mercredi 29 mai 2024

LES AGENCES DE NOTATIONS NE SONT QUE DES AGENCES DE NOTATIONS IL FAUT EN PRENDRE ET EN LAISSER PAS PLUS QU’IL NE LE FAUT MAIS : (le torchon brule par les deux bouts !)

 

La dette explose, les services publics se dégradent, Macron regarde ailleurs CE QUI EST INCONCEVABLE ET IRRESPONSABLE ?!

EN ATTENDANT STANDARD & POORS (2/5). Malgré une dette publique qui dépasse les 3 000 milliards d’euros, les hôpitaux et l’éducation, notamment, ne semblent pas profiter de cette manne. Explications.

Par Sarah Dumeau

Publié le 28/05/2024 à 14h00, mis à jour le 29/05/2024 à 12h23

 Deux des trois agences de notation les plus influentes sur les marchés financiers, Fitch Ratings et Moody's, ont mis à jour leur évaluation de la solvabilité de la dette publique française, le 26 avril. Cette révision de la note financière de la France a lieu tous les six mois. Plus de peur que de mal : la France a échappé à une sanction et les deux agences ont maintenu leurs notations, ainsi que leurs perspectives, inchangées. Standard & Poor’s (S & P), considérée comme l’agence la plus influente de toutes, livrera, quant à elle, son verdict vendredi 31 mai. Avant cette échéance, « Le Point » vous propose une série en cinq épisodes pour tout comprendre de la situation des finances de la France.

Dépenses de santé, retraite, chômage, enseignement, culture, défense… Dans ces différentes fonctions, la France dépense plus, en pourcentage du PIB, que l'Allemagne, l'Espagne, l'Italie ou les Pays-Bas, selon les données publiées sur Fipeco. La France consacre ainsi 5,2 % de son PIB à l'enseignement, contre 4,7 % en moyenne dans l'Union européenne, et 4,5 % en Allemagne.

Pourtant, cette allocation de moyens ne semble pas être suivie d'une amélioration des services publics. Dans un rapport de trois cents pages publié en septembre 2023, le collectif de Nos services publics, réunissant des agents de l'État, des hôpitaux et des collectivités, fait état du « sentiment d'effondrement des services publics, de la part des citoyens mais aussi des agents publics ». Selon un sondage Ifop réalisé en 2022, 61 % des Français estiment que les services publics fonctionnent mal.

Situation « catastrophique » des urgences

Les pénuries de médecins généralistes dans certains territoires entraînent « une pression accrue sur les établissements hospitaliers » pointent les auteurs de ce rapport. Le syndicat Samu-Urgence alertait, en septembre, sur la situation « catastrophique » des services d'urgence : « La sécurité sanitaire n'est parfois plus assurée, y compris pour l'urgence vitale. »

Faute de salaires suffisants et de conditions de travail attractives, les hôpitaux et écoles publics font face à d'importantes difficultés de recrutement. Une enquête de la Fédération hospitalière de France (FHF) conduite au printemps 2022, estime ainsi que 99 % des hôpitaux et Ehpad publics manquent de soignants.

« Plus la France dépense, plus les services publics se dégradent ! »

La justice aussi est à la peine. Les présidents des tribunaux judiciaires ont calculé qu'un accroissement de 35 % des effectifs serait nécessaire pour pallier les seuls besoins urgents ! Dans certaines universités, la Cour des comptes pointe régulièrement du doigt la situation des bibliothécaires et agents administratifs qui ne font toujours pas 35 heures. Avec, forcément, un impact sur la qualité du service rendu.

« Quelques indicateurs montrent une dégradation de l'investissement de l'État et, donc, du service public rendu », reconnaît prudemment Lisa Thomas-Darbois, directrice des études à l'institut Montaigne, qui tempère toutefois : « Il s'agit davantage d'un ressenti, il n'y a pas d'étude qui l'étaye vraiment. » Comment expliquer cette situation malgré le budget conséquent qui leur est alloué ?

