Le problème des Français c’est que quand ils élisent leur président même médiocre ils n’arrivent pas à s’en débarrasser et il le réélise même comme des naïfs incurables heureusement il ne peut être réélu une 3eme fois !?

 

Le RN, « meilleur ennemi » d’Emmanuel Macron ?! C’EST LUI-MEME CE PAUVRE PROCRASTINATEUR PATHOLOGIQUE GONFLE D’ORGUEIL COMME CES PREDECESSEURS MAIS LUI EST UN MALADE QUI S’IGNORE !?

Sophie Coignard
Journaliste

LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. L’Élysée laisse se propager l’hypothèse d’un débat Macron-Le Pen. Un jeu dangereux ?

Ce dimanche, Raphaël Glucksmann l'a fait savoir sur France 3 : il n'est pas content. Tête de liste socialiste aux européennes, numéro trois dans les sondages, à quelques points seulement de la candidate Renaissance Valérie Hayer, il n'apprécie pas d'être exclu du débat à venir entre Gabriel Attal et Jordan Bardella : « Est-ce que vous trouvez normal que le service public organise, à quinze jours de l'élection européenne, un débat entre la droite et l'extrême droite en excluant la gauche ? » s'insurge-t-il.

« Trouvez-vous normal qu'une liste qui est à touche-touche dans les sondages avec la liste des macronistes soit exclue de ce débat ? Le service public, c'est le service du public, pas le service du gouvernement. » Selon lui, « réinstaller en permanence ce faux duel entre le gouvernement et l'extrême droite, entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen, entre Gabriel Attal et Jordan Bardella, c'est extrêmement dangereux ».

Gare aux « effets secondaires »

Les dernières nouvelles ne sont pas de nature à le rassurer. L'Élysée laisse fuiter depuis quelques jours l'hypothèse d'un débat entre le président de la République et Marine Le Pen. Celle-ci en a accepté le principe, mais veut imposer son calendrier. Le duel télévisé ne devrait pas avoir lieu, selon elle, avant les élections du 9 juin, mais à la rentrée de septembre. Une manière habile de se défiler.

Il lui est impossible en effet de refuser une telle confrontation, après la déroute qu'elle a subie lors des deux précédentes confrontations, en 2017 et en 2022. Mais en reporter la date au-delà du 9 juin enlève tout intérêt à l'exercice pour Emmanuel Macron. L'objectif premier de celui-ci consiste à réduire autant que possible l'écart entre les scores de Jordan Bardella et de Valérie Hayer, écart qui s'élève, selon les sondages, à environ 15 points, contre moins d'un point en 2019. Mais tout investissement personnel du chef de l'État dans la campagne risque de provoquer un sursaut de son électorat traditionnel, certes, mais aussi un « effet secondaire », en réveillant chez certains l'envie de se rendre dans l'isoloir pour exprimer un vote sanction.

Européennes 2024 : quand Bardella fait la courte échelle à HayerReste la solution magique de la confrontation avec Marine Le Pen qui lui a, jusqu'alors, réussi. Mais comme ni l'un ni l'autre ne sont directement partie prenante dans le scrutin à venir, il est difficile au chef de l'État de justifier l'urgence d'un tel affrontement.

Répétition

Une fois posée cette équation, Raphaël Glucksmann a-t-il raison ? Est-ce dangereux de désigner ainsi comme ennemi unique le Rassemblement national ? Cela risque surtout d'être peu efficace, de ne pas fonctionner une seconde fois, car l'histoire ne se répète jamais à l'identique. C'est pendant la campagne européenne de 2019 que le camp présidentiel avait théorisé pour la première fois l'idée d'un combat des « progressistes » contre les « populistes », avec un message subliminal simple, qui pourrait se résumer ainsi : nous ou le chaos.

Or, les temps ont changé. Le RN a amendé son programme pour tenter, au moins sur la forme, de ne pas effrayer ceux qui redoutent l'éventualité d'un Frexit. La stratégie de diabolisation du RN fonctionne de moins en moins bien. Ainsi, « dehors ou dedans », le nouveau slogan répété par Gabriel Attal pour agiter la peur d'une sortie de l'Europe, comporte-t-il un risque. Celui de ne pas parler d'Europe, mais du Rassemblement national. Autrement dit, de faire le jeu de l'adversaire.

Quelle hypocrisie honteuse que ces dirigeants élus et réélus par des Français lambda d’une stupidité maladive devenus totalement ignares par cette classe politique désespérante insipide ne servant à rien à cause de ce peuple qui ne voit pas son avenir se dégrader depuis + de 66 ans avec cette Veme république usée jusqu’à la corde avec les mêmes clowns tristes « poignées de j’en foutre » et pour ceux qui ne comprenne pas assez ce français dans le texte : Individus méprisables ou incapables. Foutriquet - morveux - propre-à-rien de toute façon sans amour propre qu’ils ont perdu depuis longtemps (et s’ils en avaient… ?) Car ne se croyant pas du même monde de la populace des gens de peu ou d’en bas !?

La vraiment on touche le fond de la mauvaise politique politicienne Française que l’on traine au minimum depuis + de 40   ans dans cette Veme république gaullienne et ses Français qui regardent bêtement leur pays sombrer lamentablement comme même cette extrême droite devenue bon chic bon genre avec ce jeune dandin BARDELLA qui remplacera sa leader M.LE PEN usée et pour notre gouvernement aussi avec notre chef d’état qui nous a gratifié d’un autre minet ATTAL ce 1^er ministre servile inféodé à notre président bavard champion des donneurs de leçons bienpensant s’écoutant parler pour ne rien dire d’utile !?

Alors avec cette clique de politiciens de tous bords extrémistes ou classiques droites gauches etc. qui en fait sont aussi nuls les uns que les autres les Français lambda devenus apathiques devraient enfin mieux voter pour essayer d’avoir ce changement qu’ils réclament depuis des lustres car 2027 avec leur réélection stupide du président actuel c’est encore loin et d’ici là on peut être encore faire pire !?

De toute façon on a ce que l'on mérite dans cette France si mal gouvernée et mal protégée dans notre pauvre pays de donneurs de leçons bienpensants (mais hypocrites !?)

Jdeclef 13/05/2024 14h58

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