dimanche 31 juillet 2022

Encore un multi cultivé très critique qui a su profiter jusqu'à présent des avantages divers pour en plus donner des leçons !?

 

Ai Weiwei : « L’Occident a atteint un stade critique »

ENTRETIEN. L'artiste chinois en exil livre au « Point » une vision pessimiste des démocraties libérales comme de la Chine, les renvoyant dos à dos sur le plan idéologique.

POUR FAIRE SIMPLE LA CHINE ENVAHISSANTE C’EST REVEILLEE ET CE VIEUX PERIL JAUNE DEVIENT UNE OMELETTE A SUVEILLER DE PRES AVANT QU’ELLE NE DEBORDE !

Né à Pékin en 1957, fils du célèbre poète chinois Ai Qing (艾青), Ai Weiwei (艾未未) est considéré comme l'un des plus grands artistes contemporains. Connu mondialement pour avoir créé des œuvres révolutionnaires, tant sur le plan artistique que politique, il est devenu une figure majeure de l'opposition au pouvoir chinois. Se définissant comme un « postimpressioniste », il a été influencé par Van Gogh. La peinture lui permit d'ailleurs d'échapper à la réalité communiste qui, dit-il, n'était pour lui qu'un « désastre permanent ». Certaines de ses œuvres seront présentées à l'automne au musée Guimet à Paris. Son père, Ai Qing, fut un proche de Mao Zedong et le poète le plus prisé en Chine jusqu'à sa disgrâce en 1957, lors de la campagne antidroitière. Dans son livre, 1000 ans de joies et de peines (Buchet-Chastel), Ai Weiwei explique : « Le pillage des richesses foncières dépasse de loin toutes les autres formes d'accumulation du capital en Chine. » Depuis son départ pour l'étranger, l'intellectuel est devenu un activiste influent dont la mission se résume à quelques mots : les valeurs universelles s'appliquent à tous les pays du monde, y compris la Chine.

Le Point : Quel regard portez-vous sur l'Occident en ce moment ?

Ai Weiwei : Si l'on observe l'Occident dans une perspective globale, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, nous avons assisté à la naissance d'une société plus démocratique qui a bénéficié d'une liberté extraordinaire. En ce qui me concerne, j'ai passé douze ans aux États-Unis, de 1981 à 1993, puis vingt-deux ans à Pékin. Depuis 2015, je vis à l'étranger, et je vois l'Occident confronté aujourd'hui à d'énormes problèmes. Nombre de ces diffcultés sont des conséquences directes de l'époque coloniale. Nous sommes aujourd'hui entrés dans une nouvelle époque postcoloniale, celle de la globalisation, de l'avènement d'un nouvel ordre mondial.

Pour de nombreuses raisons, l'Occident a atteint un moment critique. Il a bénéficié, depuis ces trente dernières années, d'une période de prospérité accompagnée d'un développement rapide, qui provient essentiellement de cette globalisation en cours. Elle a d'ailleurs aidé la Chine, comme d'autres, à se développer, mais aussi à devenir des concurrents. Lorsque ce phénomène a commencé, personne n'y a prêté attention car l'idée était avant tout de tirer profit d'un marché en rapide expansion. L'Occident en a profité pour exporter dans ces pays tous les problèmes engendrés par la globalisation, dans le secteur de l'emploi, par exemple, tout particulièrement en Chine. Tout ce que l'Occident ne pouvait pas ou ne voulait pas produire, la Chine acceptait de le faire, sans broncher, même si cela pouvait engendrer l'illégalité, l'empoisonnement même, les abus, les droits bafoués des ouvriers.

Aujourd'hui, la société occidentale ne parvient pas à transformer ces avancées en réels progrès dans son mode de vie. Les fruits, les légumes, mais aussi une myriade de produits de consommation sont disponibles, à profusion. Parallèlement, la société s'est transformée avec l'apparition d'une nouvelle génération qui cherche à comprendre ce nouveau monde. Tout a effectivement changé à un point incroyable ! La technologie y a aussi contribué. Et voilà l'Occident confronté à des problèmes de nature morale dans cette lutte acharnée à laquelle se livrent les êtres humains au sein de cette nouvelle société. Une société engagée dans une étape où la moralité est devenue une question majeure. Une autre question est celle des effets de la concurrence avec la Chine, bientôt aussi avec l'Inde et avec d'autres pays. L'Occident ne pourra plus continuer longtemps ainsi.

