vendredi 31 mai 2024

Cela ne fait que confirmer que les USA nous lâchent et nous mettent un peu plus facilement la tête sous l’eau car eux font maintenant du protectionnisme intelligent pour ramasser les fruits comme ils ont fait avec leur plan Marchal d’après-guerre mondiales de 39/45 c’est d’ailleurs l’anniversaire du débarquement justement de nos allies U.S .?!

 


Eux aux USA  ils ont un vieux président qui fait quelque chose nous en France on a un jeune président qui ne fait rien voilà c'est tout hélas !?

Dette : les États-Unis déposent l'Europe et donnent une leçon d'économie à Macron (C’EST HELAS BIEN FAIT CAR NOUS LE MERITONS !?)

EN ATTENDANT STANDARD & POORS (5/5). Les États-Unis sont endettés à hauteur de 125 % du PIB. Mais, contrairement à la France, cet argent est utilisé pour investir avec des effets sur la croissance.

Par Sarah Dumeau

Publié le 31/05/2024 à 14h00, mis à jour le 31/05/2024 à 14h05

Le président américain Joe Biden prononce un discours à l'occasion du premier anniversaire de la loi sur l'Inflation Reduction Act, à Milwaukee (Wisconsin), le 15 août 2023. © Abaca

Malgré l'explosion de la dette publique française, la conjoncture économique est plutôt morose. Croissance en berne (1 % en 2024 selon les prévisions du gouvernement, 0,7 % selon le consensus des économistes), légère hausse du chômage… Et c'est encore pire à l'échelle de l'Europe : selon les prévisions de la Commission européenne, la croissance de la zone euro devrait péniblement atteindre 0,8 % en 2024.

 Le grand « trou noir » de la productivité

« Le différentiel de croissance entre les États-Unis et la zone euro se fait à partir de 2012. Au sortir de la crise financière, l'Europe va se tourner vers des politiques d'austérité, alors que, aux États-Unis, ils vont accepter une sorte de déficit permanent », contextualise l'économiste à l'OFCE Mathieu Plane. « Ils ont des objectifs économiques et stratégiques qui sont clairs : ils veulent une économie forte à un moment assez important au niveau géostratégique par rapport à la Chine. Ils veulent prendre la main sur les technologies d'avenir, quitte à creuser leur déficit », résume-t-il.

« Privilège exorbitant » du dollar

Les États-Unis ont en effet une dette publique très élevée à près de 32 000 milliards d'euros. En pourcentage du PIB, cela représente 125 %, contre 111 % pour la France. Reste que les enjeux de cette dette ne sont pas vraiment les mêmes. Les Américains bénéficient du « privilège exorbitant » du dollar, déjà dénoncé en 1964 par Valéry Giscard d'Estaing. Leurs bons du Trésor sont donc très prisés. « Tout le monde a envie d'investir en dollars », souligne l'économiste spécialiste des questions financières, Philippe Trainar.

Autre avantage non négligeable : « Ils ont leur politique budgétaire entre les mains », explique Lisa Thomas-Darbois, directrice adjointe des études à l'Institut Montaigne. La Banque centrale américaine (FED) peut ainsi décider de dévaluer la monnaie si la charge de la dette devenait trop lourde, par exemple. La France, qui s'endette en euros et ne contrôle pas la Banque centrale européenne (BCE), est plus contrainte.

 Pourquoi la dette américaine n'inquiète (presque) personne

Surtout, la manne financière ainsi dégagée ne sert pas les mêmes objectifs. « La différence, c'est qu'en France le poids des dépenses publiques représente 57 % du PIB. Aux États-Unis, c'est 39 % [en 2023, NDLR] », souligne l'économiste Marc Touati. En effet, leur modèle social, beaucoup moins protecteur que la sécurité sociale française, est moins onéreux. « Ce n'est pas comparable mais, effectivement, on voit qu'il y a davantage d'investissements dans les nouvelles technologies », explique Lisa Thomas-Darbois, de l'Institut Montaigne.

Créer des milliers d'emplois

En effet, avec l'Inflation Reduction Act (IRA) promulgué en 2022, les États-Unis ont subventionné massivement leurs entreprises d'avenir et incité à la consommation de produits américains. Quelque 369 milliards devraient être mobilisés sur dix ans dans le cadre de ce plan.

Au bout d'un an, les crédits d'impôts avaient déjà permis de doubler les ventes de véhicules électriques aux États-Unis, poussant des constructeurs comme Tesla, Hyundai, Kia ou BMW à investir des milliards dans leurs capacités de production aux États-Unis.

 États-Unis et zone euro : les raisons de l'écart de croissance et d'inflation

L'Amérique a aussi lancé le plan Chips and Science Act pour le secteur stratégique des semi-conducteurs, et le Jobs Act pour améliorer la compétitivité du pays et créer des milliers d'emplois. Et ça marche : « Comme les entreprises ne comptent pas sur l'État au quotidien, quand il y a des aides publiques, ça vient irriguer l'économie. À l'inverse, en France, comme elles sont sous perfusion en permanence, on ne se rend plus compte de l'effet que ça fait », estime Marc Touati.

« Comme une grande famille »

Au point que certains, comme l'économiste Mathieu Plane, considèrent que l'Europe gagnerait à en tirer des enseignements. « Il faut s'en inspirer au moins sur la nécessité d'investir au niveau européen. Au regard de la situation américaine ou chinoise, on ne peut pas juste considérer que l'équilibre des finances publiques est la priorité. Il faut gérer la transition énergétique, développer l'idée d'une réindustrialisation européenne… Sinon, on va mourir les plus riches du cimetière ! » alerte l'économiste à l'OFCE.

 La France doit-elle vraiment réduire ses dépenses publiques ? Une proposition politique qui reste difficile à mener. Il faudrait notamment convaincre l'Allemagne, garante de l'orthodoxie budgétaire. « C'est comme une grande famille, quand il faut prendre une décision, il faut contenter un peu tout le monde et on arrive à une espèce d'équilibre qui n'est pas si satisfaisant que ça », reconnaît Mathieu Plane.

