Les Français sont mal gouvernés et mal protégés et cela dure depuis 1958 le début de cette Veme république gaullienne car ils sont incurables malgré le changement de générations car ce président est plus nul que les autres mais comme on l’a élu et réélu on n’a qu’a s’en prendre à nous-mêmes !?

 

Nouvelle-Calédonie, Macron et le fantôme de Rocard (Ecoutez braves citoyens gogos Français) Cessez d’écouter la non justification de cette incompétence présidentielle et « sa macronie » par la mauvaise gestion de nos DOM TOM qui en est un exemple lamentable mais hélas et ce qui est plus grave aussi pour notre pays entier la France métropolitaine !?

QUARTIER LIBRE. En se précipitant, le président a provoqué un cataclysme à Nouméa. Autour de lui, on le supplie de retenir les leçons de celui, qui, en 1988, parvint à faire la paix sur le Caillou.

Publié le 20/05/2024 à 17h30, mis à jour le 21/05/2024 à 10h27

Comment vivre avec un fantôme ? C'est la douloureuse équation à laquelle est confronté le président de la République, aujourd'hui. Le fantôme omniprésent ? Michel Rocard, bien sûr, qui nous a quittés en 2016. Comment Emmanuel Macron peut-il endosser l'aura de grand négociateur de l'ancien député de Conflans-Sainte-Honorine, sans donner l'impression de tout lâcher en rase campagne ? Le nom de Rocard n'a jamais autant circulé dans le Landernau politique que depuis que la Nouvelle-Calédonie est au bord de la guerre civile.

Ses fidèles en première ligne, comme Manuel Valls ou le criminologue Alain Bauer, mais aussi des proches d'Emmanuel Macron, vantent sur tous les toits le génie de négociateur de l'ancien Premier ministre de François Mitterrand. Il est l'homme qui savait parler aux incendiaires. Tout le contraire du locataire de l'Élysée. En 1988, après les jours de violence qui avaient secoué le Caillou, l'homme du « parler vrai » était parvenu à restaurer la paix civile en signant avec les deux camps, indépendantistes et partisans du maintien dans la République française, les accords de Matignon. Comme tout accord, il était le résultat d'un compromis fragile et provisoire qui devait être discuté régulièrement par les parties, sous l'arbitrage de l'État. Ce que fit Lionel Jospin en 1998, sous le magistère moral de Rocard, en renouvelant les accords de 1988, eux-mêmes considérés comme transitoires, donc pas vraiment gravés dans le marbre.

Emmanuel Macron méconnaît la « palabre »

Objectif clairement fixé, alors : s'orienter à pas de velours vers l'autodétermination, dans laquelle était nettement évoquée la « route vers l'indépendance », dans une stratégie de décolonisation douce. Pas moins. Or, ce que reprochent sévèrement les connaisseurs du dossier, c'est la légèreté de ce chef de l'État qu'ils jugent une nouvelle fois trop technocrate, trop droit dans ses bottes, ne sachant pas le rôle capital de la « palabre », de la lenteur nécessaire des discussions, du partage de la décision dans un esprit de droit coutumier si étranger à l'esprit de la start-up nation.

Emmanuel Macron, un activiste à l'Élysée !

En voulant changer le corps électoral au forceps, dans un ultimatum « maintenant ou jamais » adressé aux indépendantistes, avec la perspective de présenter ce changement devant le Congrès, Emmanuel Macron a fait de l'anti-Rocard. Il a exercé une pression qui a été vécue comme une provocation, le contraire d'une attitude « décoloniale ».

Un début de guerre civile

D'où la violence de la réaction des insulaires, en premier lieu de la communauté kanake, qui s'apparente à un début de guerre civile. « Si ce territoire dérape dans l'avenir, avait prophétisé Michel Rocard en 1998, ce ne sera pas du fait des institutions qui organisent l'autonomie croissante du territoire devant déboucher d'ici 20 ans, avant sans doute, sur l'indépendance. »

Le dérapage, nous y sommes. Il est entièrement de la responsabilité de ce gouvernement qui confond vitesse et précipitation, qui veut boucler les dossiers dans une logique quasi administrative, sans doute aussi pour auréoler le bilan macronien, en fin de règne, d'un succès calédonien, à la Rocard. C'est, hélas, tout le contraire qui s'est produit.

Macron en boxeur : que nous dit la photo du chef de l'État ?

En nommant, il y a deux ans, dans son gouvernement une « loyaliste », Sonia Backès, représentante des Caldoches, Emmanuel Macron a clairement indiqué vers qui allait son inclination et provoqué l'indignation de la communauté kanake. Elle n'est plus aujourd'hui en poste, mais la maladresse a pesé lourd dans la montée des colères locales et de la perte de confiance des Kanaks.

Comment sortir de l'impasse dans lequel s'est engouffré l'exécutif ? En nommant un fils spirituel de Michel Rocard ? Le nom d'Édouard Philippe est prononcé en haut lieu. Mais l'ancien Premier ministre a-t-il un intérêt à rattraper les bourdes de celui qui l'a débarqué sans égard de Matignon ? Quel que soit le pompier de service de la macronie, il lui faudra surtout du temps, beaucoup de temps. Traduction : Macron doit suspendre au plus vite le processus de réforme du corps électoral et apprendre l'art de la palabre, c'est-à-dire savoir écouter. Donner du temps au temps. Est-ce vraiment dans son logiciel ?

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Un seule chose à dire pour essayer de faire comprendre aux Français lambda si naïfs ayant perdu leur bon sens qui les caractérisait dans le passé at ayant hérité de cette Veme république créée par de GAULLE qu’ils ont jeté dehors rapidement par leur indiscipline et égoïsme borné du « chacun pour soi » dévastateur et cette idée d’argent roi hérité indirectement de la politique des USA et son OTAN virtuel pour soit disant nous protéger mais qui font cavalier seul car occupé par la réélection de leurs 2 ex présidents en lice et aussi grand pays très endetté aussi mais puissant  de 338 millions de citoyens américains qui a joué au gendarme du monde libre en son temps qui sont eux plus unis que nous Français de par sa grandeur géographique assimilé au continent nord-américain !?

Nous hélas nous enchainons des dirigeants de tous bords avec des politiciens médiocres ne pensant qu’à eux depuis 1958 que nous élisons toujours les mêmes sortis d’un même moule étatique et les réélisons comme ce dernier président avec encore plus de pouvoir grand donneur de leçons bienpensant hypocrite bon chic bon genre grand discoureur hyper bavard assorti de ce petit minet 1^er ministre qui s’est dégonflé des le début de cette crise néocalédonienne et de la gestion de ces DOM TOM en principe à la charge du chef de notre gouvernement national Français des boulets que l’on traine et qui veulent leur indépendance dans la ligne de se monde entier instable voir dangereux ?!

Ayant connu tous nos présidents depuis 1958 de par ma génération je me sens honteux car n’ayant pu comprendre mes contemporains mais ne faisant pas de politique car fortement déçu car Français attaché à son pays que j’aime ayant voyagé de par le monde j’ai pu comparer leurs gouvernances totalitaires ou libres et nos concitoyens semble devenus apathiques ne prenant plus le temps de réfléchir vivant au jour le jour et qui manque d'énergie ou de réactivité émotionnelle !?

JDeclef 21/05/2024 12h22

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