mardi 19 juillet 2022

Plutôt que proposer il faut agir maintenant car le cas de ce malade RUSSE est incurable !

 

Stocks d’armes : l’UE propose 500 millions pour favoriser l’achat commun

Le commissaire Breton détaille le projet européen de renflouer les stocks d’armes par des achats communs, plutôt que chaque pays en achète seul de son côté.

Depuis FEVRIER 2022 que nos dirigeants USA OTAN compris ne disent pas être au courant puisqu’ils n’ont pas vu monter (soi-disant) cette invasion et guerre en UKRAINE (et d’autres avant comme l’annexion de la CRIMEE ou guerres en Tchétchénie et Géorgie !?)  CELA PROUVE QUE NOUS SOMMES MAL DEFENDU PAR NOS DIRIGEANTS BAVARDS QUI DOIVENT CESSER DE PERORER DANS DES BLA-BLA CREUX VIDES DE SENS ET ENFIN AGIR !

Après cinq mois de guerre en Ukraine, les stocks d'armes et de munitions sont au plus bas en Europe. Le moment est venu de renflouer. Le problème que Thierry Breton, commissaire européen à la Défense (et au Marché unique), essaie de résoudre est double : d'une part, empêcher l'Allemagne et son gros carnet de chèques de rafler toute la production en ne laissant que des miettes aux autres pays européens, d'autre part, éviter que les 27 ne se ruent sur des armes extracommunautaires en négligeant de conforter l'outil industriel européen. Sa solution : un instrument d'achat en commun, en favorisant au maximum les commandes communes entre États membres.

« Cette initiative permettra de reconstituer une partie des stocks qui ont été entamés suite à la réponse unie et solidaire de l'Europe en matière de transfert d'armes à l'Ukraine », lance le commissaire Breton. Il a convaincu la Commission de le suivre sur ce chemin en proposant aux États intéressés une sorte de « carotte » incitative : les États membres qui se coordonneront pour des achats communs pourront obtenir une part de financement européen.

Défense européenne : Thierry Breton propose aux 27 des achats d'armes en commun

La Commission a gratté 500 millions d'euros sur deux ans en puisant dans les marges du budget européen. Les fonds européens ne seront décaissés que si le projet d'achat commun remplit un certain nombre de critères. Or ces critères sont exactement les mêmes que ceux du Fonds européen de la Défense (consacré à la recherche et à l'innovation) : les États membres qui se regroupent doivent au moins être trois (plus ils sont nombreux, mieux c'est) ; les armes achetées ne doivent être sujettes à aucune restriction d'usage et les projets devront contribuer à la compétitivité de l'industrie de défense européenne.

Une carotte de 500 millions d'euros

L'Allemagne, avec son fonds spécial de 100 milliards d'euros consacré à remettre sa défense à niveau, a annoncé qu'elle consacrera 20 milliards d'euros à l'achat de munitions. Si elle passe commande sans se soucier des autres, elle peut absorber à elle seule « quatre ans de capacité manufacturière en Europe », indique une source bruxelloise. Le plus gros client de l'industrie militaire peut donc tout rafler. Ce serait désastreux pour les petits voisins. L'Estonie, si petite en comparaison, va dépenser 200 millions d'euros…

Ces munitions « rôdeuses » dont la France veut se doter

Une task force a été créée autour du commissaire Breton et en rapport avec les États membres pour cartographier la base industrielle de l'UE. Les armes recherchées sont surtout les missiles antiaériens et antichars, des pièces d'artillerie légère et lourde. Le commissaire Breton a l'ambition d'aller vite. Ce nouvel instrument sera proposé aux législateurs pour une adoption à l'automne et une entrée en vigueur début 2023. Les achats se feront par les États membres, qui obtiendront, ensuite, un remboursement partiel avec ce fonds de 500 millions d'euros sur deux ans.

Les critères d'éligibilité taillés pour favoriser l'industrie européenne

Dans le règlement financier, il est précisé que l'allocation des fonds ne sera pas indexée sur les montants des achats. Il est difficile de dire, dès à présent, quelle quote-part des contrats sera remboursée. Vraisemblablement, selon les projets, la part des montants pris en charge par le budget européen variera entre 7 et 20 %. Ce qui signifie qu'avec un fonds de 500 millions d'euros, le commissaire Breton peut espérer mutualiser une dépense militaire de l'ordre de 5 milliards d'euros.

La condition posée selon laquelle les armes et munitions achetées ne devront pas être soumises à restriction d'usage est très importante. De fait, elle exclut certaines industries militaires : le règlement ITAR (International Traffic in Arms Regulations) américain pose des restrictions, les missiles Spike de la firme israélienne Rafaël sont soumis à des limitations, la Suisse soumet aussi l'usage de ses équipements à des restrictions. Autrement dit, l'industrie militaire américaine n'est pas exclue du champ de l'instrument européen, mais à condition que les restrictions d'usage soient levées.

Baverez – Otan : le retour de la guerre froide

« Notre proposition complète le Fonds européen de Défense et sera pérennisée par un futur programme permanent d'acquisitions conjointes d'ici la fin de l'année », précise le commissaire Breton. Mais il va falloir convaincre les Allemands de passer par cet instrument commun. Thierry Breton a commencé par sensibiliser les pays nordiques, et surtout les baltes. Le ministre letton de la Défense, Artis Pabrik (également vice-Premier ministre), a, semble-t-il, été un indéfectible soutien, étant donné la considération et le respect dont il fait l'objet auprès de ses homologues dans son voisinage.

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Dictateur déjanté, POUTINE peut se reproduire et de plus, il faut déjà l'empêcher d'aller plus loin dans son escalade guerrière invasive à nos frontières européennes occidentales !

L'OTAN semble lui faire peur tant mieux mais pas suffisant car les USA sont loin des états européens mais si l'Europe Unie ne se désolidarise pas et se renforce ce ne sera que mieux !

Il faut compter nos alliés européens fiables et agir rapidement en cessant de bavarder comme le fait certains de nos dirigeants, notre président bavard en tête !

Car l'attaquant dans une guerre a toujours l'avantage et en Ukraine, ce Russe fou nostalgique de l'ex-empire russe ou de l'URSS ne connait que la force et on ne peut négocier avec lui car c'est un menteur dangereux !

On a déjà trop perdu de temps en bavardages creux inutiles mais comme l'union fait la force, il faut s'unir en matière d'armement et lutte économique pour sauver notre Europe de tous ceux qui veulent la mettre à mal (car il n'y a pas que la Russie poutinienne !)

On s'est endormi depuis + de trente ans après la chute du mur de BERLIN et la fin de la guerre froide !

On est presque revenu au départ de cette fausse embellie par l'optimisme bêta de nos dirigeants qui ne privilégiaient que l'argent roi d'outre atlantique et qui n'ont même pas assez réagit à la première crise économique de 2008 et qui ont subi en plus cette crise sanitaire pandémique de la COVID toujours là !

Donc, il faut que nos dirigeants puisque hélas, on dépend d'eux réagissent rapidement, se taisent et travaillent pour lesquels ils ont été élus au lieu de s'écouter parler comme chez nous en FRANCE !

Car il s'agit de nos libertés et sécurité qui sont en jeux et c'est cela qui doit compter prioritairement !

Car pour essayer de préserver la paix il faut préparer la guerre et cesser de penser que la Russie n’est pas une puissance militaire gouverné par un déséquilibré paranoïaque !?

JDECLEF 19/07/2022 12H42


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