En février, l'Union européenne a entériné de nouvelles règles budgétaires qui restent très proches des anciennes. L'Allemagne et ses alliés dits « frugaux » ont réussi à imposer des réductions automatiques de dette et de déficit aux pays dont le ratio d'endettement dépasse 60 % du PIB. Leurs opposants arguent que ces clauses sévères vont empêcher ces États de réaliser les investissements colossaux nécessaires pour faire face, notamment, au réchauffement climatique.

3 101,2 milliards
C'est le montant de la dette publique française à la fin de l'année 2023.

Deux des trois agences de notation les plus influentes sur les marchés financiers, Fitch Ratings et Moody's, ont mis à jour leur évaluation de la solvabilité de la dette publique française, le 26 avril. Cette révision de la note financière de la France a lieu tous les six mois. Plus de peur que de mal : la France a échappé à une sanction et les deux agences ont maintenu leurs notations, ainsi que leurs perspectives, inchangées. Standard & Poor’s (S & P), considérée comme l’agence la plus influente de toutes, livrera, quant à elle, son verdict ce vendredi 31 mai. Avant cette échéance, « Le Point » vous propose une série en cinq épisodes pour tout comprendre de la situation des finances de la France.
Dette : Macron, le président qui n'arrête pas de signer des chèques
La dette explose, les services publics se dégradent, Macron regarde ailleurs
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Quand on a notre président qui était Sorti de l'École nationale d'administration en 2004, il devient inspecteur des finances. En 2007, il est nommé rapporteur adjoint de la commission pour la libération de la croissance française (« commission Attali »). L'année suivante, il rejoint la banque d'affaires Rothschild & Cie, dont il devient associé-gérant en 2010.

On pouvait espèrer mieux ce n’est pas trop demander ?!

Mais ne sachant quoi d’utile ou quoi faire et procrastinateur pathologique en plus donc ne sachant pas décider ne faisant rien à par bavarder en s’écoutant parler pour ne rien dire et comme en plus nous l’avons élu croyant à sa nouveauté de jeune président et en plus réélu après son 1er quinquennat médiocre et qui en plus n’est pas capable de nous protéger correctement que ce soit pour notre sécurité intérieure dans notre simple vie quotidienne (il suffit d’ouvrir la rubrique des faits divers dans nos médias qui jettent en plus de l’huile sur le feu !)

Et bien sûr aussi par notre politique internationale dans un monde instable de plus en plus tendu ou la France n’est plus écoutée dont on se moque avec nos jeux olympiques risqués dans ce contexte hyper tendu ?!

Moi comme tous ceux de ma génération qui est connu tous les présidents et gouvernements de cette VEME REPUBLIQUE devenue pseudo monarchique mal gouverné par ce chef d’état fat bavard champions de discours alambiqués qu’il a le secret que certains naïfs écoutent sans trop les comprendre d’ailleurs ou s’en fichent n’allant plus voter par exemple ?!

Je dis merci à Mr le président avec sa « macronie » déplorable qui nous devons supporter jusqu’en 2027 de regarder la France glisser plus vite dans un trou dont on ne voit pas le fond tant pis si cela lui déplait peut-être mais qui ne semble pas s’en rendre compte ce grand donneur de leçons hypocrite creuses car après tout c’est de la faute des Français lambda qui votent mal !?

JDEclef 31/05/2024 18h23

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Bah bien sur ce pauvre TRUMP comme tout le monde sait c’est fait voler sa précédente réélection (selon lui) et donc si les américains lambda votent encore pour lui ils l’auront mérité mais ce trublion mal élevé est dangereux pour la paix du monde on a n’a presque un peu la même chose chez nous avec le mélenchoniste mais lui ce leader usé est surtout d’une nullité remarquable genre pétard mouillé LFI !?

 

le bull dog abruti

Procès de Donald Trump : l’ex-président déclaré coupable, sa peine annoncée le 11 juillet ET ALORS CA CHANGE QUOI S’IL EST REELU PAR LE PEUPLE AMERICAIN ?!

Coupable de falsification de documents comptables pour influencer une élection, Donald Trump a dénoncé une « honte ». Selon lui, le « vrai verdict » sera rendu le 5 novembre.

De notre envoyée spéciale à New York, Claire Meynial, avec Philippe Berry

Publié le 30/05/2024 à 23h09, mis à jour le 31/05/2024 à 08h35

DE TOUTE FACON LES EUROPEENS FRANÇAIS ET MEMES AMERICAINS SONT D’INCURABLES MAUVAIS ELECTEURS POURTANT IL S’AGIT DE LEUR AVENIR ?!

 « Guilty ! » Après cinq semaines d'un procès historique et moins de deux jours de délibérations, un jury de 12 habitants de Manhattan a déclaré Donald Trump, 45e président des États-Unis et candidat probable du Parti républicain à l'élection présidentielle de novembre 2024, coupable de toutes les charges retenues contre lui. Donald Trump sera fixé sur sa peine le 11 juillet, a tranché le juge Merchan. L'ancien président a aussitôt dénoncé un procès « truqué » et « une honte », promettant que le « vrai verdict » sera celui des urnes, le 5 novembre. Dans la foulée, il a annoncé une conférence de presse à la Trump Tower vendredi matin à 11 heures (17 heures, à Paris). Son avocat Todd Blanche a promis de faire appel « dès que possible » après l'annonce de la peine.

Du côté de Joe Biden, le conseiller juridique de la Maison-Blanche a fait dans la sobriété : « Nous respectons l'État de droit », a dit un porte-parole. La directrice de campagne de Joe Biden et de Kamala Harris s'est félicitée d'un verdict qui montre que « nul n'est au-dessus des lois », notant qu'il n'y a « qu'une seule manière de garder Donald Trump en dehors du Bureau ovale : le bulletin de vote. Délinquant ou pas, Trump sera le candidat des républicains ». Le témoin star de l'accusation contre Trump, son ancien avocat Michael Cohen, a salué « un jour important » pour la justice, ajoutant : « La vérité compte toujours. »

Une peine de prison ferme possible mais peu probable

L'ancien président faisait face à 34 chefs d'accusation de falsification volontaire de documents comptables dans l'intention de commettre un second crime, une violation de la loi électorale de l'État de New York qui interdit de promouvoir ou d'empêcher l'élection d'un candidat par des « moyens illégaux » (en enfreignant la loi fédérale sur les financements de campagne, en falsifiant des documents comptables ou en enfreignant les lois fiscales).

