L’étrange campagne
présidentielle américaine ?! Du bla-bla médiatique habituel !?
LA CHRONIQUE
DE GÉRARD ARAUD. Le deuxième round du match entre Joe Biden et Donald
Trump n’a pas encore vraiment commencé.
Publié le
19/05/2024 à 08h00
LAISSONS CES 2 EX PRESIDENTS US CE CREPER LE CHIGNONS
COMME DE VEILLES FEMMES PRE RETRAITEES ET BALAYONS DEVANT NOS PORTES DE CETTE
U.E. DE NOS PEUPLES RALEURS SURTOUT NOUS FRANÇAIS AVEC NOS DIRIGEANTS
INCOMPETENTS DONNEURS DE LECONS HYPOCRITES QUE PERSONNE N’ECOUTE DANS CE MONDE
INSTABLE MALADE !?
Hier
obsédante, la campagne électorale américaine a presque disparu de nos écrans.
Il est vrai que, hélas, l'actualité de Kharkiv à
Gaza ne nous offre que trop de raisons de porter notre attention ailleurs. Mais
ce n'est pas la seule raison : d'un côté, Biden continue son bonhomme de
chemin sans réellement électriser les foules, ce qui est un euphémisme, et, de
l'autre, Trump est embourbé dans un procès sans gloire où il
n'est pas le seul à s'endormir pendant les audiences.
Joe
Biden reste égal à lui-même, grand-père tranquille dont les homélies font
bailler même les Américains et dont les absences ne surprennent plus personne.
Certes, il a réussi l'exercice du discours de l'État de l'Union mais parce
qu'on lui avait mis la barre si bas qu'il ne pouvait trébucher en la sautant.
Le bilan de sa politique économique reste excellent mais jusqu'ici, l'opinion
publique continue à ne pas lui en savoir gré. On lui fait payer les contrecoups
du Covid, notamment l'inflation, dont il n'est en rien responsable.
Crise de l'immigration et conflit à Gaza
Par ailleurs, pris entre la droite qui, telle Elon Musk, crie à la catastrophe
et les minorités notamment hispaniques, il souffre de la crise de l'immigration
qu'instrumentalise sans scrupule Trump au point de faire capoter une
législation de compromis sur ce sujet, qu'avaient pourtant élaborée ensemble
démocrates et républicains du Sénat mais qui aurait risqué d'apparaître comme
une victoire de son adversaire.
Immigration aux
États-Unis : Shelby Park, épicentre de la résistance à Washington
Enfin, « cerise sur le gâteau » dont il se serait volontiers
passé, Joe Biden est piégé par le conflit à Gaza. L'indignation
que suscite la brutalité de l'opération israélienne a surpris dans un pays
traditionnellement proche de l'État juif. Elle ne cesse de s'étendre au fil des
combats, en particulier dans les campus, sous la forme de manifestations qui
prennent à partie une administration accusée de soutenir matériellement des
crimes de guerre voire un génocide.
Le président sortant doit en tenir compte mais il sait qu'il ne peut
s'aliéner la majorité de l'électorat qui reste pro-israélienne alors que
Netanyahou ne fait rien pour l'aider. Il est donc condamné à la pire des
politiques, une tentative de concilier la chèvre et le chou, dont on sait que,
la plupart du temps, elle ne fait que mécontenter les deux camps. Faire
pression sur Israël sans que ça ne se voie trop. En réalité, ça se voit et
ça ne marche pas. N'en reste qu'une impression de
faiblesse et d'impuissance, deux défauts dont les républicains l'accusent
d'ailleurs. Gaza a bel et bien introduit un facteur imprévu dans la campagne,
qui ne peut que jouer contre Joe Biden.
Présidentielle
américaine : « Dis-moi quand, je serai là », Trump et Biden
débattront dès l'été
De son côté, à New York, Trump essaie de se sortir d'un procès où on
l'accuse d'avoir falsifié ses comptes de campagne pour masquer un versement
pour faire taire une prostituée aux services de laquelle il avait recouru. Son
électorat ne s'en formalisera sans doute pas mais l'image qu'il offre, jour après
jour, au tribunal n'est guère flatteuse. Or, une minorité des républicains,
en général avec une éducation supérieure, montrent, avec persévérance, de
primaire en primaire, leur refus d'un candidat qui bafoue tous leurs principes.
