mercredi 15 mai 2024

Même son nom « Mohamed Amra, dit « La Mouche (à merde )» ce criminel devenu ennemi public reflète sa délinquance que l’on voit souvent partout en France mais on ne veut pas voir la réalité en face car ce n’est pas bien de dire cela il vaut mieux être hypocrite bienpensant comme nos dirigeants qui nous gouvernent si mal et qui ne nous protègent pas assez chez nous dans nos villes et villages de France !?

 

Attaque d’un fourgon pénitentiaire dans l’Eure : ce que l’on sait sur l’enquête, les victimes et Mohamed Amra (Peut importe il sera jugé si on l’attrape par notre justice inefficace et on oubliera ce fait divers épouvantable car en France et sa lenteur à agir c’est les mémoires qui font défaut et se déliteront très vite dans notre société égoïste !?)

Depuis que cette V eme république existe de faux bourgeois donneurs de leçons qui sont au pouvoir se prenant pour des monarques ils ne méritent pas d’être élus voir réélus en plus par ces Français qui devraient enfin déjà se prendre en charge pour retrouver leur sécurité perdue tout comme leur bon sens tombé dans l’égout de leur égoïsme « du chacun pour soi » devenant une honte !?

Des centaines de policiers et de gendarmes sont mobilisés pour retrouver le détenu qui s’est évadé avec l’aide d’un commando qui a exécuté deux agents pénitentiaires et gravement blessé trois autres, mardi.

Par Philippe Berry

Un « déchaînement de violence » digne des cartels mexicains. La procureure de Paris, Laure Beccuau, a fait part de son « émotion », mardi soir, après un guet-apens lors duquel un commando lourdement armé a attaqué un fourgon pénitentiaire au péage d'Incarville, dans l'Eure, et permis à Mohamed Amra, un détenu de 30 ans « très connu de la justice », de s'évader. Deux agents pénitentiaires ont été froidement tués, et trois autres gravement blessés – pour deux d'entre eux, le pronostic vital restait engagé, mardi soir. Des centaines de policiers et de gendarmes sont mobilisés pour retrouver les fuyards, qui risquent la perpétuité.

Qui sont les victimes ?

Les deux agents pénitentiaires tués étaient âgés de 52 ans et de 34 ans. Le premier était capitaine et père de « jumeaux nés en 2003 dont l'anniversaire allait être fêté prochainement », a détaillé la procureure. Surveillant brigadier depuis 2009, le second était marié et « attendait la naissance d'un enfant ».

 Fourgon pénitentiaire attaqué dans l'Eure : ce que l'on sait du déroulé des faitsLes trois agents blessés sont âgés de 48, 52 et 55 ans. Ils sont tous pères de famille. Contrairement à des informations qui ont circulé sur les réseaux sociaux, « les agents de l'escorte étaient évidemment armés. Les premières constatations permettent de penser que certains ont pu faire usage de leur arme de service », a indiqué Laure Beccuau.

Où en est l'enquête ?

Le parquet de la juridiction nationale de lutte contre le crime organisé (Junalco) a saisi l'Office central de lutte contre la criminalité organisée et les polices judiciaires de Rouen et de Marseille des investigations, a précisé la procureure. Elles portent sur les infractions suivantes : « meurtre et tentative de meurtre en bande organisée », passible de la perpétuité, « évasion en bande organisée », « acquisition et détention d'une arme de guerre » et « association de malfaiteurs en vue de la commission d'un crime ».

Quels sont les moyens mobilisés ?

« Plusieurs centaines d'effectifs de police et de gendarmerie sont mobilisés », à la fois sur la scène du crime et pour retrouver les fugitifs, a indiqué Laure Beccuau. Le plan Épervier, déclenché à la suite d'un enlèvement ou d'une évasion, a été levé après quatre heures, comme de coutume, mais le GIGN reste mobilisé, tout comme « l'ensemble des laboratoires de la police scientifique ». Les vidéos de surveillance du péage et celles filmées par des témoins font « l'objet d'une exploitation minutieuse ».

Qui est Mohamed Amra ?

Mohamed Amra, dit « La Mouche », 30 ans, est « très connu de la justice ». C'est un euphémisme : son casier judiciaire mentionne 13 condamnations, dont la première en 2009, quand il avait 15 ans, principalement pour des vols aggravés et une extorsion. La plupart ont été prononcées par le tribunal judiciaire d'Évreux et la cour d'appel de Rouen. Selon le journal Le Parisien, il est soupçonné d'être à la tête d'un réseau de narcotrafic, mais il n'a jamais été condamné jusqu'à présent « pour infraction à la législation sur les stupéfiants », a indiqué la procureure.

