Poutine fait main basse
sur la Géorgie : OUI BIEN SUR PERSONNE NE L’A ARRETE EN EUROPE DES LE DEBUT
AVEC L’UKRAINE ET DANS LE MONDE ALORS QUE LES USA ET L’UE LE POUVAIT DES LE
DEBUT C’EST TOUT CE QUI CONFIRME LA PLEUTRERIE DE NOS DIRIGEANTS OCCIDENTAUX !? En s’appuyant sur Bidzina Ivanichvili, un milliardaire
local, fondateur du parti Le Rêve géorgien, Moscou impose sa loi dans la petite
république qui penche vers l’Ouest.
I l
brille devant un mur de parpaings. En cette mi-journée, à Okami, un village de
2 000 habitants situé à une heure de route de la capitale, Tbilissi,
le buste de Staline resplendit au bord de la
rue. Un bronze d'une teinte rosée, dressé sur un bloc de béton. Le Petit Père
des peuples regarde droit devant, les cheveux soigneusement peignés, la vareuse
boutonnée au ras du cou, l'étoile soviétique épinglée à la poitrine. Le cadre
est champêtre. Les coquelicots parsèment les herbes hautes, les acacias
parfument les jardins, les vergers s'étendent à flanc de colline. Seule fausse
note, cette vieille conduite de gaz qui barre le champ de vision de Staline.
Ici, nul ne sait précisément
dans quelles circonstances le « Guide » est apparu. Deux prêtres
l'auraient apporté l'an passé. L'acquéreur l'a ensuite exposé à la vue de tous
en l'installant au bout de son terrain. « Il
faisait fusiller ceux qui méritaient de l'être », lance une
femme de la propriété avant de disparaître. Dans le coin, c'est sans doute la
seule à le penser.
L'artisan de la Grande Terreur a beau être né en Géorgie, la soudaine
arrivée de sa statue jette le trouble. « Il
n'a rien à faire ici, s'agace une retraitée, nous on veut
l'Europe. »« Regardez ce que je transporte, poursuit-elle
en montrant deux bonbonnes. Il
n'y a plus d'eau potable dans le village depuis dix jours, vous trouvez ça
normal ? » Une mère surgit avec ses deux enfants, qui
grimpent aussitôt sur la statue. « Cassez-lui
la tête ! » crie-t-elle. Elle s'avance, évoque les
événements de la guerre contre la Russie
en 2008. « On a vu les
chars russes dans les rues autour, on ne veut plus ça, on veut que l'Occident
nous protège. » Si possible, loin des emblèmes soviétiques.
D'autant que le fantôme de Staline essaime ailleurs, dans d'autres bourgades,
avec la bénédiction des autorités. À Noël dernier, sa figure a même orné une
icône au sein de la cathédrale de la Sainte-Trinité, dans la capitale.
Nous
sommes tous géorgiens (sauf les bouffons du poutinisme)
Une mobilisation plutôt festive Ainsi se déroule la campagne prorusse du pouvoir géorgien. Une campagne
à la fois insidieuse et brutale dans cette ancienne république soviétique de
4 millions d'habitants, où quatre adultes sur cinq se déclarent en faveur
d'une adhésion à l'Union européenne. Depuis un mois, l'adoption d'une loi
enflamme l'opinion : un texte sur les « agents étrangers »,
semblable à une loi russe entrée en vigueur en 2012. Son but ? Intimider
les médias et les associations financés par des fonds étrangers. Autrement dit,
museler l'opposition et bannir les observateurs lors des prochaines élections
législatives en octobre. Sauf que les autorités ont sous-estimé une
chose : la réaction de la rue.