Que feront-ils le 5 novembre ? Iront-ils aux urnes ?
Manqueront-ils à leur camp ? Nul ne le sait.
La campagne n'a pas réellement commencé
Les sondages montrent en tout cas un redressement, ces dernières semaines,
des intentions de vote en faveur de Joe Biden. Ils le donnent désormais en
général vainqueur en matière de suffrages au niveau national mais on sait que
ce n'est pas suffisant : H. Clinton l'avait emporté
en 2016 de près de trois millions de voix pour perdre dans le collège
électoral. En 2020, c'est de plus de six millions de voix que Trump avait été
battu et pourtant, un déplacement de 120 000 bien placées lui aurait
quand même donné la victoire.
En réalité, entre crise internationale et procès, la campagne électorale n'a
pas réellement commencé. Elle sera paradoxalement l'occasion de révéler le vrai
visage de deux candidats que tout le monde croit pourtant connaître.
Élection présidentielle
américaine : la polarisation n'est pas celle que vous croyez
Pour Joe Biden, le défi est clair : il devra par son énergie prouver
qu'il n'est pas le vieillard cacochyme que beaucoup d'Américains, y compris
démocrates, voient en lui ; il devra également se débarrasser, d'une
manière ou d'une autre, de l'accusation d'engager les États-Unis dans deux
conflits : l'Ukraine et Gaza. À cet égard, il n'est pas assuré que la
majorité des électeurs voient d'un bon œil le transfert de plus de
60 milliards de dollars à un pays ignoré de la plupart d'entre eux, qui
peuvent aisément être convaincus qu'il y a un meilleur usage de leur argent et
que les Européens peuvent payer. Et la gauche démocrate lui pardonnera-t-elle
sa passivité de fait à Gaza ? En tout cas, les sondages prouvent que les
Arabes américains, il est vrai peu nombreux, s'y refuseront.
Pour Trump, le risque est double :
d'une part, qu'il apparaisse de manière ostensible qu'il souffre lui
aussi de problèmes cognitifs comme le prouve sa multiplication de lapsus
et de propos incohérents et, d'autre part, que sa dérive extrémiste, qu'il
ne fait rien pour dissimuler, ne lui aliène les républicains encore modérés et,
au-delà, les centristes qui font l'élection. Rien n'est donc joué mais quelle
étrange campagne !
Pourquoi parler de nos deux pays France et ces USA et les comparer sans cesse car attachés indirectement historiquement à ces US ex colonie anglaise composé a cette époque de majorité de migrants britannique devenue indépendante le 4 juillet 1776 d’ailleurs aidée par la France monarchique de LOUIS XVI qui a été renversé par notre révolution de 1789 et ces deux pays parmi les plus libres et démocratiques du monde avec leurs religions libres et multi confessionnelles et leurs droits de l’homme voir droit d’asile en plus qu’ils interprètent à leur guise avec leurs lois qui se veulent pour le bien de leurs peuples et ceux des autres pays du monde vouloir partager avec des dirigeants bienpensants mais hypocrites bienpensant en bons donneurs de leçons et qui par leurs 2 présidents qui ont déjà exercés la fonction de président comme le nôtre 2 fois qui ne peut être réélu une 3eme fois (heureusement !?)
Seule différence de taille les USA
ne sont pas impérialistes car n’ayant pas de colonies mais après les 2 guerres européennes
devenues mondiales sont venues au secours logiquement de cette Europe
occidentale !?
Mais en jouant les gendarmes du monde après dont ils se sont calmés car ayant subi des échecs retentissants après la guerre froide et 1989 et La chute du mur de BERLIN qui n’a rien arrangé avec la fin de l’ex URSS !?
En ce qui concerne les Français
lambda et leur niveau d’éducation politique ou et autres depuis 1958 et cette
vieille Veme république de 66 ans il baisse lamentablement les rendant bornés bien
aidé aussi par des médias ou réseaux sociaux poubelles qui vident le cerveaux
de certain sans oublier l’argent roi nerf de toutes guerres car en plus mal enseigné
avec notre ministère de cette l’éducation nationale orientée vers le pouvoir en
place de nos dirigeants et leurs gouvernements médiocre que nous avons en plus
élu et réélus pour mieux enfoncer ce clou rouillé dans une planche déjà pourrie
dans la maison France !?
JDeclef 19/05/2024 12h11
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