lundi 11 juillet 2022

La Corse et ses 330 000 iliens est une région qui ne veut pas être française peu d'habitants mais beaucoup de problèmes (d'indépendance sous jacente) en plus mafieuses !

 

En Corse, la crainte d’une autonomie sous influence mafieuse

Les tenants de l’antimafia veulent imposer cette épineuse question dans le processus de négociations avec l’État sur l’évolution institutionnelle de l’île.

SI  LA MAFIA PREND LA MAIN PAR CETTE AUTONOMIE ? S’EN SERA FINIE DE LA CORSE REPUBLICAINE FRANCAISE  (ET UNE ZONE DE NON DROIT DE PLUS !)

L'autonomie de la Corse pourrait-elle faire le lit des groupes mafieux ? Depuis des années, ce sujet taraude la société insulaire. À l'heure où les négociations entre les nationalistes et l'État vont débuter, fin juillet, autour d'une nouvelle évolution institutionnelle de l'île, ce vieux serpent de mer émerge de nouveau dans le débat public. « Dans un paysage aussi gangrené, il ne peut pas y avoir d'émancipation sans garde-fous contre la pénétration de l'économie par les bandes mafieuses », prévient Jérôme Mondoloni, porte-parole du collectif Massimu-Susini. Cet ancien avocat au verbe affûté est l'une des voix de l'antimafia dans l'île.

Son comité, baptisé du nom d'un militant nationaliste assassiné à Cargèse (Corse-du-Sud) en septembre 2019, a vu le jour avec l'ambition de fédérer tous ceux qui entendent « résister à la mafia ». À l'aube des discussions entre l'exécutif nationaliste et le pouvoir central, ouvertes par le gouvernement sur fond de tensions consécutives à l'agression mortelle de l'indépendantiste Yvan Colonna à la prison d'Arles le 2 mars, il craint une autonomie sous influence mafieuse. Sur l'île, le tourisme et la construction, les deux principaux piliers de l'économie, suscitent en effet d'insatiables appétits : racket, incendies de commerces en série, règlements de comptes…

Une dévolution de pouvoirs « dangereuse »

En 2020, un rapport confidentiel de la juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Marseille, dédiée à la lutte contre la criminalité organisée, alertait en ce sens. Transmis à la chancellerie, ce document retraçant l'évolution du banditisme insulaire visait ainsi à défendre la création d'un pôle antimafia en Corse doté de pouvoirs spéciaux afin de faire reculer ce fléau. Dans ce contexte, les voix de l'antimafia estiment qu'une dévolution de pouvoirs dans l'île pourrait se révéler « dangereuse » sans mécanismes de lutte contre ces « dérives », notamment dans les domaines des déchets, du foncier ou des marchés publics.

Laurent Marcangeli, l'homme qui résiste aux nationalistes corses

Le collectif Massimu-Susini n'est pas le seul à produire cette analyse. Le comité Maffia nò, a vita iè (« Non à la mafia, oui à la vie »), lui aussi très actif dans le combat contre la pègre, souhaite également que cette épineuse question soit inscrite à l'ordre du jour des discussions avec le gouvernement. « La lutte contre la porosité qui entache les rapports du politique et de l'économique doit être une priorité, estime le collectif. L'État doit exercer pleinement ses responsabilités régaliennes en durcissant les contrôles et en engageant des procédures contre les bandes mafieuses. »

Trois ans plus tard, ce débat (sur la dérive mafieuse au sein de l’île) n’a toujours pas eu lieu. C’est bien le signe d’une difficulté du monde politique à s’emparer de ce sujet.Jérôme Mondoloni

S'ils n'exonèrent pas le pouvoir central de ses responsabilités dans l'inefficacité de la lutte contre le banditisme, les tenants de l'antimafia pointent également l'inertie des nationalistes à la tête de la collectivité de Corse. En 2019, dans une vague d'émotion suscitée par une série d'actes criminels, le président de l'exécutif régional, l'autonomiste Gilles Simeoni, avait annoncé qu'une session de l'Assemblée de Corse serait spécialement consacrée à la dérive mafieuse. « Trois ans plus tard, ce débat n'a toujours pas eu lieu, déplore Jérôme Mondoloni. C'est bien le signe d'une difficulté du monde politique à s'emparer de ce sujet. » Le 30 juin dernier, le chef de l'exécutif corse a lui-même reconnu dans l'hémicycle régional l'existence d'une « dérive mafieuse » alimentée par la spéculation immobilière, le trafic de stupéfiants et les marchés publics. Appelant de ses vœux que cette problématique soit « incluse » dans les négociations avec l'État au titre de ses missions régaliennes, Gilles Simeoni a promis des « actes forts ».

