mercredi 27 juillet 2022

Un pétard mouillé qui fera pschitt avec une justice qui protège plus les délinquants que les victimes !

 

Expulsion des délinquants : Darmanin assume une « forme de double peine »

Le ministre de l’Intérieur souhaite présenter une loi à la rentrée pour améliorer l’efficacité de l’expulsion du territoire des étrangers délinquants.

NOTRE JUSTICE EST LE PARENT PAUVRE DE NOS INSTITUTIONS ELLE LE RESTERA CAR GRANGRENE PAR DES BIEN PENSANT ET CASTE DE JUGES QUI NE PENSENT QU’A LEURS CARRIERES DE FONCTIONNAIRES INFEODES AU POUVOIR EN PLACE ET A LEURS SYNDICATS !

C'est l'une des priorités de Gérald Darmanin. Lors d'une interview accordée à BFMTV, mardi 26 juillet, le ministre de l'Intérieur et des Outre-mer a montré sa détermination à expulser les étrangers délinquants hors du territoire national en présentant une nouvelle loi en septembre prochain. Il a annoncé une loi pour lever les « réserves » législatives liées à l'expulsion des étrangers délinquants. « On juge les étrangers pour ce qu'ils font et non pas sur ce qu'ils sont. Je n'ai pas le comportement de Marine Le Pen qui dit que les étrangers sont mauvais par nature. J'ai des actes de bon sens », a-t-il indiqué. « J'assume le rétablissement d'une certaine forme de double peine. La France est généreuse et accueille à bras ouverts. Le bon sens, c'est de respecter les règles de la République, sinon on s'en va », a-t-il ajouté.

Le ministre de l'Intérieur a fait valoir que le gouvernement avait « décidé de se concentrer sur les étrangers qui commettent des actes délictuels ». « J'assume une forme de double peine », a-t-il dit, en soulignant que le gouvernement avait retiré « 70 000 titres de séjour ». « Quand on est étranger et qu'on arrive sur le sol national, on respecte les lois de la République ou alors on s'en va », a-t-il lancé. « C'est une politique de bon sens. Nous, on juge les étrangers pour ce qu'ils font, pas pour ce qu'ils sont », a-t-il dit.

Une loi à la rentrée

En début de matinée sur RTL, Gérald Darmanin avait annoncé la présentation « à la rentrée de septembre » d'une loi pour lever « les réserves » législatives empêchant l'expulsion du territoire d'étrangers délinquants. Relevant que « le droit actuel » autorisait le gouvernement « à faire beaucoup de choses », il a expliqué sur BFM souhaiter que cette loi supprime la disposition législative selon laquelle un étranger arrivé en France avant l'âge de 13 ans n'est pas expulsable. Il a précisé que cela ne s'appliquerait qu'en cas de « crimes et de délits graves ».

« En voulant l'atteindre, on touche le président » : Darmanin en zone de turbulences

Le matin, il avait cité comme autre disposition à supprimer le fait « d'avoir contracté un mariage ». Estimant qu'une telle loi confirmait « l'alignement sur les positions de l'extrême droite » de Gérald Darmanin, SOS Racisme a appelé à mettre « un terme à cette dérive digne de (Marine) Le Pen » et du Premier ministre hongrois ultra-conservateur Viktor « Orban mais indigne de la République ». Gérald Darmanin a souhaité en outre un allongement de la durée des ordonnances de quitter le territoire français (OQTF) à deux ans, contre un an actuellement, pour permettre les recours et appels.

En 2020, moins de 10 % des OQTF ont été appliquées. « Au premier semestre (2022), a fait valoir M. Darmanin, on a augmenté de 25 % » les expulsions avec 9 685 sorties du territoire (éloignements forcés et aidés), selon le ministère. Le ministre a estimé en outre qu'il fallait augmenter le nombre de places en centre de rétention administrative (CRA) et annoncé l'ouverture « d'un nouveau centre à Lyon ».

Nouvelle polémique autour de Darmanin

Gérald Darmanin a tenu à expliquer qu'il « préférait garder sur le sol national un étranger, qui certes est irrégulièrement sur le sol national, mais veut travailler, s'insérer dans la société plutôt que de garder sur le sol national » un étranger délinquant. Selon le ministère de l'Intérieur, « depuis octobre 2020 », la France a éloigné « 2 751 auteurs de troubles à l'ordre public dont 25 % d'auteurs de trafics de stupéfiants et 35 % d'atteinte aux personnes (violences intrafamiliales, infractions sexuelles, etc.) et 770 étrangers connus pour des faits de radicalisation ».

Ces annonces surviennent alors que Gérald Darmanin s'est retrouvé au centre d'une polémique ce week-end à propos de l'agression de policiers à Lyon. Il avait annoncé l'interpellation d'un homme en situation irrégulière. Le parquet avait ensuite précisé que ce suspect avait été relâché et mis hors de cause. Le ministre avait maintenu sa décision d'expulser cette personne. « Je ne regrette rien », a-t-il dit sur BFMTV. « Quelqu'un de nombreuses fois condamné et par ailleurs en situation irrégulière, je n'allais pas le relâcher. Ben, non ! ».

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Délinquants de tous poils, que les victimes !

C'est déjà le code pénal dans sa globalité qu'il faudrait changer en le modifiant radicalement !

Notre justice de bienpensant est tellement laxiste en matière de sanctions que se soient pour les délinquants dits ordinaires et les criminels patentés surtout en plus avec le ministre de la Justice actuel ex-avocat le bien surnommé "acquitator" !

M. DARMARNIN ne fait qu'un effet de manche politique !

Il n'y a aucun courage dans cette proposition de loi cette notre justice qu'il faut changer et ses juges ministres de la Justice nommés par le pouvoir en place !

Mais là comme le reste, il ne faut pas rêver !

Jdeclef 27/07/2022 13h36


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