Le ministre du Redressement productif Arnaud
Montebourg, le 27 février 2013 à Bercy.
Sur le dossier PSA, il désamorce les critiques: «Nous n'avons pas déserté. PSA va perdre 8.000 emplois, ce qui est terrible, mais notre rôle est de garantir un avenir aux 90.000 autres salariés du groupe. Notre politique, c'est le donnant-donnant.»
Idem chez Renault. «Nous avons obtenu plus de 1 milliard d'euros d'investissements ainsi que l'engagement de relocaliser une partie de la production du groupe en France, pour la porter à hauteur de 710.000 véhicules par an contre 520.000 aujourd'hui. Ce sont des choses tangibles. Bien sûr, cela demande des efforts de la part des salariés, comme un gel des salaires pendant un an, mais il y a des contreparties», détaille le ministre.
Depuis un an, Montebourg assure avoir sauvé plus de 65.000 emplois
ÉCONOMIE - Sur les 76.809 menacés...
«Une année de combat.» Dans un entretien accordé au Monde, le ministre du Redressement productif, sur 500 dossiers traités par ses services, estime avoir sauvé 84,7% des emplois menacés. Au final, ce sont donc 65.031 emplois qui ont été sauvés, assure Arnaud Montebourg.Des sacrifices à tout le monde
«Notre travail est de prendre les dossiers un par un, sans abandonner une seule de nos entreprises. Notre stratégie? Maintenir les outils industriels dans la durée. Pour cela, c'est vrai, nous demandons des sacrifices à tout le monde, aux actionnaires, aux dirigeants, aux salariés, aux banquiers, à l'Etat... ce qui peut créer des mécontentements», détaille le ministre.Sur le dossier PSA, il désamorce les critiques: «Nous n'avons pas déserté. PSA va perdre 8.000 emplois, ce qui est terrible, mais notre rôle est de garantir un avenir aux 90.000 autres salariés du groupe. Notre politique, c'est le donnant-donnant.»
Idem chez Renault. «Nous avons obtenu plus de 1 milliard d'euros d'investissements ainsi que l'engagement de relocaliser une partie de la production du groupe en France, pour la porter à hauteur de 710.000 véhicules par an contre 520.000 aujourd'hui. Ce sont des choses tangibles. Bien sûr, cela demande des efforts de la part des salariés, comme un gel des salaires pendant un an, mais il y a des contreparties», détaille le ministre.
ARRÊTONS CETTE AUTOSATISFACTION
GOUVERNEMENTALE INDIGESTE SVP !
C’est bien d'avoir (soit disant sauvé 65000 emplois)
Mais d'en trouver pour les 3 millions et plus pour les
chômeurs et tous ceux qui arrivent sur le marché du travail ce serait mieux!
Pour l'instant le gouvernement n'arrive même pas à stabiliser
la montée du chômage, alors qu'ils fassent profils bas, ces politiciens élus,
nantis un peu de pudeur SVP!
jdeclef06.05.2013 -
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