Le ministre de l'Intérieur belge Jan Jambon, le 15 avril
2016
Monde
Belgique:
«Une partie des musulmans a dansé lors des attentats », affirme le
ministre de l'Intérieur
POLÉMIQUÉ Le nationaliste flamand Jan Jambon estime
que la politique d’intégration des étrangers en Belgique a échoué...
Jan Jambon, figure de proue de la Nouvelle alliance flamande (N-VA), parti qui est un pilier de la coalition de droite au pouvoir depuis octobre 2014, ne précise pas à quels attentats il fait allusion, ceux de Paris en 2015 (130 morts le 13 novembre) ou ceux de Bruxelles le 22 mars (32 morts).
Et Jan Jambon d’enchaîner : « Ils ont jeté des pierres et des bouteilles en direction de la police et de la presse au moment de l’arrestation de Salah Abdeslam. C’est ça le vrai problème. »
La Belgique « a ignoré
pendant des années les signaux de détresse »
« Les
terroristes, on peut les arrêter, les écarter de la société. Mais ils ne sont
qu’une pustule. En dessous se trouve un cancer beaucoup plus difficile à
traiter. Nous pouvons le faire, mais pas du jour au lendemain », assure
encore le ministre, qui revendique de dépasser « la pensée politiquement
correcte » et d'« appeler un chat un chat ».Il explique aussi que le « danger » lié à la radicalisation de jeunes issus des troisième et quatrième générations de l’immigration a désormais « trop profondément pris racine » dans certains quartiers, car la Belgique « a ignoré pendant des années les signaux de détresse ».
Molenbeek, vivier de djihadistes en Belgique
Après les attentats du 13 novembre à Paris et Saint-Denis, Jan Jambon avait créé la polémique en promettant de « nettoyer Molenbeek », quand il était apparu que plusieurs membres des commandos ayant frappé Paris étaient issus de cette commune qui a désormais la réputation d’être un des principaux foyers du djihadisme en Europe.
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Attention quand même, ce ministre est
nationaliste et flamand donc à tendance plus extrémiste plus ressentie dans
cette partie du pays belge !
Ceci étant la Belgique touchée comme la
France par cet islamisme terroriste réagit par la voix d'un de ces dirigeants
en laissant de côté « le
politiquement correct hypocrite » et essaie d'appeler « un chat un chat » en
dénonçant des faits inadmissibles si avérés!
Ce n’est pas en France que l’on verrait
cela, car nous avons trop de bienpensants hypocrites et des dirigeants donneurs
de leçons et on attend toujours que « la
goutte fasse déborder le vase » pour agir fermement (l’année 2015 et avant en a été l’exemple !)
Et puis on est le pays des sacro-saint
droits de l’homme, ou il ne faut pas faire bien sûr d’amalgame mot tabou que
l’on nous sert à tout bout de champs comme leitmotiv !
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