Certes, vous autres, Occidentaux, conservez encore une certaine avance, mais la Chine et d'autres pays rattrapent leur retard. À cela s'ajoutent d'autres problèmes graves tels que les atteintes à l'environnement, la baisse des ressources du sol et de l'eau, l'immigration, les guerres régionales comme celle en cours en ce moment. Comment résoudre tous ces problèmes ? Les solutions techniques n'y suffiront pas, car le mal est plus profond. Il s'agira de trouver une approche globale : le monde trouvera-t-il des solutions à tous ces problèmes engendrés par un développement trop rapide ?

Comment vivez-vous vos liens avec l'Occident ? Quel bénéfice en avez-vous retiré ? Qu'avez-vous appris ?

Enfant, en « exil intérieur », en 1958. Ai Weiwei a grandi dans les camps de rééducation où était envoyé son père, Ai Qing, célèbre poète, ancien proche de Mao, tombé en disgrâce lors de la campagne antidroitière. © Collection personnelle/SP

Fondamentalement, je suis un dissident. Pas vraiment sur le plan politique : je suis plutôt entré en dissidence avec toute forme d'autoritarisme, du fait de ce que mon père a vécu. Il a fait ses études à Paris dans les années 1930 puis, de retour en Chine, il a été jeté en prison par les autorités communistes. Il avait été arrêté une première fois par les nationalistes du Guomindang qui l'avaient condamné à six ans d'emprisonnement. L'année de ma naissance, en 1957, les communistes l'ont relégué dans le nord-est de la Chine puis, plus tard, dans la région du Xinjiang, dans le nord-ouest du pays. Au total, mon père a passé vingt ans de sa vie en exil intérieur. C'est ainsi que j'ai grandi, avec ces camps de rééducation pour environnement immédiat. J'ai passé cinq ans dans une sorte de trou creusé dans la terre. Mon père était forcé de nettoyer les toilettes publiques. C'était là les pires conditions qu'un être humain pouvait expérimenter. Vous n'étiez pas mieux loti qu'un animal. C'était là le fondement de mon éducation : vivre dans cet enfer quotidien. Je réalisais à quel point une société peut devenir brutale, irrationnelle et inhumaine. J'ai ainsi eu le désir de quitter la Chine pour découvrir une autre réalité, et j'ai opté pour les États-Unis.

Une fois arrivé là-bas, je me suis mis à étudier les arts. Mais, très vite, j'ai découvert combien il était difficile, voire impossible, pour un jeune étudiant chinois qui parlait mal l'anglais de survivre. C'était très dur. Bien sûr, il m'était possible de gagner quelques poignées de dollars et de payer mon loyer. Mais, vous voyez, j'ai alors compris que le capitalisme ne vaut pas beaucoup mieux que le communisme dans le registre de l'humanisme. Certes, il vous est loisible de critiquer qui vous voulez devant quiconque veut bien vous écouter. Le fait est que le capitalisme s'accompagne d'une forme de brutalité qui peut être comparée, dans une certaine mesure, à celle du communisme.

Au bout de douze années, moi qui pensais ne jamais revenir en Chine, j'ai pris la décision d'y retourner. Mon père était gravement malade, c'était peut-être la dernière occasion de le voir. J'y ai finalement passé vingt-deux ans; C'était la période où la Chine était vraiment en train de rattraper son retard. Tout changeait très vite. Mais je n'ai plus jamais aimé cette Chine-là, c'était devenu le diable. Le régime en place en était venu à tout contrôler, les cerveaux des gens, leurs pensées. Du plus haut jusqu'au plus bas de la hiérarchie, tout, absolument tout, est surveillé, chaque ruelle, chaque croisement… La technologie et la pandémie de Covid-19 ont fini de lui donner les moyens de s'emparer de la totalité de la vie de la population.

