Les principales mesures de l'allocution reportée d'Emmanuel
Macron
Suppression de l'ENA, baisses d'impôts, réindexation des
petites retraites, RTL détaille les mesures qu'aurait dû annoncer le chef de
l'État.
Le Premier ministre Édouard Philippe l'avait annoncé, les baisses d'impôts figuraient parmi les premières doléances des Français lors du grand débat national. Emmanuel Macron s'apprête donc à annoncer des baisses d'impôts pour les classes moyennes. Elles seront en partie financées par la suppression de certaines niches fiscales.
Emmanuel souhaite que les Français
travaillent plus
Un
point qui risque de cristalliser les tensions avec l'exécutif : le chef de
l'État souhaite que les Français travaillent plus. Si le cadre n'a pas encore
été défini, l'Élysée réfléchit à plusieurs scénarios : réduire le nombre
de jours fériés, modifier la durée du travail hebdomadaire ou encore retarder
l'âge de départ à la retraire.Cette dernière proposition irait contre l'avis du haut-commissaire à la réforme des retraites Jean-Paul Delevoye. L'ex-médiateur de la République avait notamment menacé de démissionner si jamais la situation concernant l'âge légal de départ à la retraite n'était pas clarifiée. Ses propositions devraient être remises courant juin au gouvernement.
Le retour de l'ISF n'est pas
envisagé
Comme
attendu, la réindexation des petites retraites fera bien partie des mesures
décidées par le président de la République. Elle concernera les retraités avec
moins de 2 000 euros de pension, le tout sera réindexé sur
l'inflation. Lors des différentes réunions auxquelles Emmanuel Macron a
assisté, il a réaffirmé à plusieurs reprises son intention de ne pas revenir
sur la suppression de l'ISF. Chose promise, chose due, il n'y aura pas de
retour en arrière sur ce point. Le chef de l'État compte également s'engager
sur une promesse qui pourrait être difficile à tenir : suspendre les
fermetures d'écoles et d'hôpitaux jusqu'à la fin de son mandat.Lire aussi Sébastien Le Fol - La réponse au grand débat, c'est Blanquer qui l'a
Autre sujet récurrent dans les
manifestations des Gilets jaunes : l'instauration du référendum
d'initiative citoyenne (RIC). Il ne sera que partiellement appliqué pour les
sujets locaux et non pour des problématiques d'ordre national. Enfin, Emmanuel
Macron a décidé de répondre favorablement à une demande hautement symbolique
des manifestants : la suppression de l'école normale de la haute
administration (ENA).
Sans être cynique, est-ce une chance ou malchance
pour le président ce drame qui a touché bien des français ..? ( Car en politique
on fait feu de tout bois...)
Certaines mauvaises langues diront qu'il
gagne du temps sur un sujet attendu qu'il a du mal à aborder ..?
Prenant comme prétexte ce très grave
incendie de NOTRE DAME DE PARIS et les conditions à organiser pour récolter des
collectes fonds de la part de la solidarité des français (comme d'habitude) pour réparer ce monument de notre histoire de
France...
Toutefois, il ne faut pas qu'il ne fasse
pas trop traîner les réponses qu'il doit fournir à ce débat qu'il organisé et
fait à sa demande, ce qui ne tarderait pas de faire croire qu'il veuille gagner
du temps, car n'ayant pas de réponses satisfaisantes à donner à nos concitoyens
!
Ce serait une erreur de plus sur celles
qu'il a fait depuis le début de son quinquennat et nos concitoyens se
chargeraient surement de lui reprocher, car hélas cet événement comme toute
catastrophe naturelle puisque semble-t-il accidentelle, n’occultera pas la vie
déjà difficile de certains français lambda dans leur quotidien !
Jdeclef 16/04/2019 14h45
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