mardi 19 juin 2012

LA PERFIDE ALBION SE MOQUE BIEN DE LA FRANCE PAR LA VOIX DE SON 1ER MINISTRE !

David Cameron, devant le B20, le 18 juin à Los Cabos au Mexique.

David Cameron prêt à dérouler «le tapis rouge» aux exilés fiscaux français

DIPLOMATIE - Le Premier ministre britannique s'est déclaré lundi prêt à accueillir les entreprises qui fuiraient la hausse des impôts en France... 

«Quand la France instituera un taux de 75% pour la tranche supérieure de l'impôt sur le revenu, nous déroulerons le tapis rouge et nous accueillerons plus d'entreprises françaises, qui paieront leurs impôts au Royaume-Uni», a déclaré David Cameron devant des chefs d'entreprise, en marge du sommet.

«Cela paiera nos services publics et nos écoles et tout le reste», a-t-il ajouté

D.CAMERON est un spécialiste des phrases chocs, il avait déjà eut quelques accrochages significatifs avec notre précédent président !

De toute façon l'ANGLETERRE n'est pas un vrai pays européen? 

Hormis sa position géographique bien sur, elle profite des avantages de l'Europe et des dérogations que la CEE lui a accordée pour quelle accepte d'en faire partie et bien sur a gardé  sa monnaie !

La perfide Albion malgré son déclin économique, comme les autres pays Européens ne peut se débarrasser de son passé impérialisme puissant du 19eme siècle et de son indépendance d'ile, encore présente par le symbole de sa Reine et son Commonwealth !

Et la France est toujours en concurrence indirecte, quand elle émet des idées ou mesures qui déplaise à nos amis britanniques, malgré un entente cordiale toute diplomatique qui a des hauts et des bas (surtout en ce moment avec le Président HOLLANDE et son gouvernement de gauche) qui ne doit pas vraiment plaire au 1er ministre britannique !

Relations plus ou moins fluctuantes, à ne pas comparer avec nos amis allemands et sa chancelière A.MERKEL qui elle voudrait être la patronne en Europe !

Mais n'est-on pas amis entre dirigeants européens ?

Ce que l'on peut dire c'est que l'Europe unie économiquement entre autre chose, hélas, ce n'est pas pour demain, ces crises depuis 2008 en sont la preuve !


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