jeudi 25 avril 2019

Normal il en sort comme d'autres que l'on a subi en tant que ministres et autres politiciens nommé ou élus !


« Une école de référence » : François Hollande prend la défense de l'ENA

L'ancien chef de l'État appelle à démocratiser le recrutement des grandes écoles plutôt qu'à les supprimer, comme cela pourrait être le cas de l'ENA.

FRANCOIS HOLLANDE vole au secours de l'ENA, en voie de disparition. À la veille d'une conférence de presse d'Emmanuel Macron qui pourrait annoncer la suppression de l'École nationale d'administration, l'ancien président de la République a pris la défense de cette école de « référence » dont il est lui-même issu. « J'ai fait cette école, je ne m'en repens pas, je ne me flagelle pas en me disant c'est terrible, j'ai fait cette école », a-t-il déclaré lors d'un débat organisé autour de l'édition augmentée de son livre Les Leçons du pouvoir dans une librairie de Strasbourg, où l'ENA est installée depuis les années 1990.
Interrogé sur la défiance croissante envers les élites et les « grandes écoles », il a estimé que « ce qui est critiquable dans la fabrication des élites, c'est l'étroitesse sociale ». « Ce sont toujours les mêmes catégories qui se retrouvent, génération après génération, dans ces écoles », a-t-il déploré, même si des « progrès » ont été effectués par certaines d'entre elles, comme Science Po « qui s'est ouverte aux quartiers populaires ».

 « Démocratiser les recrutements dans les écoles »

« On en est loin pour l'ENA », a concédé l'ancien chef d'État. « Ce qui est le plus troublant en France, c'est ce qu'on appelle les réseaux, ceux qui se partagent les responsabilités, les postes. (...) C'est ça qu'il faut essayer de briser, mais ça suppose qu'on démocratise les recrutements dans ces écoles, pas qu'on les supprime », a-t-il poursuivi. « Qu'on puisse réformer, diversifier, je comprends pleinement cet objectif, mais attention, ne cassons pas ce qui est regardé par beaucoup de pays comme une référence », a-t-il encore mis en garde, rappelant que, lorsqu'il était président de la République, « il y avait des chefs d'État de pays émergents qui (lui) disaient : Est-ce qu'on ne pourrait pas créer une ENA dans notre pays  ? » « Ce serait quand même un comble qu'on la supprime quand d'autres veulent la créer », a observé François Hollande.
Emmanuel Macron pourrait confirmer jeudi lors d'une conférence de presse la suppression de l'ENA, annonce qu'il s'apprêtait à faire lors de son allocution du 15 avril annulée en raison de l'incendie de Notre-Dame, selon plusieurs médias, dont l'Agence France-Presse. L'ENA a formé en un peu plus de soixante-dix ans quelque 7 000 hauts fonctionnaires français et a accueilli plus de 3 700 élèves étrangers, venus de 134 pays. Quatre présidents de la Ve République - Emmanuel Macron, François Hollande, Jacques Chirac et Valéry Giscard d'Estaing - en sont diplômés.

Ce n’est pourtant pas le meilleur exemple à citer comme ancien énarque ?!

Il ne va pas dénigrer cette institution qui accouche trop de fonctionnaires bornés et élus qui sont à mille lieues des préoccupations des français !

Mais lui hélas n’a pas à s’en vanter tant il a été médiocre s’étant nourrit pendant des années de la politique comme un coq en pâte comme secrétaire du PS !

Et surtout qui a été élu ce bavard par défaut suite à la défection de DSK !

D’ailleurs son ex compagne de qui il a eu plusieurs enfants est de même acabit et de même promotion que lui toute aussi nulle désolé de le dire !

En plus ce pleutre sans amour propre n’a rien trouvé mieux que de jeter l’éponge sans combattre avant de finir son quinquennat calamiteux !

Il faut croire que les français ont une propension à élire de mauvais dirigeants surtout depuis 30 ans ?!

Et hélas cela ne s’améliore pas car nos concitoyens se font toujours rouler par des beaux parleurs dont la coquille est vide quand on la casse à la fin de leur mandat !

jdeclef 25/04/2019 13h53
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