Corse : cette jeunesse nationaliste qui maintient la pression

« Il n'est plus temps de fermer les yeux »

Pourtant, selon le collectif Massimu-Susini, les dispositifs actuels au sein de la collectivité de Corse se révèlent encore très insuffisants pour contrôler les politiques publiques. Il estime qu'une batterie de mesures pourrait d'ores et déjà permettre de lutter contre l'emprise mafieuse : mise en place d'un pacte « anticorruption », renforcement de la loi sur la confiscation des avoirs criminels, création d'un délit d'association mafieuse, comme en Italie… Si ces thématiques brûlantes peinent encore à émerger au sein des pouvoirs publics insulaires, comme au plus haut niveau de l'État, ce diagnostic a tout récemment percé sous la campagne des législatives. Candidat battu dans la deuxième circonscription de Corse-du-Sud, le délégué régional du Rassemblement national (RN) François Filoni en a même fait l'un de ses chevaux de bataille. S'il ne voit pas d'un mauvais œil la perspective d'une nouvelle étape de décentralisation dans l'île, il redoute néanmoins une « aventure institutionnelle ».

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La mafia y est implantée depuis toujours faisant partie de leur culture, peut être issue de l'Italie car ile ancienne possession génoise !

Le problème étant que le gangstérisme mafieux corse se répand depuis des lustres dans les villes du sud de la France à Marseille mais pas seulement à PARIS dans les années 60 dans les quartiers chauds de la capitale à Pigalle par exemple !

Les Corses sont peu nombreux mais indépendantistes par un égo démesuré dans leur culture !?

Eh bien, il faut leur donner l'indépendance mais une vraie ne profitant pas de la France métropolitaine ni des subsides de l'Union Européenne comme pour le Brexit de l'Angleterre !

Car cette île qui a un potentiel important touristique remarquable ne semble pas le gérer correctement et refuse les implantations de Français métropolitains sur son sol (bien qu'en France et faisant partie territorialement actuellement de notre république) ile voisine proche de la métropole !

Cette ile coute fort cher à l'État français et donc aux métropolitains et autres régions qui n'ont pas de statut particulier !

Si ce statut qu'ils ont déjà ne leur suffit pas cela les regarde mais dans ce cas qu'ils ne viennent se plaindre et ne réclame plus rien après si on leur accorde cette indépendance !

Un referendum d'autodétermination devrait être décidé et organisé pour les CORSES cela suffit car cela fait des décennies de problèmes de 330000 iliens corses à comparer avec 68 millions de Français qu'ils ne paraissent pas aimer mais alors attention qu'ils supportent leur mafia avec leurs gangsters d'un autre âge et qu'ils ne doivent plus exporter sur le continent !

(Mais ils ne doivent pas se considérer comme nos territoires d'outre-mer, lointains ex-colonies ce n'est pas comparable !?)

Nous en France, on a une délinquance périphérique dans nos grandes villes c'est suffisant !

Ce banditisme mafieux Corse à limite terroriste, inutile de le supporter c'est dommage car cette ile par son climat, ses sites sublimes mérite mieux !

JDECLEF 11/07/2022 15h11


1 commentaire:

  1. Ca y est les modérateurs débiles du point on encore frappés avec leur censure moyenâgeuse et rédaction donneuse de leçon hypocrite car toute vérité n'est pas bonne à dire ou à entendre n'entrant pas dans les cases de la bien pensante hypocrisie habituelle de certains médias coincés dans leurs idées pro pouvoir pourtant décrié par une majorité de français lambda qui voient l'inaction de nos dirigeants pour chaque problèmes devenant trop fréquents et qui trainent depuis décennies !

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