vendredi 15 juillet 2022

Le mouvenent macronien n'a jamais vraiment existé avec cette ex REM parti fantome : Tant pis pour lui et hélas pour nous Français qui subissons les mécontentements divers justifiés !

 

Pourquoi le mouvement macroniste devra peut-être se faire seppuku

ÉDITO. Si l’on veut éviter le chaos d’une alternance extrême, il faudrait que se constituent deux pôles présidentiels – de centre droit et de centre gauche.

SE MOQUER DES FRANÇAIS DE CULTURE ANCIENNE DE FRONDEURS LE PRESIDENT NE L’A PAS COMPRIS IL EN PAIE LES CONSEQUENCES !

Le charme discret de l'intestin politique britannique ? Après avoir connu une sidérante intoxication par les populismes ces dernières années, le Royaume-Uni est, peut-être, en train de les digérer, au moins en partie. Il y eut d'abord, d'un côté, l'essor du United Kingdom Independence Party (Ukip), de Nigel Farage, qui, avec la participation involontaire - mais cynique - de David Cameron, a mené au Brexit. Vint peu après le loufoque et consternant épisode Boris Johnson, caractérisé par un spectaculaire et pavlovien recours aux fariboles. De l'autre côté, chez les travaillistes, il y eut la période Jeremy Corbyn , marquée par la nostalgie d'une gauche des années 1970, et la complaisance envers l'antisémitisme.

Tout cela semble refluer doucement. Boris Johnson a démissionné , et, s'il n'a pas encore quitté le 10 Downing Street, le Parti conservateur est en train de l'enterrer. Cela ne signifie pas que le courant des brexiteurs durs, avec tous les dénis de réalité qui l'accompagnent, va perdre de sa force chez les torys, mais, tout de même, c'est un coup d'arrêt. Le Labour, quant à lui, a fait son autocritique sur l'antisémitisme, et la tendance corbyniste y est désormais tenue en respect.

Charlatanisme. Et en France ? L'épidémie de charlatanisme peut-elle être digérée de la même manière ? Ce n'est pas évident. Celui-ci n'est pas encapsulé dans de vieux partis au microbiote puissant mais prospère, notamment, dans deux entités où il règne en maître : La France insoumise et le Rassemblement national. La première se distingue par une arrogance peu en rapport avec la réalité de son poids électoral mais bénéficie d'une grande déférence dans les médias. Le second a gagné beaucoup de terrain lors des dernières législatives et joue la respectabilité dans l'Hémicycle : c'est lui, probablement, qui est le plus à craindre dans cinq ans. Les deux, en tout cas, font la paire. « Il y a des sottises bien habillées, comme il y a des sots très bien vêtus », écrivait Chamfort…

Le problème, désormais connu, est que l'opposition est aujourd'hui principalement incarnée par ces deux blocs. Le jeu de l'alternance risque donc de nous mener au chaos sous peu. D'où l'importance que réapparaissent, à droite comme à gauche, des formations sinon raisonnables du moins crédibles.

Au Parti socialiste, certains s'y emploient, comme Stéphane Le Foll , Carole Delga ou Michaël Delafosse, même si la tâche est ardue, la direction du mouvement ayant vendu son âme à Jean-Luc Mélenchon. À droite, Les Républicains ont encore une solide assise locale, et un groupe non négligeable à l'Assemblée. Ce parti gagnerait toutefois à renforcer son caractère de droite de gouvernement, par exemple en votant une véritable réforme des retraites et en proposant un chemin, comme le fait encore Valérie Pécresse, candidate malheureuse à la présidentielle, qui n'a certainement pas fait une bonne campagne mais dont il est difficile de nier qu'elle a du fond.

L'exemple allemand. Et la mouvance macroniste ? Il faut reconnaître à l'hôte de l'Élysée que son intuition d'un grand bloc centriste - sa chère « recomposition politique » - a permis de battre Marine Le Pen. Mais il n'est pas dit que cela fonctionne une troisième fois, les législatives l'ont montré. En réponse, certains imaginent déjà que puissent renaître à sa place un mouvement de centre droit et un autre de centre gauche, qui pourraient alterner au pouvoir sans que chaque élection soit un choix - désagréable - entre la continuité et le chaos. En Allemagne, le SPD et la CDU peuvent se succéder à la chancellerie, et l'Europe ne tremble pas. Pourquoi n'aurait-on pas l'équivalent en France ? Cela exigerait d'abord, il est vrai, une forme de seppuku (suicide rituel japonais) du bloc macroniste et, surtout, la constitution de deux pôles suffisamment puissants pour qu'au moins l'un d'entre eux accède au second tour de l'élection présidentielle. Dans tous les cas, les prochaines années risquent de ressembler à une danse au bord du précipice.

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fantôme du président ni de gauche ou droite inexistant inféodé au président avec ces députés godillots novices !

Les Français veulent un chef même s'il fait des erreurs mais qui gouverne comme l'on fait de derniers présidents de gauche ou droite depuis 40 ans et depuis de Gaulle le seul qui ait vraiment gouverné cette Veme république avec fermeté quand il le fallait, un passé lointain que l'on n'a pas retrouvé après malgré certains de ses politiciens qui s'en sont recommandés mais qui en fait ne l'ont pas connu !

Le président actuel avait avant sa défaite partielle aux législatives n'a pas su utiliser le pouvoir total qu'il avait lors de son 1er quinquennat médiocre et a payé indirectement le mécontentement de beaucoup de Français qu'il dédaignait trop, les prenant pour de petites gens sans importance niais voire ignares !

Et surtout ces indécisions et hésitations dans les mesures à mettre en œuvre durant ces crises subit pendant son quinquennat n'ont pas été pardonné par le peuple lambda !

Et notamment continue dans la même voie ne sachant pas où il va en fonction des événements du moment sans une ligne directive ferme dans une situation économique qui s'aggrave avec en plus ces problèmes internationaux bien présents dans cette Europe occidentale sur le pied de guerre !

D'ici la fin de cette année, il va galérer et bien sur les Français avec qui l'avaient réélu par défaut car n'ayant selon eux pas de politiciens fiables pour le remplacer dans cette opposition de cette classe politique sclérosée, nulle depuis des décennies !

Car craignant la peur du lendemain mais sans la certitude, loin de là, qu'il aura des solutions nouvelles ou fiables, le 1er quinquennat médiocre l'ayant démontré !

On disait de CHIRAC qu'il n'avait rien fait lors de sa réélection, lui ce jeune président donneur de leçon parle toujours beaucoup, çà on y est habitué mais sans suivi d'effet concret !

Alors lui qui disait qu'il fallait agir, qu'il le fasse, de toute façon il ne peut être réélu!

Jdeclef 15/07/2022 16h10


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