Le principal objectif est d'intimider, de faire peur. Ils déploient des efforts gigantesques pour s'introduire dans tous les aspects de la vie des gens. Pour les dirigeants chinois, prendre le contrôle est une question de vie ou de mort. S'ils relâchent leurs efforts en la matière, tout risque de s'écrouler. Pour la simple raison que ce régime n'a aucune légitimité. Et là vous réalisez leur degré de couardise dans une société où règne un empereur : son pouvoir ne vient pas de la négociation mais de l'intimidation, de la peur et du contrôle.

Ai Weiwei : « Le contrôle de l'État chinois est devenu encore plus efficace »

Ne pensez-vous pas que l'Occident, en particulier les États-Unis, a fait preuve de naïveté à l'égard de la Chine ?

Il ne s'agit pas de naïveté, mais de la nature même du capitalisme, celle d'un monstre qui est attiré par l'odeur du sang. Le capitalisme n'est pas très sophistiqué. Je suis désolé, mais c'est une réalité objective. Les Occidentaux confondent souvent générosité et naïveté. Cela n'a rien à voir, car l'intention reste celle de la recherche du gain, de faire de l'argent.

Pensez-vous que l'Europe a désormais quitté la marche de l'Histoire ? Quel peut être son rôle aujourd'hui ?

L'Europe est, elle aussi, pragmatique. Si le soleil tape dur, s'il fait chaud, vous n'avez plus besoin de porter votre veste. Vous pouvez l'enlever. Peut-être même n'avez-vous plus besoin de porter une chemise s'il vous vient l'idée de plonger dans la mer. Ainsi, l'Europe n'a-t-elle plus besoin de ces vieux costumes qui ne servent plus à rien. La réalité est que le monde est toujours divisé. Bien sûr, il reste des situations où les intérêts en Europe sont convergents. Il en va ainsi de la France, du Royaume-Uni ou de l'Allemagne. Mais, quand vient le moment de faire le bilan et de compter les billets, les divisions sont de retour et la concurrence reste la norme. Je ne sais pas combien de temps cette situation va perdurer et même peut-être empirer encore. Car il faut bien voir que les intérêts nationaux ne cessent de prendre de l'importance. Mais aussi longtemps que les intérêts resteront convergents en Europe, elle restera unie.

Mais ne pensez-vous pas que la guerre en Ukraine a commencé à changer ces mentalités ? Surtout en Europe ?

En effet, cette guerre a ramené les Européens à la réalité. Les liens entre les Européens s'étaient quelque peu délités et aujourd'hui le conflit en Ukraine a conduit l'Europe à revenir dans le jeu avec les États-Unis. Et voilà que ces derniers en profitent pour retrouver un certain ascendant. L'Otan aussi. Mais rien n'est encore joué, l'Union européenne peut bénéficier de davantage d'unité ou de son exact contraire. On pouvait avoir l'impression que l'une des conséquences de la guerre en Ukraine serait peut-être l'apparition d'un monde multipolaire dans lequel les pays de petite ou moyenne envergure pourraient de nouveau se faire entendre. Or c'est peut-être l'inverse qui se produit : le monde reste divisé en deux camps, d'un côté ce que l'on nomme les démocraties et de l'autre les régimes autoritaires. Peut-être ces régimes sont-ils devenus plus sophistiqués qu'ils ne l'étaient il y a cinquante ou soixante-dix ans. À cette époque, l'idéologie reposait sur des bases très simples, voire simplistes : d'un côté l'Occident capitaliste et de l'autre le monde communiste. Aujourd'hui, les dirigeants le disent sans s'embarrasser de formules de politesse : ce qui compte, c'est la recherche du profit dans un monde qui reste interdépendant. Bien avant que l'on s'attache à parler d'idéologie, l'urgence est celle des contrats à signer, des opportunités à saisir. L'idéologie reste néanmoins dangereuse car elle dresse les populations les unes contre les autres, étant par essence un facteur de divisions. La situation actuelle est celle d'une lutte à mort de nature capitalistique. Or celle-ci est aussi dangereuse, car l'on voit apparaître des riches et des ultrariches. Dans cette guerre à outrance, les pauvres risquent fort de bientôt devenir complètement inutiles. C'est déjà le cas dans les pays capitalistes. Les nantis n'ont plus besoin des pauvres. Quant au marché pour les consommateurs, il se déplace peu à peu vers la Chine ou d'autres pays émergents. Ce déséquilibre est bien là et il engendre la concurrence avec des pays qui veulent rattraper leur retard.

