mardi 12 juillet 2022

MÉLENCHON vieil empêcheur de tourner en rond qui ne roule que pour lui et s'amuse comme un fou en se fichant des Français lambda ! Encore un politicien inutile !

 


Christine Clerc – Buen Viaje, señor Mélenchon !

CHRONIQUE. Le leader de La France insoumise s’envolera, demain, pour une tournée en Amérique latine. Comme chaque année, 2020 comprise malgré le confinement.

ET CE PERSONNAGE VOULAIT ETRE 1ER MINISTRE DE LA FRANCE MAIS DE QUI SE MOQUE-T-IL  SE VOYAIT-IL COMME DANS UNE DICTATURE SUD AMERICAINE  CE MALADE QUI S’IGNORE  CA SUFFIT  LES EXCITES  ILLUMINES  !

Vous vous demandez ce que je fous là ? lançait-il en 2019 à ceux qui s'étonnaient de le voir partir si souvent et si longtemps en Amérique du Sud. Voilà : c'est le seul endroit au monde où il y a une rupture avec le néolibéralisme ! » Du Mexique à l'Uruguay, en passant par l'Argentine, le Brésil – où il rendait visite à son ami Lula, encore en prison à l'époque – et le Venezuela, où un dictateur, Nicolas Maduro, avait succédé à un autre, Hugo Chavez, Jean-Luc Mélenchon cultivait ses amitiés et tissait sa toile de leader imaginaire d'un nouveau monde face aux États-Unis.

En 2020, alors que la pandémie Covid-19 interdisait aux Français de franchir les frontières et que ses futurs alliés Verts condamnaient les longs trajets en avion, le fondateur de La France insoumise n'hésitait pas, lui, à retourner en Équateur et en Bolivie : pour participer à une Journée mondiale de la Terre et rencontrer quelques prétendants d'extrême gauche provisoirement évincés du pouvoir.

On évoquait alors les voyages de François Mitterrand, que Mélenchon le trotskiste désignait, avec affection, du même titre que celui attribué par ses camarades à Léon Trotski : « le Vieux ». Mexico, octobre 1981. Alors que s'ouvre, à Paris, la bataille parlementaire des nationalisations, le président socialiste, reçu à Mexico par le président José Lopez Portillo, prononce un discours « fondateur » place de la Révolution, à deux pas du Palacio nacional, où de Gaulle lança, en 1964, son célèbre « Marchamos la mano en la mano ».

De Gaulle, Mitterrand, Chirac : les seconds mandats finissent mal… en général

« Aux fils de la révolution mexicaine, clame-t-il, j'apporte le salut des fils de la Révolution française ! » Les socialistes français jubilent. Au congrès PS de Valence, Paul Quilès (décédé en 2021) entre dans l'histoire en clamant : « Il ne faut pas dire, comme Robespierre, "des têtes doivent tomber", mais dire lesquelles et le faire ! » Mais le jour même, à Cancún, où vient d'atterrir au milieu de la pelouse, écrasant de puissance, l'hélicoptère de Ronald Reagan (les 20 autres chefs d'État sont venus de l'aéroport en voiture ), le président français, très pâle, doit en rabattre : lors de sa conférence de presse, il ne prononcera pas le mot « révolution » .

« En rabattre avec le rêve »

Octobre 1989, à Caracas. Réélu pour un second septennat, Mitterrand dit sa « fierté » et sa « joie » d'être accueilli par le nouveau président du Venezuela. À ce pays si cher au cœur de Danielle Mitterrand, de même que Cuba et la plupart des pays « révolutionnaires » d'Amérique latine, mais miné par les trafics de drogue et, malgré ses immenses ressources pétrolières, par un début de grave récession, il promet une aide de la France. Cependant, évoquant ensuite ses souvenirs devant quelques journalistes, il devra convenir que, depuis Cancún, il a « dû en rabattre avec le rêve ». Un an plus tard, d'ailleurs, le président socialiste engagera la France dans la guerre du Golfe aux côtés de l'Amérique de George Bush père. Fini, le rêve ?

Luisa Ortega : « La fin de Maduro est proche »

Pas pour Mélenchon. Lui ne cessera d'œuvrer à une alliance anticapitaliste et anti-USA. Certes, il ne devrait pas se rendre, cet été, au Venezuela. Les Français commencent à découvrir la situation épouvantable, au bout de presque trente ans de dictature « socialiste », d'un pays qui fut l'un des plus riches d'Amérique latine : une inflation atteignant 284 % l'an dernier, une misère croissante, qui pousse de plus en plus d'Uruguayens à tenter d'émigrer.