Pour
nous, l’Europe, c’est la liberté, l’éducation et la paix. Une étudiante de l’Université du
Caucase
Des dizaines de milliers de personnes se rassemblent chaque soir à
Tbilissi et dans les grandes villes pour conspuer la « loi russe ». Une
mobilisation plutôt festive. Entre l'hymne géorgien et celui de l'Union
européenne, l'Ode à la joie
de Beethoven, les jeunes, en très grand nombre, improvisent des jeux. Beaucoup
s'assoient sur le bitume et jouent au Uno. D'autres entament une balle aux
prisonniers. D'autres encore se lancent dans des chorégraphies où se déploient
les drapeaux géorgiens et européens. S'il pleut, des volontaires distribuent
gratuitement des imperméables achetés grâce aux dons collectés sur les réseaux
sociaux. « Pour nous,
l'Europe, c'est la liberté, l'éducation et la paix », proclame
une étudiante de l'Université du Caucase. « Et
la Russie, c'est tout le contraire », ajoute sa camarade.
Géorgie :
pourquoi la perspective d'une entrée dans l'UE s'éloigne
Tabassage
La menace n'est jamais loin. Des drones clignotent dans le ciel, des
silhouettes se faufilent sur les toits des bâtiments officiels. Une armée de
policiers vêtus de noir et masqués charge régulièrement la foule et tabasse.
Ils ciblent d'abord les leaders politiques, les responsables associatifs, les
journalistes. La dernière victime s'appelle David Katsarava, 42 ans, à la
tête d'un mouvement dénonçant l'occupation russe des provinces géorgiennes de
l'Abkhazie et de l'Ossétie du Sud. « Vous
savez très bien que vous défendez les Russes ! »
lance-t-il face à un cordon policier. Il est aussitôt embarqué. Quelques heures
plus tard, sa photo circule. Il repose sur un lit d'hôpital, le visage
ensanglanté, l'œil gauche affreusement gonflé.
Quelques jours auparavant, c'est Levan Khabeichvili, 37 ans,
député et chef du Mouvement national uni, l'un des principaux partis
d'opposition, qui subit le même sort. « Ils
m'ont battu pendant une demi-heure, raconte-t-il dans le hall d'un
hôtel, j'ai dû être opéré des
os des pommettes et du nez et la sauvegarde de mon œil n'est pas
garantie. » Il détaille la scène. « Leur chef me filmait, il me criait : “Dis-moi
que tu es un lâche, que tu as peur, supplie-moi et on arrête.” Je savais qu'il
voulait utiliser cette vidéo, je me taisais. »
Une Légion d'honneur décernée par
Macron
En face, le pouvoir campe sur ses positions. Une figure
l'incarne : Bidzina Ivanichvili, 68 ans, fondateur du parti Le Rêve
géorgien. C'est un homme d'affaires à la tête d'une fortune estimée à
6,5 milliards de dollars, équivalant à un quart du PIB de la Géorgie,
amassée en Russie dans les secteurs de l'aluminium, des mines de fer, de la
banque, de la pharmacie. À l'époque, il détient aussi 1 % du capital du
géant gazier russe Gazprom. Il arrive au pouvoir en 2012, succédant à Mikhaïl Saakachvili , le héros de
la « révolution des roses », aujourd'hui emprisonné à Tbilissi sous
le coup de fausses accusations. Au début du règne d'Ivanichvili, les
Occidentaux veulent croire qu'il maintiendra les réformes de son prédécesseur
fondées sur l'éradication de la corruption et l'ancrage du pays à l'Ouest.