« Du gaspillage »

« Pour des raisons structurelles et économiques, il y a une augmentation tendancielle du coût des services publics. Par exemple, l'accroissement des dépenses de santé va de pair avec l'allongement de l'espérance de vie, les dépenses environnementales augmentent pour faire face aux défis qui s'imposent… », justifie Lisa Thomas-Darbois. L'économiste Marc Touati, de son côté, est plus catégorique : « C'est du gaspillage pur et simple. »

 Dette : Macron, le président qui n'arrête pas de signer des chèques « Ce n'est pas un problème de moyens mais d'allocation des moyens », assure le président du cabinet Acdefi (Aux commandes de l'économie et de la finance). « Il y a une sorte d'inefficacité de la dépense publique qui s'est accrue avec le Covid et la politique du quoi qu'il en coûte », estime l'économiste.

« On a donné de l'argent à tout le monde sans regarder, donc ça finit par faire des entreprises zombies qui auraient dû faire faillite et ont été maintenues en vie artificiellement », développe Marc Touati. En effet, 57 700 procédures de faillite ont été ouvertes en 2023, soit 35,8 % de plus qu'en 2022. « Cela aura comme conséquence un manque à gagner sur les recettes fiscales », anticipe-t-il.

Philippe Dessertine : « Il faut s'attaquer au fonctionnement des grands services publics »

Au-delà du cas particulier du quoi qu'il en coûte, « on a perdu la notion de dépense publique, un denier public est considéré par le citoyen, les entreprises ou les ménages comme étant dû », estime Lisa Thomas-Darbois, de l'institut Montaigne. « Aujourd'hui, on parle de revue des dépenses, on abandonne l'idée de s'attaquer au millefeuille administratif, donc on donne seulement des coups de rabot », déplore l'experte. Politiquement, la mise en place d'une réforme d'ampleur est risquée, admet-elle toutefois : « Les 20 milliards d'euros d'économies, c'est juste pour rassurer les marchés. »

3 101,2 milliards
C'est le montant de la dette publique française à la fin de l'année 2023

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Néanmoins ce président que je ne nomme pas par son patronyme depuis qu’il a été réélu par des Français lambda gogos qui avaient peut être peur du lendemain mais qu’il ne sait pas protéger contre les évènements dangereux extérieurs aux frontières de l’EUROPE avec ce dictateur russe déjanté  et qui ne sait pas diriger notre pays en politique intérieure dans la vie quotidienne des Français pour leur simple sécurité quotidienne comme c’est son rôle de chef d’état qu’il est d’une nullité impardonnable nous tire vers le fond alors que soit disant c’était un spécialiste de l’économie :

De par notre président qui était Sorti de l'École nationale d'administration en 2004, il devient inspecteur des finances. En 2007, il est nommé rapporteur adjoint de la commission pour la libération de la croissance française (« commission Attali »). L'année suivante, il rejoint la banque d'affaires Rothschild & Cie, dont il devient associé-gérant en 2010.

Il regarde ailleurs croyant peut-être à un miracle d’ailleurs cela semble trop tard car il faudrait le DESTITUER ce Mr faux monarque sans couronne car il est perdu et NE sait plus où il va ne sachant que bavarder pour ne rien dire d’utile et donc les 3 ans à venir ou il n’a pas de solutions les chiffres parlent d’eux-mêmes !?

Quand dans une grande entreprise quand un PDG fait trop d’erreur au point de faire capoter celle-ci on le renvoi avec un gros chèque en le remerciant là c’est la France NOTRE PAYS c’est comme une entreprise sauf que là les actionnaires sont ses habitants qui votent pour leurs vies quotidiennes et leur sécurité nationale et internationale !?

Donc il faut que les FRANÇAIS réagissent et demande la dissolution de l’Assemblée nationale par un vote en urgence pour qu’on puisse essayer de stopper cette chute vers le fond à cause de ce président qui n’est plus à la hauteur de sa tache !?

Ex cadre d'une grande banque pendant 43 ans donc je sais quand cela va mal dans les finances d'une entreprise dans un pays même riche !?

Jdeclef 28/05/2024 17h21

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