Sans compter d'énormes difficultés de ravitaillement qui obligent, raconte la propre fille de Régis Debray, Laurence Debray, autrice d'un livre accablant, Fille de révolutionnaires, à faire la queue durant des heures pour se procurer à prix d'or une maigre cuisse de poulet. Tout cela, et même si la censure règne là-bas et si la presse n'en parle pas beaucoup ici, les Français commencent à le savoir. Un coup de projecteur sur le « modèle vénézuélien » ferait donc un effet déplorable. Cela desservirait la Nupes, qui lui doit jusqu'à présent ses succès. Mélenchon se contentera donc cette année de séjours au Mexique, au Honduras, puis en Colombie.

« Personne ne va lui succéder » ?

Au fait, croit-il encore vraiment à son grand dessein d'une Amérique latine défiant les États-Unis avec le soutien d'une France d'extrême gauche ? Ou bien, pour continuer d'occuper la scène en semant tour à tour l'effroi et l'admiration, s'accroche-t-il à des mythes ? Les pays auxquels il va rendre visite sont justement ceux qui ont refusé, malgré l'invasion de l'Ukraine, de suspendre la Russie du Conseil des droits de l'homme des Nations unies. Mélenchon irait-il jusqu'à saluer, si elles avaient lieu, des manœuvres navales qui pourraient réunir, selon des rumeurs menaçantes, des forces venues de Chine, de Russie et d'Iran dans les eaux du Venezuela… à 4 000 kilomètres des côtes américaines ?

Éric Coquerel, un trotskiste à la commission des Finances

Sa haine des États-Unis demeure apparemment intacte. Et sa peur de disparaître progressivement, à 71 ans, de la une des journaux et des émissions télévisées le rend plus inventif et provocant que jamais. Certes, ses amis n'ont pas manqué de le couvrir d'éloges. « Ça va rester le chef. Ça reste notre leader politique », affirme le nouveau président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, Éric Coquerel, tandis que la députée Insoumise de la 17e circonscription de Paris, Danièle Obono, le jure : « Personne ne va succéder à Jean-Luc Mélenchon, ni être son héritier. » Mais lui sait bien qu'il lui faudra, sans cesse, continuer d'inventer des « coups » pour exister.

----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Et qui va se ressourcer dans ces pays, fausses démocraties totalitaires qu'il affectionne d'Amérique du sud !

Ce politicien dit de gauche ex-socialiste ayant créé cette NUPES mosaïque de partis de cette gauche moribonde avec son parti LFI aboyeur trublion mal élevé à l'assemblée nationale !

Il a raté son coup Mr l'ex-1er ministre virtuel et ne s'est pas représenté à la députation !

Cela ne fait que confirmer l'inutilité de ces politiciens de tous bords, extrémistes ou autres de partis devenus à la limite marginaux !

Car avant, il y avait le RN de M.LE PEN qui confirme qu'elle s'est acheté une conduite de parti de droite classique et ne s'oppose pas forcément directement au parti présidentiel en s'abstenant lors des votes des lois présentées à l'assemblée par la 1ere ministre BORDE !

(D’ailleurs Mélenchon lui-même s'en était méfié et avait demandé de ne pas voter pour elle ce qui n'a pas marché car avait-elle récolté 42 % de suffrage à l'élection présidentielle et a 89 députés à l'assemblée nationale !)

Mais surtout il faut bien comprendre que c'est E.MACRON qui a poussé à cette division, n'ayant pas beaucoup de choix car mal aimé par certains Français de tous bords !

Car durer 10 ans c'est long notamment après un 1er quinquennat médiocre et les indécisions du président, principal de ses défauts lors des crises diverses et mécontentements voire violents depuis 2018 ce qui est tôt dans une mandature présidentielle !

Les Français l'ayant réélu par défaut car n'ayant pas de remplaçant valable dans la classe politique d'opposition, le tout sur fond de guerre en Ukraine aux frontières de l'Europe occidentale !

Quant au vieux MELENCHON il faut cesser d'en parler car la flamme de sa bougie va s'éteindre d'elle-même et il devrait vraiment penser à la retraite, car 2027 c'est trop loin pour lui !

Jdeclef  12/07/2022 14h55


1 commentaire:

  1. Dire la simple vérité et appeler "un chat un chat" n'est pas toléré par ces modérateurs du point "ânes bâtés" incurables inféodés à leur rédaction dont on connait les idées marquées pro macronienne ce qui n'est pas correct en matière d'impartialité en tant qu'hebdo qui est censé faire de l'information sans arrière pensée politicienne débile ! Et surtout qui ne respecte pas la liberté d'expression droit inaliénable inscrit dans notre constitution !

    RépondreSupprimer