Après tout, le nouvel homme fort a séjourné en France dans les
années 1990. Il a même contracté un mariage à Paris, conclu trois ans plus
tard par un divorce. Il exhibe un passeport français et une Légion d'honneur
décernée par Emmanuel Macron en 2021. Et il ne cesse de proclamer sa foi dans
l'Union européenne. « Vous
avez été bien naïfs, souligne Batu Kutelia, ancien chef du
renseignement géorgien et ancien ambassadeur de Géorgie à Washington, vous ne voyez pas que, depuis dix ans,
il se conforme à l'agenda du Kremlin et recourt à des méthodes identiques de
kleptocrates ? »
Vous
ne voyez pas que, depuis dix ans, Ivanichvili se conforme à l’agenda du Kremlin
et recourt à des méthodes identiques de kleptocrates ? Batu Kutelia, ancien chef du
renseignement géorgien
Pas faux. Les signaux se multiplient même rapidement. S'il n'occupe
aucune fonction exécutive, il place ses affidés aux postes clés. Le ministre de
l'Intérieur est un ancien garde du corps. À une période, le ministre de la
Santé fut le dentiste de sa femme. L'ancien Premier ministre Irakli
Garibachvili, en poste jusqu'en janvier, gérait jadis son courrier. Il invitait
aussi les chanteurs de rap comme MC Solaar à se produire avec Bera, le fils
aîné du maître du pays. « Appelez-le
comme vous voulez », répond Ivanichvili aux journalistes qui
l'interrogent sur le maigre pedigree de Garibachvili, lors de sa nomination à
la tête du gouvernement. Quant aux autres disciples, ils proviennent de ses
entreprises, notamment la banque Cartu. Trente-huit d'entre eux débarquent
ainsi aux commandes des chaînes de télévision, de la Cour suprême, des
municipalités. De quoi monter de juteux contrats. « Si la petite corruption demeure à un faible niveau,
la corruption à grande échelle explose mais cela ne se voit pas dans les classements »,
souligne Eka Gigauri, responsable de l'ONG anticorruption Transparency
International. L'ancien Premier ministre Garibachvili, lui-même, agit sans état
d'âme. Il affrète un avion gouvernemental pour accompagner son fils lors de sa
rentrée dans une université américaine de Pennsylvanie.
L'influence de Moscou grandit. Plusieurs centaines d'agents des
services russes opéreraient sur le territoire géorgien. Récemment, un
ex-procureur général en fuite en Russie a été accusé par les États-Unis de
collaborer avec le service de renseignements russes FSB. Des doutes pèsent
aussi sur Ilia Chamouguia, le chef du cabinet du Premier ministre. Le haut
fonctionnaire au crâne rasé, présent à toutes les rencontres officielles,
aurait disposé de la nationalité russe jusqu'en 2018. Son père gérerait une affaire
pétrolière avec les Russes.
Théorie du complot
Sans parler d'Ivanichvili lui-même. « Il
a une ligne directe avec le Kremlin, affirme Guiorgui Gakharia,
l'un de ses anciens ministres de l'Intérieur, aujourd'hui dans l'opposition. Il va toujours vers ceux qui lui
garantissent sa sécurité financière et son maintien au pouvoir. »
Un membre éminent du clan le confirme : l'ancien conseiller Guiorgui
Khoukhachvili, considéré comme l'idéologue du Rêve géorgien. L'homme reçoit
dans une maison à la façade couverte de roses blanches, à la périphérie de
Tbilissi. Lui aussi est un déçu du régime. « Il
m'a longtemps dit que j'étais son seul ami, raconte-t-il, mais je savais qu'il mentait. »
Vladimir Poutine ?
« C'était un sujet tabou,
il me disait juste qu'il avait quitté la Russie parce qu'il lui faisait
peur. » Ses idées ? « Il
n'a pas de valeurs, il peut hisser le drapeau européen le matin et le drapeau
russe le soir. » Seuls comptent ses biens. « Lorsque dans les années
1990 les gangs voulaient s'en prendre à ses actifs, il a sollicité la
protection de gens haut placés au sein du FSB. »
Ivanichvili
n’a pas de valeurs, il peut hisser le drapeau européen le matin et le
drapeau russe le soir. Guiorgui Khoukhachvili
La défense de ses intérêts continue à l'obséder. Exemple ?
L'affaire du Credit Suisse, une banque auprès de laquelle il a placé
1,1 milliard de dollars en 2005 avant d'être victime d'une fraude. « Cela a été un choc énorme pour
lui car il a consacré beaucoup d'efforts à transférer cet argent en
Europe », poursuit son ex-conseiller Guiorgui Khoukhachvili.
