dimanche 19 mai 2024

Peu importe les USA qui eux peuvent se défendre et gérer leurs 335 millions d’habitants on ferait mieux de s’occuper de la France et de L’Union Européenne auquel nous sommes attachés car il faut en parler pour commencer a assumer nos défauts si nombreux de cette Europe qui a déjà subi 2 guerres mondiales à cause de peuples naïfs et peut etre encore trop gatés !?

 

L’étrange campagne présidentielle américaine ?! Du bla-bla médiatique habituel !?


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Gérard Araud
Chroniqueur

LA CHRONIQUE DE GÉRARD ARAUD. Le deuxième round du match entre Joe Biden et Donald Trump n’a pas encore vraiment commencé.

Publié le 19/05/2024 à 08h00

LAISSONS CES 2 EX PRESIDENTS US CE CREPER LE CHIGNONS COMME DE VEILLES FEMMES PRE RETRAITEES ET BALAYONS DEVANT NOS PORTES DE CETTE U.E. DE NOS PEUPLES RALEURS SURTOUT NOUS FRANÇAIS AVEC NOS DIRIGEANTS INCOMPETENTS DONNEURS DE LECONS HYPOCRITES QUE PERSONNE N’ECOUTE DANS CE MONDE INSTABLE MALADE !?

Hier obsédante, la campagne électorale américaine a presque disparu de nos écrans. Il est vrai que, hélas, l'actualité de Kharkiv à Gaza ne nous offre que trop de raisons de porter notre attention ailleurs. Mais ce n'est pas la seule raison : d'un côté, Biden continue son bonhomme de chemin sans réellement électriser les foules, ce qui est un euphémisme, et, de l'autre, Trump est embourbé dans un procès sans gloire où il n'est pas le seul à s'endormir pendant les audiences.

Joe Biden reste égal à lui-même, grand-père tranquille dont les homélies font bailler même les Américains et dont les absences ne surprennent plus personne. Certes, il a réussi l'exercice du discours de l'État de l'Union mais parce qu'on lui avait mis la barre si bas qu'il ne pouvait trébucher en la sautant. Le bilan de sa politique économique reste excellent mais jusqu'ici, l'opinion publique continue à ne pas lui en savoir gré. On lui fait payer les contrecoups du Covid, notamment l'inflation, dont il n'est en rien responsable.

Crise de l'immigration et conflit à Gaza

Par ailleurs, pris entre la droite qui, telle Elon Musk, crie à la catastrophe et les minorités notamment hispaniques, il souffre de la crise de l'immigration qu'instrumentalise sans scrupule Trump au point de faire capoter une législation de compromis sur ce sujet, qu'avaient pourtant élaborée ensemble démocrates et républicains du Sénat mais qui aurait risqué d'apparaître comme une victoire de son adversaire.

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Enfin, « cerise sur le gâteau » dont il se serait volontiers passé, Joe Biden est piégé par le conflit à Gaza. L'indignation que suscite la brutalité de l'opération israélienne a surpris dans un pays traditionnellement proche de l'État juif. Elle ne cesse de s'étendre au fil des combats, en particulier dans les campus, sous la forme de manifestations qui prennent à partie une administration accusée de soutenir matériellement des crimes de guerre voire un génocide.

Le président sortant doit en tenir compte mais il sait qu'il ne peut s'aliéner la majorité de l'électorat qui reste pro-israélienne alors que Netanyahou ne fait rien pour l'aider. Il est donc condamné à la pire des politiques, une tentative de concilier la chèvre et le chou, dont on sait que, la plupart du temps, elle ne fait que mécontenter les deux camps. Faire pression sur Israël sans que ça ne se voie trop. En réalité, ça se voit et ça ne marche pas. N'en reste qu'une impression de faiblesse et d'impuissance, deux défauts dont les républicains l'accusent d'ailleurs. Gaza a bel et bien introduit un facteur imprévu dans la campagne, qui ne peut que jouer contre Joe Biden.

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De son côté, à New York, Trump essaie de se sortir d'un procès où on l'accuse d'avoir falsifié ses comptes de campagne pour masquer un versement pour faire taire une prostituée aux services de laquelle il avait recouru. Son électorat ne s'en formalisera sans doute pas mais l'image qu'il offre, jour après jour, au tribunal n'est guère flatteuse. Or, une minorité des républicains, en général avec une éducation supérieure, montrent, avec persévérance, de primaire en primaire, leur refus d'un candidat qui bafoue tous leurs principes. Que feront-ils le 5 novembre ? Iront-ils aux urnes ? Manqueront-ils à leur camp ? Nul ne le sait.