 Sexe, corruption et mensonges : le système Trump à la barreEn théorie, Donald Trump risque un maximum de quatre ans de prison. Mais, parce qu'il s'agit d'une première condamnation, pour un crime non violent, de nombreux experts doutent qu'il soit condamné à de la prison ferme, misant sur du sursis ou des travaux d'intérêt général assortis d'une amende. Sauf si le juge Merchan retenait le caractère grave du second crime (tenter d'influencer l'élection de 2016) et une éventuelle absence de remords pour sévir.

Le seul procès avant la présidentielle ?

Les jurés ont dû digérer un feuilleton s'étirant sur plus de dix ans. En 2006, celui qui était alors connu grâce à l'émission de télé-réalité The Apprentice aurait couché avec une star du porno, Stormy Daniels. En 2016, l'avocat de Trump, Michael Cohen, a payé son silence 130 000 dollars, à la veille de l'élection. Ce sont les remboursements à Michael Cohen, sous le faux libellé de « dépenses juridiques », qui ont permis au procureur général, Alvin Bragg, d'inculper Donald Trump. La falsification de documents comptables est un délit à New York, qui devient un crime s'il vise à en commettre un autre, ici influencer l'élection de 2016 en cachant le rapport sexuel avec Stormy Daniels au public.

Le procès, qui a débuté le 15 avril, était considéré comme le moins solide des quatre procès au pénal auxquels Donald Trump faisait face. Aucun des trois autres (pour ses tentatives d'inverser les résultats de l'élection de 2020, de l'élection de 2020 en Géorgie, et pour les documents classifiés entreposés à Mar-a-Lago après son départ de la Maison-Blanche) ne devrait se tenir avant l'élection de novembre 2024.

Donald Trump, lui, devrait battre des records de levée de fonds dans les 24 prochaines heures. Ce verdict aura-t-il un impact sur le scrutin du 5 novembre en galvanisant ses supporteurs ou risque-t-il, au contraire, d'avoir un effet repoussoir sur les électeurs indépendants, qui pourraient être réticents à l'idée de voter pour un felon (criminel) ? « Ne nous méprenons pas, ce n'est pas une bonne nouvelle pour Trump et sa campagne », juge l'ancien porte-parole du Comité national républicain, Doug Heye. Mais, selon lui, « il faudra du temps pour connaître le niveau de l'impact négatif sur sa campagne ».

En fait c’est l’exemple de nos politiques appliquées à nos dirigeants de pays libres et democartiques dont certains se prennent en plus comme des rois sans couronne car nostalgique de leurs anciennes monarchies absolues de ces anciens régimes ou les peuples étaient asservis sous des régimes anciens royaux et féodaux !?

Mais là pour les USA fédéraux et ses 50 états c’est encore mieux car issus d’une certaine ancienne colonie anglaise qui en 1796 s’est battue pour son indépendance d’ailleurs bien aidée par la France de LOUIS XVI et LAFAYETTE et qui a fait sa révolution en 1789 en exécutant son roi et devenant républicaine difficilement jusqu’à cette nouvelle république de 1958 gaullienne donnant soit disant le pouvoir au peuple mais surtout au président mais à tendance pseudo monarchique de cet ancien régime dont on n’arrive pas totalement à se débarrasser avec les dirigeants de tous bords politique qui se succèdent se prenant pour des monarques sans couronne !?

Il semble surtout que nos dirigeants et mêmes certains ministres quand ils sont élus quoi qu’ils fassent de répréhensifs voire mêmes condamnés par leurs justices soient intouchables par leurs constitutions faites pour eux dans nos pays trop libres par nos lois mal encadrées les USA devenu puissant de par son histoire étant considéré en plus comme le plus libre du monde !?

Car bien sur TRUMP a été condamné mais peut se représenter à l’élection présidentielle US et être réélu mais chez nous en France c’est presque pareil avec quelque variance puisque l’on ne sanctionne pas la nullité ou l’incompétence de nos dirigeants que nous élisons et réélisons, avec plus de pouvoirs on comprend mieux que certains veuillent faire de la politique avec tant d’avantages divers lucratifs !?

jdeclef 31/05/2024

jeudi 30 mai 2024

Il ne faut pas demander à quelqu’un de ses députés LFI d’avoir un soupçon d’intelligence ou d’être bien élevé car ils sont devenus des trublions patentés depuis que ce parti existe Mélenchoniste en arrière-plan par son vieux leader qui tire les ficelles préférant ne pas être élu pour avoir les mains libres de vieil aboyeur de foire changeant de discours suivant les évènements politiques du moment alors si c’est cela maintenant notre pays alors oui pauvre France !?

 


Pourquoi le député LFI David Guiraud aime tant la Palestine et bien qu’il y aille qu’est qu'il fait chez nous à par semer le trouble ET SURTOUT EN ETANT ANTI ISRAELIENS DONC ANTI JUIFS QUELLE HONTE !?


Un peu plus que les autres élus LFI, le député de Roubaix multiplie les déclarations anti-israéliennes. Il y a un intérêt tout personnel.

Par Michel Revol

Publié le 30/05/2024 à 07h30, mis à jour le 30/05/2024 à 10h26

David Guiraud lors d'un meeting de La France insoumise pour les élections européennes à Roubaix, le 17 avril 2024. © FRANCOIS GREUEZ/SIPA / SIPA / FRANCOIS GREUEZ/SIPA


Samedi dernier, le 25 mai, on n'a pas entendu David Guiraud. Le député LFI était présent au dojo de Roubaix pour le lancement d'une opération de solidarité, mais, au milieu des judokas en kimono, l'élu roubaisien n'a pas pu s'exprimer comme il l'entendait : son micro ne fonctionnait pas, ce qui l'a un peu énervé. Trois jours plus tard, en revanche, on a très bien entendu ce proche de Jean-Luc Mélenchon traiter son collègue Meyer Habib de « porc ».



