lundi 18 juillet 2016

N.SARKOZY, ESTROSI et consorts ne font qu’aboyer, car n’étant plus au pouvoir, et dans l’opposition, mais ils l’ont été et ont la mémoire courte !


Société

Attentat de Nice: Pour Sarkozy, «tout ce qui aurait dû être fait depuis 18 mois ne l'a pas été»


POLITIQUE «Je sais parfaitement que le risque zéro n'existe pas», a indiqué dimanche l'ancien chef de l'État, mais «nous avons une obligation de moyens pour assurer la sécurité des Français»...

Le ton était très ferme. Nicolas Sarkozy, président du parti Les Républicains, a affirmé que tout ce qui aurait dû être fait «depuis dix-huit mois» et l'attentat de Charlie Hebdo «ne l'a pas été», dimanche sur TF1, trois jours après l'attentat de Nice.

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«Le risque zéro n'existe pas»


«Je sais parfaitement que le risque zéro n'existe pas», a-t-il ajouté, mais «nous avons une obligation de moyens pour assurer la sécurité des Français». «Nous sommes en guerre, une guerre totale. Nos ennemis n'ont pas de tabous, pas de frontières, pas de principes. Donc, je vais employer des mots forts: ça sera eux ou nous», a-t-il déclaré, ajoutant qu'une «autre politique est possible».

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Il a estimé que l'appel du gouvernement à rejoindre la réserve opérationnelle civile après l'attentat de Nice qui a fait 84 morts, n'était pas de nature à «résoudre le problème du terrorisme», même si, a-t-il souligné, «personne ne pense» que ce «ne soit pas bien».

Martelant «qu'il y a des choses qu'on aurait dû faire», Nicolas Sarkozy a souligné que son camp demandait par exemple «depuis 18 mois que la consultation de sites jihadistes soit considérée comme un délit», ce qui, a-t-il souligné, n'a été «voté qu'en juin et ne rentrera en vigueur peut-être qu'en octobre».

Création de centres de déradicalisation


Il a aussi plaidé pour la création de centres de déradicalisation et réclamé à nouveau que «l'ensemble des personnes sur les fichiers "S" - 11.400 -, fassent l'objet d'une analyse précise». Selon lui, les fichés S étrangers soupçonnés de liens avec le terrorisme devraient être «mis dehors en urgence absolue» et ceux qui présentent des risques de radicalisation devraient porter un bracelet électronique, être assignés à résidence ou mis en centre de rétention.

L'ancien chef de l'État a également plaidé pour une «fermeture des lieux de culte dont nous ne voulons pas sur notre territoire» et la création d'un centre de renseignement dans les prisons, ou encore «la mise à l'isolement de tous les détenus condamnés pour terrorisme islamique».

Il a par ailleurs dit douter de la «radicalisation rapide» de l'auteur de l'attentat de Nice. «Il m'étonnerait beaucoup qu'un individu totalement isolé puisse louer un véhicule de dix-neuf tonnes, on a vu que c'était très préparé, l'enquête le dira», a-t-il noté, en soulignant que le terroriste avait agi «selon un mode opératoire qui a été très précisément recommandé par Daech». «Nous sommes face à un terrorisme islamique. Il faut nommer l'ennemi», a-t-il ajouté.

Tacles de la majorité


Interrogé sur l'absence d'union nationale, Nicolas Sarkozy a aussi répliqué: «Est-ce que vous croyez vraiment que le souci des Français est de savoir si on va se faire des risettes, des sourires, se tendre la main?», soulignant que les Français veulent de la sécurité, après «sept attentats depuis Charlie et l'Hyper Cacher» en janvier 2015.

Tout en affirmant refuser de «polémiquer» avec l'exécutif, il a trouvé «un peu effrayant» que le président François Hollande «annonce aux Français» dans son allocution du 14 juillet, à la mi-journée «que les choses vont tellement bien que l'état d'urgence est supprimé, pour rétablir l'état d'urgence à minuit».

Dans la foulée, les réactions sur Twitter n'ont pas tardé et notamment au sein du gouvernement à l'image du ministre de la Justice.

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Nicolas SARKOZY fait de la politique politicienne et fait feu de tout bois, comme ESTROSI chantre de l’hyper surveillance, c’est bien facile puisque dans l’opposition et quand ils étaient au pouvoir, on n’a rien fait de plus (même moins en diminuant les effectifs de police par exemple…)

 

La conclusion pour les français est simple, c’est qu’ils n’ont plus confiance en leur dirigeants pour les protéger et lutter efficacement contre ce terrorisme islamique, et qu’ils constatent qu’ils sont toujours aussi bavards se rejetant les fautes ou manquements les uns sur les autres et en plus en profitant de ce contexte pour faire de la basse politique de caniveau en ne pensant qu’aux élections et à 2017 !

 

Si cela pouvait faire enfin réfléchir nos concitoyens pour mieux voter autrement que de reprendre les mêmes, ce serait la seule chose de positif (mais il ne faut pas rêver !?)

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