dimanche 24 novembre 2013

MAIS SI, ILS ONT COMPRIS, « LE CHACUN POUR SOI » ET LEURS PROPRES AVANTAGES COMPTE PLUS QUE TOUT LE RESTE DU MONDE PERDURE « ALORS APRÈS NOUS LE DÉLUGE »!

Tania, ourse polaire de 15 ans, tire la langue au zoo d'Amsterdam, le 26 mai 2011

Climat: La conférence de Varsovie s'achève sur un accord...

CLIMAT - Après plus de trente heures de négociations...

Chaud. La conférence climat de Varsovie est parvenue samedi in extremis à un accord qui pose les premiers jalons sur le chemin jusqu'au grand rendez-vous de Paris en 2015, mais offre un avant-goût de la difficulté des négociations à venir avec les grands émergents, la Chine en tête. Ce texte est venu couronner plus de trente heures de négociations non-stop dans le grand stade de Varsovie, où se tenait cette conférence rassemblant plus de 190 pays et qui devait s'achever officiellement vendredi.
«Juste à temps, les négociateurs à Varsovie ont fait juste ce qu'il fallait faire pour que ce processus continue d'avancer, a commenté Jennifer Morgan, directrice du Centre de recherches World Resources Institute (WRI). Les représentants des différents pays doivent désormais rentrer chez eux et faire des progrès significatifs sur leurs offres [en matière de lutte contre le changement climatique] qui doivent devenir la colonne vertébrale du nouvel accord sur le climat.»

L'inde et la Chine s'opposent à l'Europe et aux États-Unis

L'ambition de la conférence de Varsovie était de poser les fondations de l'ambitieux accord attendu en 2015 à Paris sur les réductions de gaz à effet de serre. Pour la première fois, l'accord doit concerner tous les pays, être légalement contraignant et suffisamment ambitieux pour limiter le réchauffement du globe à 2°C par rapport à l'ère préindustrielle, contre la trajectoire actuelle de 4°C. Mais les négociations ont buté toute la journée sur la position intransigeante de la Chine et de l'Inde qui se sont opposées à l'Union européenne et les États-Unis sur la formulation du texte. Les deux pays n'ont cessé d'insister pour continuer à être considérés comme des «pays en développement», et à ce titre, ne pas devoir en faire autant que les pays industrialisés contre le réchauffement.

Une formulation acceptable par tous

On pourra (je veux dire le monde et aussi certains des pays émergents peut être plus concernés, car ils veulent rattraper leurs retards industriels) quand leurs pays seront ravagés par des catastrophes naturelles de plus en plus nombreuses et de plus en plus fortes espérer qu'ils en prendront conscience et en tireront les conséquences avant qu'il ne soit trop tard!

Depuis le 19 eme siècle et la révolution industrielle le risque de changement climatique et la pollution humaine augmente exponentiellement et maintenant on s'en rencontre visuellement!

Certains pays comme la Chine ou l'Inde par leur expansion démographique et leur progrès industriels galopants ne veulent pas de cet accord qui les contraindrait à faire certains efforts, mais s’ils ne le font pas de toute façon ils en paieront indirectement les conséquences, car ils ne sont pas à l'abri de ces dérèglements climatiques!

Les humains sont égoïstes vénal et le chacun pour soi est une règle encore bien appliquée de part le monde, d’ailleurs, ils se font la guerre depuis des siècles pour préserver leurs pré carré et ses avantages mêmes si c'est au détriment des autres (et même quelque fois entre les citoyens à l’intérieur d'un même pays) alors pour le monde entier, cela à l'allure d'une utopie!

Ne rêvons pas trop sur ces palabres de grandes messes sur le climat, l'environnement ou la pollution, quand tout le monde rejette la responsabilité sur les autres depuis des décennies beaucoup de bla-bla et peu de résultat hélas!

jdeclef24.11.2013 -

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