Le député LR des Français de l'étranger (dont la circonscription comprend Israël et les Territoires palestiniens) venait de l'apostropher, juste après que le député Insoumis Sébastien Delogu eut brandi dans l'hémicycle un drapeau palestinien. « Qu'est-ce que tu fous ici, barre-toi », lance, au beau milieu d'un échange avec la presse, Guiraud à Meyer Habib. Réponse de ce dernier : « On n'a pas élevé les cochons ensemble. » « C'est toi, le cochon, répond vertement Guiraud. T'es un porc, barre-toi de là ! Tu es dans la boue du génocide palestinien. » Les mots de « cochon » et « porc » sont, on le rappelle, des insultes antisémites habituelles, et Habib Meyer revendique sa judéité.




David Guiraud ne s'est pas emporté ; ses mots n'ont pas dépassé sa pensée ; son attaque n'est pas un dérapage. Il l'a lui-même reconnu le soir même, sur le plateau de BFMTV. Plus exactement, il en a rajouté : « Il est vrai qu'il faut être beau joueur. Moi, je présente mes excuses à tous les cochons de France. Je n'en ai jamais vu défendre les génocides. »
Électoralisme réfléchi

David Guiraud sait très bien ce qu'il fait et dit, à l'image de Sébastien Delogu, qui applique une stratégie réfléchie en déployant un drapeau palestinien à l'Assemblée nationale. La même poursuivie par Jean-Luc Mélenchon et ses lieutenants, qui glissent à dessein des allusions antisémites. LFI cherche à recruter des électeurs parmi la population issue de l'immigration et la communauté musulmane depuis 2017. Date à laquelle Éric Coquerel, député LFI de Seine-Saint-Denis, a identifié dans cet électorat les voix manquantes pour que Mélenchon accède au second tour de la présidentielle.

David Guiraud applique avec assiduité cette même stratégie. Il a été à bonne école : après 2017, le fils du maire PS des Lilas devient attaché parlementaire d'Éric Coquerel, tout juste élu député. Guiraud reconnaît, dans un article de Libération, qu'il s'est initié au conflit israélo-palestinien au travers des vidéos de Dieudonné et d'Alain Soral, deux hommes pas vraiment connus pour leur défense d'Israël et des Juifs.

Jérôme Guedj : « Avec Mélenchon, la baston va être sans pitié » Depuis, le trentenaire, qui court les plateaux télé, a choisi son camp : il défend avec une étonnante ardeur la Palestine, la communauté musulmane… Et, comme sur les plateaux de CNews ou BFMTV, il n'a peur de rien. Il prend la pose, en jean et veste de survêtement, aux côtés de Mehdi Meklat, auteur de tweets racistes, antisémites et orduriers (dont le fameux « Qu'ils crèvent » à propos des journalistes de Charlie Hebdo), publie sur X une vidéo évoquant les « dragons célestes » (référence aux Juifs) ou refuse d'appeler au calme durant les émeutes consécutives à la mort de Nahel, en juillet dernier. « Je n'appelle pas au calme, j'appelle à la justice », dit-il, comme si l'un excluait l'autre.

L'une de ses déclarations les plus condamnables intervient loin de Paris ou de Roubaix. En novembre 2023, David Guiraud est à Tunis. Il participe à une conférence sur la Palestine aux côtés de Taha Bouhafs et Rima Hassan, tous deux équipés d'un keffieh. Le premier, dont il est très proche, a été condamné pour injures racistes ; la seconde est devenue, quelques mois plus tard, la figure de proue de la liste LFI aux européennes, qui a fait du combat pour Gaza son principal moteur. Affalé dans un fauteuil, Guiraud (qui s'excusera ensuite de son ton léger) évoque le « nettoyage ethnique » pratiqué, selon lui, par Israël à Gaza et nie le droit de l'État juif à se défendre. Il s'emballe ensuite. Le député LFI, qui se flatte de connaître sur le bout des doigts l'islam et ses courants, est moins à l'aise avec l'histoire de l'État hébreu. Ce qui ne l'empêche pas de l'accuser des pires horreurs. Guiraud prétend ainsi qu'Israël aurait, comme les hommes du Hamas, placé un « bébé dans un four » et « éventré » une maman dans les camps libanais de Sabra et Chatila, deux accusations fausses. Il reconnaîtra à peine ses erreurs.
Roubaix dans son viseur

David Guiraud est l'un des défenseurs les plus zélés des Palestiniens au sein des Insoumis parce qu'il a un intérêt personnel : le député de Roubaix vise la mairie de la cité du Nord en 2026. Or, dans la quatrième plus grande ville des Hauts-de-France par la population (près de 100 000 habitants), et l'une des plus pauvres de France, le vote musulman est majeur. Même le RN, qui y a pourtant été prospère, reflue depuis quelques années. Et le maire, le LR Guillaume Delbar, ne se représentera pas, affaibli par la maladie. « LFI a fait de Roubaix son principal objectif en 2026, confie un grand élu du Nord. C'est la seule grande ville du pays que le parti de Mélenchon peut prendre. Guiraud joue donc à fond la carte du communautarisme. »

Né en Seine-Saint-Denis, David Guiraud vise en 2022 la huitième circonscription du Nord, qui englobe Roubaix, pour les élections législatives. La transhumance ne lui semble pas un problème : « C'est une circonscription populaire, qui connaît les mêmes problématiques qu'en Seine-Saint-Denis. Il n'y a pas de grandes différences », observe-t-il au début de l'année 2022.

