Michel
Richard – Le combat hémiplégique de Jean-Luc Mélenchon
CHRONIQUE.
Les valeurs démocratiques qui le préoccupent tellement en France le laissent de
marbre à Cuba, sa patrie de cœur. Une imposture.
CE
POLITICIEN DONT ON NE DEVRAIT PLUS
PARLER EST UN PAUVRE TYPE QUI FAIT PLUS DE MAL QUE DE BIEN ?!
Il n'est pas un été sans
que Jean-Luc Mélenchon aille passer ses vacances en Amérique latine ou
centrale. Il y a ses vrais camarades, des combattants, il aime y respirer les
odeurs fortes des révolutions castristes, bolivariennes ou autres, il y
revivifie en bonne compagnie sa haine rabique des États-Unis d'Amérique. Le
Mexique, le Honduras et la Colombie auront droit cette année à sa visite.
À notre connaissance, pas le Venezuela ni Cuba.
On croit deviner pourquoi. Le Venezuela n'a à offrir en spectacle que sa
ruine quand il aurait tout, et d'abord sa manne pétrolière, pour être ce qu'il
a été jadis, le plus riche pays de la zone. Quant à Cuba, pour qui Mélenchon a
les yeux de Rodrigue pour Chimène, il vit dans la pénurie alimentaire et la
pauvreté, que n'explique plus depuis longtemps la seule attitude des États-Unis
à son égard. Sans parler de son régime dictatorial.
Cuba impose une impitoyable répression judiciaire à tous
ceux qui ont participé, voilà tout juste un an, aux émeutes de la faim. Les
peines s'accumulent jusqu'à 15 ans de prison, frappant manifestants,
dissidents, artistes, tous censés avoir offensé le drapeau national. Un
collectif de personnalités françaises et cubaines vient d'appeler au soutien
des démocrates cubains. On a beau chercher, on ne trouve nulle part dans cette
liste le nom de Jean-Luc Mélenchon.
C'est que, pardi, Jean-Luc Mélenchon a bien trop à faire par ailleurs pour
pouvoir en outre se porter au secours d'une démocratie cubaine violentée et
d'un peuple maltraité. Un autre pays absorbe toute son énergie de combattant
démocrate patenté. La France, évidemment.
Que La France insoumise préconise un programme dont on peut penser qu'il
nuirait au pays, c'est bien son droit. Que La France insoumise simule devant
l'Assemblée nationale un mariage entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen, libre
à elle de s'exposer au ridicule. Que Jean-Luc Mélenchon ait voulu faire croire
à une élection présidentielle à quatre tours et à son autoproclamation comme
Premier ministre pouvait passer, après tout, pour un habile subterfuge.
Mais Mélenchon et ses amis persévèrent, ne se lassant jamais du travestissement
de la réalité électorale et institutionnelle. Et ce qui était énervant un
moment devient inquiétant à la longue. Glaçants, même, ces prêches enflammés de
donneurs de leçons qui font croire qu'être élu ne rend pas légitime et qu'être
battu vous rend majoritaire.
Du Trump en Mélenchon ?
On finit par se demander s'il n'y a pas un petit Trump qui sommeille en
Mélenchon, les deux étant fâchés avec les résultats électoraux. L'équipe
d'Élisabeth Borne ? C'est « un gouvernement de fait », autant
dire de caprice, pas de droit. Le parti présidentiel ? « Dans leur
tête, il y a toujours plutôt Hitler que le Front populaire ». Le
peuple ? « Il a dit non à Macron. » Mélenchon le sait, parce que
Mélenchon le dit : « Je suis le tribun du peuple. » Élisabeth
Borne ? « Une anomalie démocratique », tranche Mathilde Panot,
l'hologramme parlementaire de Mélenchon à l'Assemblée (qui nous pardonnera
cette formule), « Borne qui souhaite gouverner contre le peuple »,
dit-elle.
Serait-ce un premier signe de résistance, quand Fabien Roussel évoque
« Vladimir Mélenchon » ? Quoique venant d'un communiste, on
devine qu'il ne s'agit pas d'un compliment. Mais Mélenchon, on le sait, ne
déteste pas Poutine. Comme lui capable, et coupable, de mensonges présumés
révolutionnaires.
Les mensonges de Mélenchon sur Cuba démontés par un exilé
cubain
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jeton
inutile qui réussi à enfumer la plèbe de ces mauvais jeux de ce cirque
politique médiocre français, de cet aréopage de politiciens inutiles qui a
malheureusement réussit à troubler la tête de Français qui voulaient le
changement mais qui ne roule que pour lui trop vieux car n'ayant pas réussi à
s'immiscer dans le pouvoir comme voulant devenir 1er ministre utopique d'un
pouvoir macronien !
D'ailleurs
les déplacements de cet illuminé dans ces pays d'Amérique du sud totalitaire le
prouve et montre ce qu'il est vraiment un empêcheur de tourner en rond mais
dangereux !
Le
problème étant que dans sa clique LFI il y en a d'autres de ses politiciens
gratinés extrémistes déjantés !
Mais
c'est logique en fait la France va mal sous ce pouvoir macronien alors beaucoup
de Français déçus se tournent vers les extrêmes mais c'est le président qui a
déjà raté son 1er quinquennat qui les a divisés !
Et cela
ne s'améliore pas avec ces indécisions habituelles toujours présentes de notre
chef d'état principal de ses défauts et qui ne sait pas où il va précisément !
Jdeclef 17/07/2022
10h53
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