Au point qu'il nourrit désormais une théorie du complot : l'Occident
l'empêcherait de récupérer ses fonds. C'est même la raison pour laquelle il a
refusé de rencontrer le sous-secrétaire d'État américain James O'Brien, venu à
Tbilissi le 14 mai, pour tenter de résoudre la crise. « M. Ivanichvili est sous
sanctions », a justifié Irakli Kobakhidze, le Premier
ministre, alors qu'aucune décision ne vise l'intéressé. « Ça risque de mal se passer, les
Américains pensent qu'il a dépassé les bornes », souligne le
leader d'opposition et ancien prisonnier politique Nika Gvaramia, 47 ans,
dans les locaux de son parti baptisé Nouveau. Lui-même sort d'une rencontre
avec O'Brien et la délégation américaine. « Ils
sont furieux », répète-t-il. D'autant qu'au cours de la
réunion l'opposant a reçu un coup de téléphone anonyme accompagné d'une bordée
d'injures. « J'ai branché
le haut-parleur, j'ai traduit et je leur ai expliqué que nous étions chaque
jour des centaines à recevoir ces coups de fil d'insultes. »
« Les États-Unis ont versé 6 milliards de dollars d'assistance à la
Géorgie depuis 1992 », a rappelé le représentant américain.
« Le parti mondial de la
guerre »
Outre la loi sur l'influence étrangère, un événement a sidéré le camp
occidental : le discours d'Ivanichvili, le 29 avril, devant ses
partisans acheminés en bus. Ce jour-là, l'oligarque chausse les bottes de
Vladimir Poutine. Et fustige « le
parti mondial de la guerre » accusé de vouloir « provoquer un changement de
gouvernement depuis l'étranger ». Vingt minutes de rhétorique
surréaliste alors que le pays s'est vu attribuer en décembre le statut de
candidat à l'Union européenne. « La
Géorgie d'Ivanichvili n'est plus vraiment comestible pour l'Europe », souffle
un diplomate.
La « loi russe » n'afflige pas seulement les Géorgiens. Elle
inquiète aussi les 100 000 Russes arrivés dans le pays depuis le
début de la guerre en Ukraine. C'est le cas de Maria, 36 ans, une ancienne
responsable du bureau à Tcheliabinsk de l'opposant Alexeï Navalny, décédé en
février en prison. « Je
me prépare à partir pour l'Allemagne, raconte-t-elle, ici je ne me sens plus en
sécurité. » Ces derniers jours, elle reçoit de mystérieux
messages sur son portable. « Pourquoi
tes amis ne vont pas combattre les Ukrainiens ? » dit
l'un d'eux. « J'ai peur
d'être arrêtée et renvoyée en Russie, une enquête pénale est ouverte contre
moi là-bas. »
Géorgie :
la peur du grand remplacement par les Russes
Des requins et des dauphins
Pas de quoi troubler Bidzina Ivanichvili. Car, si l'homme aime le
mouvement des capitaux, il déteste celui des humains vers l'Ouest. « Avec l'ouverture des frontières
de l'URSS, les gens ont constaté qu'on vivait mieux ailleurs et cela les a
rendus plus malheureux, lâche-t-il un jour devant les caméras. Moi-même, j'ai grandi sans chaussures
dans mon village et j'étais très heureux. » D epuis, le gamin
de la campagne s'est bien rattrapé. Sur les hauteurs de Tbilissi, il vit dans
le luxe froid de sa villa de 10 000 mètres carrés, construite pour
50 millions de dollars et assez comparable à l'architecture d'un terminal
d'aéroport. Ses journées obéissent à une routine. Il se lève à 6 heures,
sort parcourir dix mille pas dans le jardin botanique situé en contrebas puis
il rentre. Le temps s'écoule ensuite devant un aquarium géant peuplé de
requins.