Antisémitisme : quand la gauche et l'extrême gauche se réveillent (enfin)


Il accompagne sa venue dans le Nord d'une jolie déclaration d'amour. Le 23 janvier 2022, un reportage de M6 dénonce l'emprise de l'islam radical à Roubaix. Des témoins entendus sur le sujet sont même placés sous protection policière. Guiraud s'en moque. Il prend fait et cause pour les religieux : « Un reportage de caniveau, insultant et malhonnête », dit-il en évoquant le travail des journalistes de M6. Une première pierre à sa candidature probable à la mairie de Roubaix. Toutefois, à l'avenir, il faudra que son micro fonctionne mieux que samedi dernier au dojo de la ville.
 
Ce député étiqueté LFI « la France insoumise » qui porte bien son nom ce qui n’est pas une fierté plutôt une tare de députés irrévérencieux et mal élevés qui ne méritent pas de sieger à l’Assemblée nationale mais étant élu par le peuple Français peuvent déblatérer tout leur sou ce qui est logique dans notre pays encore libre et démocratique mais ne rehausse pas la qualité de ceux-ci dans l’hémicycle !?
D’ailleurs dernièrement un de leurs acolytes s’est fait sortir pour 15 jours par la présidente de l’Assemblée Nationale car ayant brandit en vociférant le drapeau de la Palestine dans le courant d’une séance de celle-ci en troublant les débats on aurait dû l’exclure définitivement car semer le trouble dans cette assemblée ne peut être toléré !?
Alors que pour ces Messieurs ce n’est pas la 1ere fois qu’ils sèment le désordre et pousse à l’anarchie plutôt que s’occuper de l’avenir de la France qui va mal et de ces citoyens dans leur vies quotidiennes pour la gestion de leur pays économiquement sans oublier leur insécurité qui grandit partout dans l’hexagone et même dans ce qui reste de nos ex colonies ou iles du bout du monde comme la Nouvelle CALEDONIE par exemple ?!
Malheureusement on n’a pas de chance puisque l’on a réélu notre président actuel d’une incompétence remarquable et sa clique de pattes cassées gouvernementales et politiciens médiocres de tous bords à notre Assemblée Nationale qu’il faudrait dissoudre pour faire un ménage salutaire et URGENT en balayant devant notre porte et en cessant de donner des leçons de bienpensants hypocrites comme fait notre président devenu inutile ce qui se confirme chaque jour hélas !?



Jdeclef 30/05/2024 12h11LP

mercredi 29 mai 2024

LES AGENCES DE NOTATIONS NE SONT QUE DES AGENCES DE NOTATIONS IL FAUT EN PRENDRE ET EN LAISSER PAS PLUS QU’IL NE LE FAUT MAIS : (le torchon brule par les deux bouts !)

 

La dette explose, les services publics se dégradent, Macron regarde ailleurs CE QUI EST INCONCEVABLE ET IRRESPONSABLE ?!

EN ATTENDANT STANDARD & POORS (2/5). Malgré une dette publique qui dépasse les 3 000 milliards d’euros, les hôpitaux et l’éducation, notamment, ne semblent pas profiter de cette manne. Explications.

Par Sarah Dumeau

Publié le 28/05/2024 à 14h00, mis à jour le 29/05/2024 à 12h23

 Deux des trois agences de notation les plus influentes sur les marchés financiers, Fitch Ratings et Moody's, ont mis à jour leur évaluation de la solvabilité de la dette publique française, le 26 avril. Cette révision de la note financière de la France a lieu tous les six mois. Plus de peur que de mal : la France a échappé à une sanction et les deux agences ont maintenu leurs notations, ainsi que leurs perspectives, inchangées. Standard & Poor’s (S & P), considérée comme l’agence la plus influente de toutes, livrera, quant à elle, son verdict vendredi 31 mai. Avant cette échéance, « Le Point » vous propose une série en cinq épisodes pour tout comprendre de la situation des finances de la France.

Dépenses de santé, retraite, chômage, enseignement, culture, défense… Dans ces différentes fonctions, la France dépense plus, en pourcentage du PIB, que l'Allemagne, l'Espagne, l'Italie ou les Pays-Bas, selon les données publiées sur Fipeco. La France consacre ainsi 5,2 % de son PIB à l'enseignement, contre 4,7 % en moyenne dans l'Union européenne, et 4,5 % en Allemagne.

Pourtant, cette allocation de moyens ne semble pas être suivie d'une amélioration des services publics. Dans un rapport de trois cents pages publié en septembre 2023, le collectif de Nos services publics, réunissant des agents de l'État, des hôpitaux et des collectivités, fait état du « sentiment d'effondrement des services publics, de la part des citoyens mais aussi des agents publics ». Selon un sondage Ifop réalisé en 2022, 61 % des Français estiment que les services publics fonctionnent mal.

Situation « catastrophique » des urgences

Les pénuries de médecins généralistes dans certains territoires entraînent « une pression accrue sur les établissements hospitaliers » pointent les auteurs de ce rapport. Le syndicat Samu-Urgence alertait, en septembre, sur la situation « catastrophique » des services d'urgence : « La sécurité sanitaire n'est parfois plus assurée, y compris pour l'urgence vitale. »

Faute de salaires suffisants et de conditions de travail attractives, les hôpitaux et écoles publics font face à d'importantes difficultés de recrutement. Une enquête de la Fédération hospitalière de France (FHF) conduite au printemps 2022, estime ainsi que 99 % des hôpitaux et Ehpad publics manquent de soignants.

« Plus la France dépense, plus les services publics se dégradent ! »

La justice aussi est à la peine. Les présidents des tribunaux judiciaires ont calculé qu'un accroissement de 35 % des effectifs serait nécessaire pour pallier les seuls besoins urgents ! Dans certaines universités, la Cour des comptes pointe régulièrement du doigt la situation des bibliothécaires et agents administratifs qui ne font toujours pas 35 heures. Avec, forcément, un impact sur la qualité du service rendu.

« Quelques indicateurs montrent une dégradation de l'investissement de l'État et, donc, du service public rendu », reconnaît prudemment Lisa Thomas-Darbois, directrice des études à l'institut Montaigne, qui tempère toutefois : « Il s'agit davantage d'un ressenti, il n'y a pas d'étude qui l'étaye vraiment. » Comment expliquer cette situation malgré le budget conséquent qui leur est alloué ?

