vendredi 1 avril 2016

Des informations suite à PV judiciaires parvenues aux médias, qui les arrange à leur « sauce journalistique » en matière de terrorisme c’est inadmissible !

Attentat déjoué en France : ce que Reda Kriket a dit en garde à vue


TF1 a eu accès aux déclarations de l'islamiste français de 34 ans mis en examen pour association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste.

Ce sont dix interrogatoires dans lesquels Reda Kriket multiplie les propos mystérieux et contradictoires. Selon TF1, qui a eu accès aux procès-verbaux de la procédure, Reda Kriket, 34 ans, s'est défendu d'avoir fomenté un attentat sur le sol français. Entendu pour la première fois vendredi 25 mars au soir par les policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), l'islamiste annonce d'emblée : « Je n'ai rien à voir avec les attentats de Paris et de Bruxelles. »
L'homme se décrit comme un simple « vendeur de bibelots » et dit ne pas réaliser « ce qu'il se passe ». Ajoutant cependant : « Des fois, cela me démange de vous parler. » L'homme se sait recherché par la police belge et est détenteur d'un faux passeport. C'est lui qui, à l'été 2015, avait loué un appartement à Argenteuil dans lequel la police a trouvé un véritable arsenal de guerre la semaine dernière lors de perquisitions. Lui jure ne pas être le propriétaire des armes : « On m'a donné de l'argent pour prendre l'appartement, pour une année de location. On m'a donné environ sept ou huit mille euros (...) j'étais chargé de trouver un appartement et de le garder, et aussi de garder ce qui était à l'intérieur. (...)  Je dormais dans cet appartement même si cela me dégoûtait avec tout ce qu'il y avait dedans, mais j'avais pas le choix, car j'étais recherché par la police », raconte-t-il, selon des propos rapportés par TF1.

« J'aime bien le modèle corse »

Reda Kriket, après 24 heures d'audition, va finir par livrer la « kounia » (le nom de guerre) du mystérieux livreur d'armes : un certain Abou Badr, un « Libyen ou Maghrébin » de plus de 50 ans, parlant mal le français. Reda Kriket jure ne pas connaître sa véritable identité, affirme ne pas savoir s'il était un cadre de l'EI ou pas, mais assure qu'il n'est plus sur le territoire hexagonal. Il avoue avoir été influencé par le charisme de son interlocuteur et avoir fait des recherches sur les explosifs parce que ce dernier le lui ordonnait. « J'ai du mal à refuser », confesse-t-il.
« Rien n'est sorti de l'appartement », ajoute Reda Kriket, qui explique que la plus grande partie du matériel retrouvé dans l'appartement était destiné au grand banditisme et non pas à accomplir des actes de terrorisme. L'homme affirme n'être allé en Turquie fin 2014 que pour suivre son ex-compagne et pour s'occuper « d'un chat » trouvé sur place... Enfin, Reda Kriket jure aux policiers qu'il ne fait pas partie de Daech et qu'il préfère le « modèle corse » : « Ils font sauter des choses, des grandes maisons, mais ils ne tuent pas les gens. »
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On se demande comment de telles informations et discours rocambolesques de cet individu illuminé on put parvenir aux médias déjà friandes de scoop sensationnel (selon des propos rapportés par TF1 ce qui veut tout dire, donc il faut en prendre et en laisser !)

Si soit disant des médias ont accès à des procès-verbaux judiciaires si facilement on peut se demander pourquoi la justice va si mal et cette pratique ne peut qu’augmenter en plus les sentiments de manque de sécurité anxiogène des français en ces périodes de terrorismes islamiques dont nos autorités soulignent l’augmentation !
Il faudrait cesser de faire avaler tout et n’importe quoi aux français lambda, et aussi que nos enquêteurs et justice ne se laissent pas enfumer par ces apprentis terroristes islamiques de tous poils ou ex délinquants de bas étages voir illuminés aux cerveaux lavés par des prêcheurs qui se servent d’une religion pour les pervertir et en faire des bombes humaines !
Jdeclef 01/04/2016 10h17

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