mardi 12 novembre 2013

SI F.HOLLANDE CAMPE SUR CES POSITIONS, LES BONNETS ROUGES SE CHANGERONT EN BONNETS TRICOLORES ET ALORS LÀ…





Manifestation au passage de François Hollande lors des cérémonies du 11 novembre, en 2013.

Pas d'armistice à la contestation de Hollande

POLITIQUE - Des sifflets, des incidents et 73 interpellations en marge des célébrations autour de l'Arc de Triomphe...

Un petit groupe de manifestants qui scandent «Hollande démission», des huées qui accompagnent le chef de l’État lorsqu’il dépose une gerbe sur la tombe du soldat inconnu, des sifflets lorsqu’il sort de la mairie d’Oyonnax (Ain), où il a prononcé un hommage aux résistants de 1943... S'il n'est pas le premier président à être régulièrement conspué  lors de ses sorties publiques, aucun chef de l'État n’a connu de 11 novembre, instant solennel s’il en est, aussi agité. 

Au moins 73 personnes ont été interpellées à Paris. Des militants «liés à l’extrême droite» et au «Printemps français», un mouvement  opposé à la loi sur le mariage pour tous, a assuré Manuel Valls pour qui, en dépit de certains bonnets rouges très visibles qui ont manifesté leur hostilité à Hollande, il n’y avait pas «de Bretons» parmi les fauteurs de trouble. 

Ces manifestations sont «inacceptables et insupportables», a-t-il tancé.

Un point de vue, une fois n’est pas coutume, partagé par une bonne partie la classe politique. «On ne manifeste pas le jour des commémorations», a commenté Marine Le Pen, tout en notant «la désunion et la souffrance» qui règne en France. 
Contester Hollande le 11 novembre, «le moment ne s’y prête pas», a jugé Hervé Morin, le président du nouveau centre et ex-ministre de la Défense. 
A l’UMP, difficile de dire qu’on – Jean-François Copé et François Fillon en tête - se soit bousculé pour soutenir le chef de l’État mais Valérie Pécresse,  secrétaire générale du parti, a réagi clairement sur Twitter: «Huées franchement déplacées car en ce jour de mémoire et d'hommage à nos morts, Hollande représente la République».  

«Ce qui est touché, ce n’est pas le Président, c’est la République. Ceux qui ont fait ça ont craché sur les valeurs de la République et sur les tombes des millions de morts de la Première guerre mondiale», a tonné le député PS Pascal Terrasse.

«Une digue symbolique qui saute peu à peu»

Ces manifestations sont déplorables et impardonnables surtout pendant cette cérémonie mémorable forte importante pour notre histoire contemporaine pour la mémoire des français dont toutes les familles ont été touchées par la grande guerre et pour rendre hommage envers leurs anciens, morts pour la France et sa liberté!

Mais malheureusement, certains ont choisis cette date pour manifester leur colère (anti mariage pour tous, extrême droite, bonnet rouge etc.) 

Pour que le président, car c'est lui qui était bien sur visé, arrête de faire l'autruche et écoute la protestation forte de nos concitoyens enfin!
 
Car, c'est tous les français, cette majorité "encore" silencieuse qui n'en peuvent plus, les sondages le montre 22% seulement soutiendraient F.HOLLANDE ? Idem pour son 1er ministre!

Rien ne va plus, si le président ne change rien dans les semaines à venir, nous approcherons d'une situation insurrectionnelle, dangereuse ou anarchique!

J'espère comme d'autres comme moi âgé, que cet homme n'est pas un irresponsable borné!

JDECLEF12.11.2013 -

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