« Du gaspillage »

« Pour des raisons structurelles et économiques, il y a une augmentation tendancielle du coût des services publics. Par exemple, l'accroissement des dépenses de santé va de pair avec l'allongement de l'espérance de vie, les dépenses environnementales augmentent pour faire face aux défis qui s'imposent… », justifie Lisa Thomas-Darbois. L'économiste Marc Touati, de son côté, est plus catégorique : « C'est du gaspillage pur et simple. »

 Dette : Macron, le président qui n'arrête pas de signer des chèques « Ce n'est pas un problème de moyens mais d'allocation des moyens », assure le président du cabinet Acdefi (Aux commandes de l'économie et de la finance). « Il y a une sorte d'inefficacité de la dépense publique qui s'est accrue avec le Covid et la politique du quoi qu'il en coûte », estime l'économiste.

« On a donné de l'argent à tout le monde sans regarder, donc ça finit par faire des entreprises zombies qui auraient dû faire faillite et ont été maintenues en vie artificiellement », développe Marc Touati. En effet, 57 700 procédures de faillite ont été ouvertes en 2023, soit 35,8 % de plus qu'en 2022. « Cela aura comme conséquence un manque à gagner sur les recettes fiscales », anticipe-t-il.

Philippe Dessertine : « Il faut s'attaquer au fonctionnement des grands services publics »

Au-delà du cas particulier du quoi qu'il en coûte, « on a perdu la notion de dépense publique, un denier public est considéré par le citoyen, les entreprises ou les ménages comme étant dû », estime Lisa Thomas-Darbois, de l'institut Montaigne. « Aujourd'hui, on parle de revue des dépenses, on abandonne l'idée de s'attaquer au millefeuille administratif, donc on donne seulement des coups de rabot », déplore l'experte. Politiquement, la mise en place d'une réforme d'ampleur est risquée, admet-elle toutefois : « Les 20 milliards d'euros d'économies, c'est juste pour rassurer les marchés. »

3 101,2 milliards
C'est le montant de la dette publique française à la fin de l'année 2023

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Néanmoins ce président que je ne nomme pas par son patronyme depuis qu’il a été réélu par des Français lambda gogos qui avaient peut être peur du lendemain mais qu’il ne sait pas protéger contre les évènements dangereux extérieurs aux frontières de l’EUROPE avec ce dictateur russe déjanté  et qui ne sait pas diriger notre pays en politique intérieure dans la vie quotidienne des Français pour leur simple sécurité quotidienne comme c’est son rôle de chef d’état qu’il est d’une nullité impardonnable nous tire vers le fond alors que soit disant c’était un spécialiste de l’économie :

De par notre président qui était Sorti de l'École nationale d'administration en 2004, il devient inspecteur des finances. En 2007, il est nommé rapporteur adjoint de la commission pour la libération de la croissance française (« commission Attali »). L'année suivante, il rejoint la banque d'affaires Rothschild & Cie, dont il devient associé-gérant en 2010.

Il regarde ailleurs croyant peut-être à un miracle d’ailleurs cela semble trop tard car il faudrait le DESTITUER ce Mr faux monarque sans couronne car il est perdu et NE sait plus où il va ne sachant que bavarder pour ne rien dire d’utile et donc les 3 ans à venir ou il n’a pas de solutions les chiffres parlent d’eux-mêmes !?

Quand dans une grande entreprise quand un PDG fait trop d’erreur au point de faire capoter celle-ci on le renvoi avec un gros chèque en le remerciant là c’est la France NOTRE PAYS c’est comme une entreprise sauf que là les actionnaires sont ses habitants qui votent pour leurs vies quotidiennes et leur sécurité nationale et internationale !?

Donc il faut que les FRANÇAIS réagissent et demande la dissolution de l’Assemblée nationale par un vote en urgence pour qu’on puisse essayer de stopper cette chute vers le fond à cause de ce président qui n’est plus à la hauteur de sa tache !?

Ex cadre d'une grande banque pendant 43 ans donc je sais quand cela va mal dans les finances d'une entreprise dans un pays même riche !?

Jdeclef 28/05/2024 17h21

Il faudrait enfin prendre conscience en FRANCE qu’on est très mal gouverné par ce président à qui on a donné trop de pouvoir et 2 fois en plus qui ne nous protège pas et nous a ruiné se cachant derrière l’effet COVID alibi et son « quoi qu’il en coute » quand en fait cette EUROPE qui justement réussi à s’unir à payer pour la vaccination que même çà on n’arrivait pas à maitriser ?!

 

Macron et Scholz cherchent des sous pour l’Europe ils ont l’air fin tous les deux en matière économique de petits boutiquiers bavards qu’elle honte !?

Face à l’euroscepticisme et au décrochage économique, le président français et le chancelier allemand se serrent les coudes avant la raclée des européennes.

Par Emmanuel Berretta

Publié le 29/05/2024 à 10h39, mis à jour le 29/05/2024 à 11h44

Le président Emmanuel Macron et le chancelier allemand Olaf Scholz devant le château de Meseberg, dans le Brandebourg (Allemagne), le 28 mai 2024. © Michael Kappeler/DPA/Abaca

Que retenir de la visite d'État d'Emmanuel Macron en Allemagne ? Si l'on met de côté la pompe officielle, les appels à la mémoire de nos guerres passées, le prix de la paix de Westphalie reçu par le président Macron pour ses tentatives de raisonner les appétits guerriers de Vladimir Poutine, les décorations remises aux époux Klarsfeld, il reste une image. Celle de deux hommes inquiets, Olaf Scholz et Emmanuel Macron, à quelques jours d'une déroute électorale programmée aux européennes. Détail ironique : le SPD et la coalition macroniste sont à peu près crédités des mêmes intentions de vote des deux côtés du Rhin, soit environ 14 à 15 %.

Des besoins estimés à 745 milliards d'euros par an !

Voilà pour le message politique, mais il y avait une seconde adresse, cette fois destinée aux partenaires européens en forme de contribution à l'« agenda stratégique », qui façonnera le prochain mandat de la Commission européenne et qui sera adopté, à l'unanimité fin juin, pour les cinq prochaines années.