La campagne n'a pas réellement commencé

Les sondages montrent en tout cas un redressement, ces dernières semaines, des intentions de vote en faveur de Joe Biden. Ils le donnent désormais en général vainqueur en matière de suffrages au niveau national mais on sait que ce n'est pas suffisant : H. Clinton l'avait emporté en 2016 de près de trois millions de voix pour perdre dans le collège électoral. En 2020, c'est de plus de six millions de voix que Trump avait été battu et pourtant, un déplacement de 120 000 bien placées lui aurait quand même donné la victoire.

En réalité, entre crise internationale et procès, la campagne électorale n'a pas réellement commencé. Elle sera paradoxalement l'occasion de révéler le vrai visage de deux candidats que tout le monde croit pourtant connaître.

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Pour Joe Biden, le défi est clair : il devra par son énergie prouver qu'il n'est pas le vieillard cacochyme que beaucoup d'Américains, y compris démocrates, voient en lui ; il devra également se débarrasser, d'une manière ou d'une autre, de l'accusation d'engager les États-Unis dans deux conflits : l'Ukraine et Gaza. À cet égard, il n'est pas assuré que la majorité des électeurs voient d'un bon œil le transfert de plus de 60 milliards de dollars à un pays ignoré de la plupart d'entre eux, qui peuvent aisément être convaincus qu'il y a un meilleur usage de leur argent et que les Européens peuvent payer. Et la gauche démocrate lui pardonnera-t-elle sa passivité de fait à Gaza ? En tout cas, les sondages prouvent que les Arabes américains, il est vrai peu nombreux, s'y refuseront.

Pour Trump, le risque est double : d'une part, qu'il apparaisse de manière ostensible qu'il souffre lui aussi de problèmes cognitifs comme le prouve sa multiplication de lapsus et de propos incohérents et, d'autre part, que sa dérive extrémiste, qu'il ne fait rien pour dissimuler, ne lui aliène les républicains encore modérés et, au-delà, les centristes qui font l'élection. Rien n'est donc joué mais quelle étrange campagne !

Pourquoi parler de nos deux pays France et ces USA et les comparer sans cesse car attachés indirectement historiquement à ces US ex colonie anglaise composé a cette époque de majorité de migrants britannique devenue indépendante le 4 juillet 1776 d’ailleurs aidée par la France monarchique de LOUIS XVI qui a été renversé par notre révolution de 1789 et ces deux pays parmi les plus libres et démocratiques du monde avec leurs religions libres et multi confessionnelles et leurs droits de l’homme voir droit d’asile en plus qu’ils interprètent à leur guise avec leurs lois qui se veulent pour le bien de leurs peuples et ceux des autres pays du monde vouloir partager avec des dirigeants bienpensants mais hypocrites bienpensant en bons donneurs de leçons et qui par leurs 2 présidents qui ont déjà exercés la fonction de président comme le nôtre 2 fois qui ne peut être réélu une 3eme fois (heureusement !?) 

Seule différence de taille les USA ne sont pas impérialistes car n’ayant pas de colonies mais après les 2 guerres européennes devenues mondiales sont venues au secours logiquement de cette Europe occidentale !?

Mais en jouant les gendarmes du monde après dont ils se sont calmés car ayant subi des échecs retentissants après la guerre froide et 1989 et La chute du mur de BERLIN qui n’a rien arrangé avec la fin de l’ex URSS !?

En ce qui concerne les Français lambda et leur niveau d’éducation politique ou et autres depuis 1958 et cette vieille Veme république de 66 ans il baisse lamentablement les rendant bornés bien aidé aussi par des médias ou réseaux sociaux poubelles qui vident le cerveaux de certain sans oublier l’argent roi nerf de toutes guerres car en plus mal enseigné avec notre ministère de cette l’éducation nationale orientée vers le pouvoir en place de nos dirigeants et leurs gouvernements médiocre que nous avons en plus élu et réélus pour mieux enfoncer ce clou rouillé dans une planche déjà pourrie dans la maison France !?

JDeclef 19/05/2024 12h11

 

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