Le week-end, dans sa demeure située sur les bords de la mer Noire, il
se retrouve à nouveau devant un aquarium, cette fois occupé par des dauphins. « Mon côté requin pour le travail,
mon côté dauphin pour la famille », dit-il à ses proches.
Quant aux visiteurs ayant partagé un repas à ses côtés, ils ressortent effarés.
« C'est une cuisine sans
saveur, commente l'un d'eux, il
n'y a ni sel, ni épices, ni huile mais il prétend qu'il vivra longtemps. »
Enfin sonne l'heure du coucher à 22 heures… Ivanichvili n'a pas
ouvert un livre de la journée. « Ma
femme, Eka, me raconte ce qu'elle lit », se défend-il. Il
tente de faire illusion sur les plateaux de télévision. Pour la préparation
d'une émission consacrée aux artistes, il appelle un jour un professeur de
philosophie. « As-tu
entendu parler de Nietzsche ? lui demande-t-il. Alors, rédige-moi trois pages sur
lui. » Puis le voilà, durant l'interview, qui entre en
guerre contre la philosophie nietzschéenne, ou ce qu'il en a perçu, sans que
nul en comprenne les raisons.
Une compilation le captive néanmoins : la lecture du dossier Z,
déposé chaque soir par ses services de renseignements. Il y figure la
retranscription des conversations de ses fidèles mis sur écoute. « Il adore les commérages et les
coucheries », raconte son ancien conseiller Guiorgui
Khoukhachvili. Il y aurait un premier cercle de 50 à 60 personnes
écoutées en direct, un second de 300 à 400 personnes dont les
discussions sont décryptées plus tard, enfin un troisième cercle de
10 000 personnes dont on ressort les fiches s'il faut les
compromettre. Le conseiller sourit : « J'appartiens
à la première catégorie, autrement dit, Ivanichvili saura avant de s'endormir
que je vous ai rencontré. »
De toute façon comme l’EUROPE (dite unie aboie mollement) depuis
que POUTINE annexe ces ex satellites de l’ex URSS déchue mais devenue féderation
de RUSSIE avec son dictateur déjanté nostalgique de l’ex empire Russe tsariste
avec notre dirigeant macronien qui a préféré bavarder avec ce dictateur barbare
et le recevoir en grande pompe chez nous et qui a d’ailleurs continué à se moquer de nous pauvres petits Français
naïfs dans un pays qui régresse sans cesse de croyant à l’abri sous notre
parapluie atomique que la Russie a aussi bien plus puissant entre les mains d’un
déséquilibré qui peut toujours dérailler car bien sûr avec nos dirigeants bienpensant
donneurs de leçons que personne n’écoute qui ont atteint le summum de l’incompétence
car bien sûr avec cet épouvantail virtuel otanien US nos cousins d’Amériques occupés
à réélire un de leurs 2 ex présidents déjà pré retraités car bien âgés et cette
Europe (dite) Unie sur le papier mais tellement inefficace au vue de leur politique
internationale dont certains tirent la couverture à eux qui ne nous protège pas de ces dictatures ou démocratures
pilotés par des malades d’un autre temps malgré les exemples passés par nos histoires
européennes et mondiales de 80 ans ce qui n’est que la durée de vie moyenne des
hommes car les pays libres et démocratiques la composant ne nous protègent pas
assez !?
Mais nous le peuple Français lambda nous sommes souvent
arrogant par les voix de nos dirigeants de nos pays occidentaux que les pays
totalitaires détestent et qui sont attachés à leurs petits conforts personnels
de pays modérés et développés par un égocentrisme au-dessus de la moyenne
donneurs de leçon bienpensant hypocrites « du chacun pour soi » dévastateur
car se croyant les meilleurs et oubliant leurs passés historiques et guerriers sans
compter leur médias divers ou réseaux sociaux qui remplissent leurs poubelles déjà
trop pleines !?
Jdeclef 27/05/2024
11h20
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