Un message également destiné aux forces économiques d'un continent en décrochage : « Il nous faut un choc d'investissements au sein de notre Europe », a lancé le président Macron, aux côtés du chancelier. La Commission a chiffré les besoins gigantesques : plus de 620 milliards d'euros par an ( !) pour couvrir les besoins du Pacte vert et la décarbonation de l'économie et 125 milliards d'euros par an pour revenir dans la course à l'innovation technologique (intelligence artificielle, quantique…). Cela représente donc 745 milliards d'euros par an. Rapportés à la population européenne, on parle de 1 655 euros par an et par Européen.

Union des marchés des capitaux : dans les coulisses de la bataille du Luxembourg

Le rapport Draghi, attendu fin juin, devrait confirmer et chiffrer plus précisément les besoins. Une chose est certaine et fait consensus : les budgets des États membres sont incapables d'y répondre ; le budget européen de long terme n'y suffira pas non plus et son échéancier sur sept ans (2028-2035) ne répond pas aux besoins immédiats. La France et l'Allemagne conviennent donc de se tourner vers l'épargne dormante des Européens (10 000 milliards d'euros non fléchés sur la masse totale de 35 000 milliards d'euros) qui, pour l'heure, profitent surtout aux Américains. Ils militent pour lancer un « produit d'épargne européen » le plus vite possible.

La préoccupation allemande sur la chimie

Emmanuel Macron et Olaf Scholz confirment en quelque sorte les conclusions du dernier Conseil européen. « La convergence entre nous deux est inédite à cet égard, ajoute le président français. Et je ne doute pas qu'elle entraînera maintenant un mouvement fort accéléré au sein de toute l'Europe. Elle était nécessaire et nous y sommes arrivés. » Le Luxembourg, place financière rétive, n'a sans doute pas dit son dernier mot face au projet franco-allemand.

 Européennes 2024 : une campagne à côté de la plaque

La France et l'Allemagne s'accordent également pour réviser la législation des marchés publics européens afin de « les simplifier, de les intégrer davantage, avec des conditions tenant à l'innovation, l'environnement et la résilience ».

Les deux pays invitent la Commission européenne à ne pas fracasser l'industrie chimique européenne mais à créer un cadre réglementaire « favorable à l'innovation » dans une « approche basée sur les risques plutôt que de recourir à de larges interdictions de produits ». En somme, BASF et Bayer ont trouvé ici deux bons avocats.

Le défi de l'inflation normative

L'inflation des normes européennes n'a pas échappé aux deux dirigeants : 850 nouvelles règles entre 2017 et 2022. Là aussi, ils appellent la Commission à « élaborer un plan d'action ambition pour la réduction de la bureaucratie », soit « davantage d'efforts pour mieux impliquer, dès le départ, les entreprises, les citoyens et territoires, y compris les régions ultrapériphériques, en tenant compte de leurs contraintes dès le stade où les règles sont rédigées ». Les PME devraient être soulagées d'un fardeau de déclarations tous azimuts en réduisant ce reporting de 25 %. L'accès aux aides d'État devrait être accéléré.

 Européennes : les candidats face à l'Everest des normes

« Je suis confiant, a lancé le chancelier Scholz, au terme d'une conférence de presse commune à Meseberg. Nous avons enregistré beaucoup de réussites par le passé, et il faut le dire. On a toujours dit que ça n'allait pas bien marcher, mais finalement ça a marché. Il y a eu des débats pendant la pandémie de Covid, et en fin de compte, vous avez vu que l'Europe est maintenant plus proche. Le plan de relance a été une possibilité de créer de la croissance en Europe, et il reste encore beaucoup d'opportunités. Tous les moyens ne sont pas encore employés. »

Quid du plan de relance européen ?

De fait, pour le moment, sur les 800 milliards d'euros du plan de relance, la Commission a décaissé seulement un peu plus de 224 milliards d'euros. Or, le plan de relance connaît une date butoir : tout doit être engagé avant le 31 décembre 2026. On se trouve donc dans la situation paradoxale de chercher précipitamment de l'argent par tous les moyens alors que celui qui a été prévu et convenu à 27 ne sort que très lentement de la cagnotte commune…

Aujourd'hui, la dette globale de la Commission est de 500 milliards d'euros pour couvrir les besoins du plan de relance. Pour réaliser entièrement ce plan de relance, la Commission européenne prévoit d'émettre environ 150 milliards d'euros par an jusqu'au 31 décembre 2026. Puis, à partir de 2028, il faudra rembourser cet emprunt à raison de 25 milliards d'euros par an. Or, sur ce point, Emmanuel Macron et Olaf Scholz sont restés muets. La discussion difficile commencera à partir de la mi-2025.

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Le faux nouveau couple franco-allemand de « panier percé » est aussi nul que les anciens semble-t-il sauf que nous en France on est en faillite virtuelle il faut dire que nous on ne sait plus voter correctement depuis + de 40 ans et l’après mitterrandisme qui fut un échec avec sa réélection de président de l’époque !?

Mais ce n’a pas suffi on en n’a redemandé comme on l’a fait en 2022 pour subir cette mauvaise gouvernance avec les mêmes du passé jusqu’en 2027 et va savoir quel nouveau on aura trouvé dans 3 ans !?

Quant à l’EUROPE UNIE est quand même virtuelle et instable d’ailleurs la gestion déplorable de la crise UKRAINE par notre président est un exemple stupide pour pas dire pire car menaçant l’envoi de troupe en UKRAINE qui n’a d’ailleurs n’a pas trouvé d’assentiment de 27 adhérents européens et maintenant parle d’envoyer nos fameux missiles scalp à longue portée mais  de l’UKRAINE vers la Russie sous prétexte de défense de celle-ci pour contre carrer les percées de l’armée de POUTINE  le dictateur car oui s’en est un n’en déplaise au bien portant donneurs de leçon hypocrite comme notre président d’ailleurs hésitant procrastinateur qui ne sait plus quoi dire se noyant dans ses discours de non-sens illogique se prenant peut être pour le chef des armées de par sa fonction mais serait étonnant car il n’a jamais endossé un uniforme ni fait son service car trop jeune sa seule excuse mais qui ne gomme pas son incompétence de petit bourgeois se prenant pour un monarque !?