Vous êtes un artiste et un intellectuel. Ne pensez-vous pas que le matérialisme est insuffisant pour les êtres humains ? N'ont-ils pas besoin de davantage de spiritualité, d'une identité culturelle forte ? N'est-ce pas aussi le cas en Chine ?

Ai Weiwei sur les rives de Lesbos, en Grèce, en 2016. Humaniste et exilé, l’artiste chinois était venu rendre visite aux migrants arrivés en masse sur l’île grecque. © Collection personnelle/SP

Vous touchez là un sujet très intéressant. Oui, la spiritualité est indispensable. Ces questionnements sur le sens de la vie, pourquoi est-on sur cette terre ? La vie n'est qu'un passage. Il est plus que jamais crucial pour les êtres humains de s'interroger sur ces questions. Parmi elles, évidemment, figure la peur de mourir. La vie et la mort, vaste débat ! La question centrale est celle de la nourriture pour les âmes. En Occident, pendant longtemps, l'idée dominante avait été celle de la satisfaction immédiate de ses désirs et de ses besoins. Jouir de l'instant présent. Le confort, la sécurité : voilà bien une erreur de la pensée dominante. Comment, dans ces conditions, peut-on parler de l'intérêt de l'éducation, de la place de l'individu dans une communauté ? De tout cela découlent des problèmes nouveaux.

S'agissant de la démocratie et des valeurs universelles, êtes-vous d'avis que, un jour, elles finiront par s'imposer ?

Il existe bien des variantes en démocratie. Je ne sais toujours pas quel est le modèle qui fonctionne le mieux. Dans ce monde d'aujourd'hui, la démocratie repose essentiellement sur l'éducation donnée aux gens, leur degré de conscience, leur droit de choisir le régime politique qu'ils veulent.

Reformulons la question. Les valeurs universelles ont été édictées en 1948 aux Nations unies. Il y en a cinq : des élections libres, le multipartisme, une presse libre, une justice indépendante et la liberté d'expression. Ces valeurs universelles seront-elles un jour adoptées par toute l'humanité ? Qu'en pensez-vous ?

Un nombre croissant de pays vont probablement les adopter. En ce qui concerne la Chine, la conception des droits humains est totalement différente de celle de l'Occident. Par essence, elle est biaisée et même fausse. Mais la conception de l'Occident est, dans une certaine mesure, tout aussi hypocrite. On parle de la liberté d'expression, mais que représente-t-elle, en vérité ? Tout le monde peut s'exprimer. Prenons la Fondation Bill-Gates. Récemment, elle a décidé de verser une forte somme d'argent. Cette donation va au Spiegel en Allemagne, au Guardian ou à la BBC au Royaume-Uni, ou encore à CNN aux États-Unis. Chacun de ces médias a reçu 16 000 ou 17 000 euros dans le cadre d'une opération de relations publiques de cette fondation qui, au total, a ainsi dépensé quelques centaines de millions d'euros.

Une évidence s'impose : les médias occidentaux sont tous sous la coupe de financiers dont l'objectif prioritaire reste le profit. Selon une enquête menée par l'université Columbia de New York, la Fondation Bill-Gates a dépensé plus de 300 millions d'euros ces deux dernières années dans le but unique de réaliser une opération de relations publiques servant les intérêts de Bill Gates. Le lobbying est devenu une véritable culture. Tous les gouvernements dégagent un budget pour des opérations de lobbying. La plus grande menace qui pèse sur les valeurs universelles aujourd'hui est celle de la recherche de profits par les grandes entreprises. Bien entendu, la Chine ignore ces valeurs. Mais il appartient à l'Occident de les protéger.

Xi Jinping, un Staline made in China

S'agissant du président Xi Jinping, songe-t-il à son intérêt propre, celui de rester dans l'Histoire de son pays, ou au bien-être de son peuple ?

