lundi 29 avril 2019

Ça y est, c’est parti les palabres sans fin bien français pour réparer et restaurer la cathédrale Notre Dame de PARIS !


Reconstruction de Notre-Dame : Emmanuel Macron va-t-il trop vite ?

Dans une tribune publiée dimanche dans « Le Figaro », 1 000 experts du patrimoine invitent le chef de l'État à ne pas précipiter la restauration de la cathédrale.

L'incendie ravageur de la cathédrale Notre-Dame de Paris a laissé les Français sous le choc. Emmanuel Macron a promis la reconstruction de l'édifice d'ici à cinq ans, mais certains appellent le chef de l'État à ne pas se précipiter. Dimanche, dans une tribune publiée sur le site du Figaro, plus d'un millier d'experts en patrimoine plaident auprès du président de la République : ils lui demandent d'éviter la « précipitation » dans la restauration de la cathédrale, et l'appellent à ne pas s'affranchir des règles de protection du patrimoine.
« N'effaçons pas la complexité de la pensée qui doit entourer ce chantier derrière un affichage d'efficacité », interpellent 1 170 conservateurs, architectes et professeurs français et étrangers dans ce texte mis en ligne dimanche, alors qu'Emmanuel Macron a promis de reconstruire d'ici cinq ans le joyau de l'art gothique en partie détruit par un incendie il y a deux semaines. « Prenons le temps de trouver le bon chemin et alors, oui, fixons un délai ambitieux pour une restauration exemplaire », plaident-ils.


Les signataires, parmi lesquels le conservateur des monuments nationaux, Laurent Alberti, critiquent le choix du gouvernement de passer pour ce chantier par un projet de loi autorisant des dérogations aux normes de protection patrimoniale. Les « choix » pour la restauration du monument doivent se faire « en ayant une approche scrupuleuse, réfléchie, de la déontologie » ajoutent-ils dans cette tribune, intitulée « Monsieur le Président, ne dessaisissez pas les experts du patrimoine ! ».


Plusieurs voix dans le monde de la culture, dont l'animateur Stéphane Bern et l'ancien ministre de la Culture Jack Lang, ont également exprimé leur préoccupation à l'encontre de ces dérogations. Le ministère de la Culture a, pour sa part, assuré qu'il ne s'agissait « nullement de déroger aux principes fondamentaux de la protection du patrimoine ». Les règles, pour les dérogations, « sont très étroitement délimitées » et l'exposé des motifs de la loi « vise spécifiquement la législation applicable aux abords des monuments, et non les monuments eux-mêmes », assure-t-il.
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C’est désespérant la profusion « des empêcheurs de tourner en rond » qui pullulent dans notre pays et son gouvernement qui vont se charger de transformer cet accident déplorable en politique politicienne stérile au détriment de l’efficacité requise que l’on attend, ( exemple : d’ailleurs il semble que l’on ait reçu trop d’argent des donations diverses et qu’on ne sache pas quoi faire du surplus !?)

Car il faut bien plaire à tous ses bobos et spécialistes divers qui compose l’aréopage des pseudos experts inutiles ou fonctionnaires qui ce contre disent en se regardant le nombril et le ministre de la culture qui ni connait rien ou les architectes du patrimoine divers qui ont laissé se dégrader le reste de bien de nos monuments réduit pour certains à l'état de ruine, sans compter ceux qui ne rêvent que de se faire mousser pour être choisi car, ça rapporte en termes de notoriété et financier !

Pour le reste, c'est déjà de trouver des entreprises compétentes efficaces, et couvrir rapidement le trou béant laissé dans le toit pour éviter que l'état de l'édifice ne s'aggrave par l'humidité !

Pauvre FRANCE pays de donneurs de leçons sachant tout, mais qui freine souvent l'action requise sur bien des problèmes !

Jdeclef 29/04/2019 09h19LP

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