Illustration
d'un policier en patrouille.
Paris: Un policier poignardé, trois personnes en garde à vue
FAITS DIVERS - L'homme blessé était en civil mais a décliné son identité de
policier avant de se faire agresser...
Trois personnes soupçonnées d'avoir poignardé un policier à Paris dans la
nuit de vendredi à samedi ont été placées en garde à vue et un quatrième
suspect est toujours recherché, a-t-on appris ce samedi de sources policières.
L'origine de l'agression, survenue samedi matin vers 1h30 rue de Rivoli,
dans le centre de Paris, semble être un différend entre automobilistes, a dit à
l'AFP une source policière.
Invectives et bagarre
Selon Emmanuel Autret du syndicat Alliance, le policier âgé de 35 ans
«sortait d'une soirée privée dans un appartement quand il a été abordé par un
véhicule monté par quatre individus».
«Prétextant une queue de poisson, ils ont invectivé notre collègue qui est
alors sorti de son véhicule avant de décliner son identité de policier. Et là,
tout s'est enchaîné. (Les agresseurs) se sont rués sur lui et dans la bagarre,
il a reçu trois coups de couteau» au niveau des côtes, a-t-il ajouté.
Dès lors qu'un fonctionnaire de police décline sa fonction, il est
considéré en service, a précisé Emmanuel Autret.
Source legifrance gouvt.fr :
·
Quelqu'un tue une autre
personne au cours d'une bagarre : coups et blessures volontaires, ce qui
est un délit.
·
Ainsi, en droit pénal français, les infractions sont classées dans trois catégories, selon leur
gravité : contraventions, délits, et crimes.
·
Toute personne qui, volontairement, aura porté des coups ou
commis des violences ou voies de fait ayant entraîné une maladie ou une
incapacité totale de travail personnel pendant plus de huit jours sera punie d'un
emprisonnement de deux mois à deux ans [*durée*] et d'une amende de 500 F à
20.000 F [*taux résultant de la loi 77-1468 du 30 décembre 1977*] ou de l'une
de ces deux peines seulement.
·
sur un avocat, un officier public ou ministériel, un agent de
la force publique ou un citoyen chargé d'un ministère de service public, dans
l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses
fonctions ;
«Ils voulaient se faire du flic»
Je crois qu'une "certaine" partie de la société
française ne veut plus respecter l'ordre et autrui (on sait laquelle d'ailleurs, mais en parler à mots ouverts est
politiquement incorrect)
De plus, ce même type d'individus n'hésitent pas à
s'attaquer aux forces de l'ordre en général, car ils n'ont pas peur des
sanctions et "ce faire un flic" (expression
reprise dans l'article) devient un sport pour se défouler, en fin de
semaine, mais c’est passé à un cran au dessus, car ils ne se contentent pas de
rosser ces fonctionnaires, ils n'hésitent pas à tuer!
Dans la lignée du fameux "il est interdit
d'interdire" soit disant d'une société débridée ou tout serait permis!
Le tout agrémenté par une justice laxiste et édulcorée
par notre très chère sainte C.TAUBIRA qui pense que "tout le monde est
beau et gentil" et qui rabote le code pénal au lieu de le durcir
(et de punir très sévèrement, les individus
qui s'attaquent aux policiers, gendarmes, pompier etc et toutes forces de
l'ordre ou services publics qui sont là pour nous protéger voire nous secourir
ne l'oublions pas!)
Et on veut remettre la morale à l'école, et bien il y a
un boulot immense avec le retard pris depuis trente ans, car le respect
d'autrui et des institutions de la république, beaucoup s'en fichent pour
l'avoir oublié ou même ne pas l'avoir appris du tout!
jdeclef05.05.2013 -
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