul, bien que dangereux c'est certain, mais pas plus que la violence subit dans les grandes villes en général 


Les parisiens ou franciliens en rentrant de leur travail pour regagner leur domicile dans les moyens de transports en commun métro RER Transilien ne semblaient pas énervés ou inquiets dans leurs attitudes, c'était calme et leurs conversations ne parlaient pas particulièrement de ce fait divers.

jdeclef19.11.2013 -

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