Xi Jinping, tout comme Deng Xiaoping ou d'autres dirigeants chinois, fait partie de la nation chinoise. Même si, bien sûr, il pense à lui et à son avenir, Xi Jinping pense à son peuple. Je ne crois pas qu'il soit uniquement intéressé par lui-même et ses ambitions. Mais ce n'est pas la même chose s'agissant des dirigeants occidentaux. Le problème pour eux est qu'ils sont entourés de bureaucrates et que leur mandat est limité. Ils ont peu de temps pour agir, ils n'ont pas le temps de satisfaire leurs ambitions, qu'elles soient d'ordre politique ou d'une autre nature. Ce n'est pas le cas de Xi Jinping, de Deng Xiaoping et même de Mao Zedong. Je pense que Xi Jinping veut faire son job. En Chine, nous avons aussi ce dicton : « Buzai qiwei, bumu cherong » (不在其位 补木车荣), ce qui signifie : « Si vous n'êtes pas dans la même situation, vous ne pouvez pas savoir. » Puisque vous n'êtes pas à leur place, il vous reste la possibilité de les observer en train de jouer aux échecs ou au go.

Êtes-vous un communiste ? Un libéral ? Qu'est-ce qui vous fait avancer ?

Je dirais que je suis simplement un être humain sur cette terre. Je ne suis ni communiste ni capitaliste. Mais il reste que je suis partie prenante à ce combat entre êtres humains. Souvenons-nous de Karl Marx ou de Lénine qui parlaient de lutte des classes. Comment les humains s'en sortent-ils face à tous ces bouleversements que nous vivons aujourd'hui ? Le capitalisme fait partie du darwinisme : la volonté de gagner par la sélection naturelle. Nous parlons de l'environnement, de la nature, de la meilleure façon de vivre ensemble, mais les êtres humains ont besoin d'une sorte de révolution car, sans elle, on s'approche d'un suicide collectif. Bien sûr, la situation actuelle a ses avantages. La concurrence, par exemple. La compétition nous amène à nous dépasser. Mais l'aspect le plus terrible de la nature humaine est cette course effrénée au profit et à l'argent. Comment trouver des solutions à cet état de fait ? La philosophie nous aidera sans doute à trouver le bon équilibre.

Quel rôle doit être celui des arts pour prendre part à l'élaboration d'un monde nouveau ?

L'art est l'une des facettes de l'humanité. Il ne lui est pas possible de changer le monde à lui tout seul. Le plus important pour nous est de nous connaître nous-mêmes. Nous devons nous regarder dans un miroir pour nous comprendre et, ensuite, aller ensemble de l'avant. Sans se regarder dans un miroir, nous pouvons vivre, certes, mais quelle tristesse !

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défauts et bien faits de ce monde qui change que se soit le communisme ou le capitalisme ou la liberté pas totale mais dirigée par des bien pensants hypocrites donneurs de leçons plus intelligents qui s'ingénient à vider les cerveaux de certains plus faibles dans les peuples du monde qui effectivement change par les progrès quelquefois artificiels qui vont plus vite qu'eux !

En fait ce monde change de plus en plus vite çà c'est un fait quand on se base à titres d'exemples sur nos guerres multiples et notamment les plus grandes mondiales mais pas seulement car il ne faut pas oublier le mysticisme religieux qui pollue ses changements et empire ce qui souligne la faiblesse humaine depuis + de 2000 ans qui peut être sera la perte de l'humanité ?!

Le communisme a partiellement diminué comme le colonialisme pour augmenter le capitalisme et son argent roi virtuel dévastateur autant que nos pandémies et leurs virus de cet infiniment petit invisible éminemment dangereux que l'ont subi de plus en plus mais que l’on n’arrive pas à maitriser totalement car issu d'apprenti sorcier bien plus responsables humains !

Le plus grave défaut des humains si différents malgré que certains les disent égaux une escroquerie intellectuelle c'est qu'ils sont incapables de s'unir sur cette terre leur seul endroit pour vivre et survivre correctement en simplement se respectant et en partageant ce monde fait pour eux qu'ils détruisent sans vergogne ainsi que les autres hommes femmes et enfants dont tous n'ont que 100 ans à vivre et se disent après moi le déluge !

En versant des larmes de compassions si communes à nos dirigeants que nous avons élus et souvent mal choisis qui nous rapprochent de cette fin de ce monde qui se dégrade grâce à nos fautes humaines !

Jdeclef 31/07/2022 11h01


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