Attaque d'un fourgon pénitentiaire dans l'Eure : qui est Mohamed Amra, le détenu en fuite ? Détenu depuis janvier 2022, Mohamed Amra purgeait plusieurs peines, notamment trois ans de prison pour association de malfaiteurs, extorsion, vol par effraction et violence avec arme. Il était également en détention provisoire depuis septembre 2023 pour complicité de meurtre en bande organisée, un dossier instruit à Marseille.

Le détenu a été transféré à la maison d'arrêt d'Évreux le 11 avril dernier pour être jugé par le tribunal correctionnel, et il devait ensuite « réintégrer la maison d'arrêt des Baumettes », a précisé la procureure. Elle a confirmé que « les barreaux de sa cellule avaient commencé à être sciés ». Selon une source de l'agence France-Presse, Mohamed Amra était convoqué ce mercredi pour une audience dans une procédure disciplinaire. C'est lors de son transfert du tribunal judiciaire de Rouen vers la maison d'arrêt d'Évreux que le commando a frappé.

Comment s'est déroulée l'attaque ?

Un véhicule Peugeot « volé quelques jours auparavant » attendait le fourgon, garé sur le bas-côté du péage d'Incarville, sur l'autoroute A154, situé sur la commune de Val-de-Reuil, dans l'Eure. Quand le fourgon passe la barrière de péage, il est percuté frontalement par la Peugeot. Des « hommes munis d'armes longues » en descendent, rejoints par « d'autres hommes armés qui suivaient vraisemblablement » le fourgon, détaille la procureure.

Ils ouvrent le feu et abattent sans sommation deux agents pénitentiaires, et blessent les trois autres avant d'extraire Mohamed Amra. L'opération dure moins de deux minutes. Les fugitifs repartent à bord de deux véhicules retrouvés brûlés à Houetteville et Gauville-la-Campagne, à une trentaine de kilomètres au sud du péage, dans la banlieue d'Évreux.

Les agents ont été « abattus comme des chiens », a dénoncé le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti. « La nation est en deuil, la République est attaquée. » « Qu'ils soient châtiés à la hauteur de ce qu'ils ont commis » , a conclu le ministre.

Là c’est l’exemple frappant de la déliquescence de notre état Français si mal géré donc mal gouverné et de fait mal protégé jusque sur notre sol dans notre vie quotidienne qui n’est plus correctement sécurisé même contre cette délinquance devenue hyper criminelle qui règle ses comptes et fait ses lois presque partout dans pays devenu en insécurité flagrante voire dangereuse !?

La pénitentiaire dépend de la justice et de son ministère qui ne si intéresse pas assez et qui devrait être un ministère dédié et avec un ministre ou secrétaire d’état on n’est pas un près et avec son fonctionnement avec un ministre dédié puisque la pègre malfrat et voyoucratie de tout ordre de tous poils fait ses lois et règle ses comptes sans vergogne car n’ayant pas peur de l’autorité dite régalienne totalement dépassée par son incompétence qui ne fait que de la mauvaise politique de bavard donneurs de leçons comme notre dirigeant actuel et de son gouvernement voir ministre de cette justice ?!

Mais bien sur pour ne pas déplaire « aux macroniens » et son président puisqu’au pouvoir et réélu par des Français d’une stupidité lamentable bien sur ce n’est pas de sa faute il a pris la suite du train en marche car il ne fait rien de plus comme ces prédécesseurs enfermés dans leurs tours d’ivoire de bienpensant donneurs de leçons hypocrite !?

Alors il ira comme d’habitude pleurnicher tout en compassion sur les morts de ses fonctionnaires car incapables même de se défendre correctement car sous équipés en armes ou véhicules efficaces contre des malfrats qui eux ont des armes de guerres avec des méthode stupides de trop déplacer ces détenus pour les enquêtes jusqu’aux jugements qui traineront aussi en longueur avec les risques encourus !?

Mais surtout la cerise sur ce gâteau empoisonné c’est ces trafics de stupéfiants de drogues dures ou moins comme le cannabis et autres diverses par exemple qui déclenchent ses règlements de comptes et criminalité sans retenue et pas seulement à MARSEILLE la bien nommée depuis toujours mais partout en IDF et sa petite couronne de PARIS et dans bien d’autres petites ou moyennes villes de province ou les quidams accrocs peuvent faire leurs courses comme au super marché !?

Jedclef 15/05/2024 10h51

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