Mais qui ne nous protège pas car notre monde actuel est devenu très instable voir dangereux car il faut muscler drastiquement notre armée car pas assez puissante et peut être organiser un formation militaire pour tous ces jeunes désœuvrés ce qui leur permettrait d’apprendre quelque chose d’utile surtout pour ceux par exemple en échec scolaire en fin de 3eme ou qui n’ont pas essayé l’apprentissage ou d’entrer en entreprise pour commencer à travailler car on manque d’employés d’ouvriers ou d’agriculteurs etc…

Jdeclef 29/05/2024 13h54

Je commente depuis que la Veme république existe mais je crois qu’avec les Français lambda actuel je perds mon temps tant ils sont bornés et occupés à leur « moi personnel » de toute façon on s’est fait avoir en 1940 avec la débâcle face à l’Hitlérisme mais on n’a rien retenu par une mémoire défaillante !?

 

À l’Assemblée nationale, tous les records de médiocrité sont battus OUI C’EST UNE EVIDENCE ET UNE HONTE IL N’Y A PAS DE QUOI ETRE FIER ?!

Sophie Coignard
Journaliste

LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. Les sanctions contre les députés pleuvent comme jamais au Palais-Bourbon. La dernière en date concerne un élu LFI qui a brandi un drapeau palestinien dans l’hémicycle.

Publié le 29/05/2024 à 06h46

Le niveau baisse ! À l'école, certainement. À l'Assemblée nationale, tout aussi sûrement. La preuve : les punitions pleuvent comme jamais ! Fin 2023, près de 150 sanctions avaient été prononcées contre des députés depuis le début de la législature, soit en un an et demi, contre six seulement entre 2012 est 2017 et seize entre 2017 et 2022.

L'incident est atterrant mais pas du tout isolé. La séance publique de l'Assemblée nationale, et plus spécialement celle des questions au gouvernement, dont la retransmission à la télévision chaque mardi après-midi permet de remplir les rangs de l'hémicycle, est le théâtre de débordements fréquents, parfois dans les travées les plus à droite – celles où siège le RN –, mais surtout dans celles situées les plus à gauche, occupées par La France insoumise.

Le V de la victoire

Si l'extrême droite applique avec zèle la consigne de se montrer « propre sur elle » et bien sous tous rapports, l'extrême gauche ne se contente pas d'un laisser-aller vestimentaire. Elle est aussi bruyante et provocante. Pas par goût du chahut mais pour suivre, elle aussi, un mot d'ordre, celui de la « bordélisation » assumée, en ligne avec la logique de conflictualité prônée par Jean-Luc Mélenchon. Le coup d'éclat de Sébastien Delogu en est la parfaite illustration. Celui-ci, au moment où la sanction lui a été notifiée, et avec elle l'obligation de quitter sans délai l'hémicycle, a d'ailleurs levé l'index et le majeur pour figurer le V de la victoire.
À LIRE AUSSI L'israélophobie de Jean-Luc MélenchonMal à l'aise, la gauche tente d'expliquer que la punition est disproportionnée, ce qui est faux. Tout député « qui se livre à des manifestations troublant l'ordre ou qui provoque une scène tumultueuse » en est passible.

Le vrai débat, toutefois, ne concerne pas la proportionnalité de la peine mais le manque de dignité qui règne trop souvent à l'Assemblée nationale. L'image déplorable qui est renvoyée aux Français sert les visées populistes les plus méprisables. Plusieurs élus acceptent pourtant avec enthousiasme de lui prêter leur concours.

Comme le dit cruellement un député blanchi sous le harnais, on est passé de la République des énarques à celle des attachés parlementaires. Et il n'est pas sûr qu'on ait gagné au change.

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Avec la qualité déplorable de certains de ces élus qui usent leur fonds de culotte sur le bancs de l’assemblée nationale car des français lambda les ont élus car ils récoltent ce qu’ils sèment par ces députés censés les représenter notamment dans ce parti la France insoumise (LFI) qui porte bien son regroupant une partie de cette population indisciplinée et surtout mal élevée à l’image de son leader même pas élu le vieux politicien aboyeur de foire ex ministre PS Mélenchon même PLUS élu qui préfère aiguillonner ces fans à distance en faux jeton patenté qui voudrait le pouvoir en plus malgré son âge d’être à la retraite encore un défaut de notre Veme république de 1958 avec cette gérontocratie digne des anciens dirigeants de l’ex URSS qui les ont échangés pour un plus jeune POUTINE lui-même âgé de 71 ans que même cette Europe Unie ou notre jeune président avec lequel il a préféré bavarder en donneur de leçon bienpensant hypocrite dont il s’est moqué bien sûr avec sa guerre ukrainienne non pas stoppé mais aussi les USA et leur OTAN virtuel et leur attente électorale d’un de leurs 2 ex présidents eux aussi âgés BIDEN 81 ans et TRUMP 77 ans  !?

Car ses défauts de gouvernance ou gestion électorale déplorable dans nos pays libres et encore démocratiques sont très préjudiciables pour la paix du monde qui ne tient qu’à un fil genre de mèche qui diminue chaque jour sur un baril de poudre explosif si un de ses pays à gouvernance totalitaire démocrature voire dictature déraille !?

Mais en France hélas ou le peuple est devenu incurable car ayant perdu son bon sens par notre éducation nationale d’ailleurs mal enseignée par notre état ce qui se ressent sur certains jeunes désœuvrés car mal orientée politiquement par les dirigeants en place qui se succèdent pour garantir leur carrière mais à cause des Français qui les ont élus et réélus en plus !?

Tout va bien on a notre président et son 1er ministre bon chic bon genre avec leurs discours alambiqués pour nous tranquillisez ?!

Jdeclef 29/05/2024 09h55

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