lundi 27 mai 2024

Les Européens et dirigeants des pays libres et démocratiques USA compris ne sont que des bavards s’écoutant parler comme notre président que nous avons élu et réélu mais il n’y a pas que lui les autres avants n’étaient pas mieux…

 

Poutine fait main basse sur la Géorgie : OUI BIEN SUR PERSONNE NE L’A ARRETE EN EUROPE DES LE DEBUT AVEC L’UKRAINE ET DANS LE MONDE ALORS QUE LES USA ET L’UE LE POUVAIT DES LE DEBUT C’EST TOUT CE QUI CONFIRME LA PLEUTRERIE DE NOS DIRIGEANTS OCCIDENTAUX !?

En s’appuyant sur Bidzina Ivanichvili, un milliardaire local, fondateur du parti Le Rêve géorgien, Moscou impose sa loi dans la petite république qui penche vers l’Ouest.

Il brille devant un mur de parpaings. En cette mi-journée, à Okami, un village de 2 000 habitants situé à une heure de route de la capitale, Tbilissi, le buste de Staline resplendit au bord de la rue. Un bronze d'une teinte rosée, dressé sur un bloc de béton. Le Petit Père des peuples regarde droit devant, les cheveux soigneusement peignés, la vareuse boutonnée au ras du cou, l'étoile soviétique épinglée à la poitrine. Le cadre est champêtre. Les coquelicots parsèment les herbes hautes, les acacias parfument les jardins, les vergers s'étendent à flanc de colline. Seule fausse note, cette vieille conduite de gaz qui barre le champ de vision de Staline.

Ici, nul ne sait précisément dans quelles circonstances le « Guide » est apparu. Deux prêtres l'auraient apporté l'an passé. L'acquéreur l'a ensuite exposé à la vue de tous en l'installant au bout de son terrain. « Il faisait fusiller ceux qui méritaient de l'être », lance une femme de la propriété avant de disparaître. Dans le coin, c'est sans doute la seule à le penser.

L'artisan de la Grande Terreur a beau être né en Géorgie, la soudaine arrivée de sa statue jette le trouble. « Il n'a rien à faire ici, s'agace une retraitée, nous on veut l'Europe. »« Regardez ce que je transporte, poursuit-elle en montrant deux bonbonnes. Il n'y a plus d'eau potable dans le village depuis dix jours, vous trouvez ça normal ? » Une mère surgit avec ses deux enfants, qui grimpent aussitôt sur la statue. « Cassez-lui la tête ! » crie-t-elle. Elle s'avance, évoque les événements de la guerre contre la Russie en 2008. « On a vu les chars russes dans les rues autour, on ne veut plus ça, on veut que l'Occident nous protège. » Si possible, loin des emblèmes soviétiques. D'autant que le fantôme de Staline essaime ailleurs, dans d'autres bourgades, avec la bénédiction des autorités. À Noël dernier, sa figure a même orné une icône au sein de la cathédrale de la Sainte-Trinité, dans la capitale.

 Nous sommes tous géorgiens (sauf les bouffons du poutinisme)

Une mobilisation plutôt festive

Ainsi se déroule la campagne prorusse du pouvoir géorgien. Une campagne à la fois insidieuse et brutale dans cette ancienne république soviétique de 4 millions d'habitants, où quatre adultes sur cinq se déclarent en faveur d'une adhésion à l'Union européenne. Depuis un mois, l'adoption d'une loi enflamme l'opinion : un texte sur les « agents étrangers », semblable à une loi russe entrée en vigueur en 2012. Son but ? Intimider les médias et les associations financés par des fonds étrangers. Autrement dit, museler l'opposition et bannir les observateurs lors des prochaines élections législatives en octobre. Sauf que les autorités ont sous-estimé une chose : la réaction de la rue.

Pour nous, l’Europe, c’est la liberté, l’éducation et la paix.Une étudiante de l’Université du Caucase

Des dizaines de milliers de personnes se rassemblent chaque soir à Tbilissi et dans les grandes villes pour conspuer la « loi russe ». Une mobilisation plutôt festive. Entre l'hymne géorgien et celui de l'Union européenne, l'Ode à la joie de Beethoven, les jeunes, en très grand nombre, improvisent des jeux. Beaucoup s'assoient sur le bitume et jouent au Uno. D'autres entament une balle aux prisonniers. D'autres encore se lancent dans des chorégraphies où se déploient les drapeaux géorgiens et européens. S'il pleut, des volontaires distribuent gratuitement des imperméables achetés grâce aux dons collectés sur les réseaux sociaux. « Pour nous, l'Europe, c'est la liberté, l'éducation et la paix », proclame une étudiante de l'Université du Caucase. « Et la Russie, c'est tout le contraire », ajoute sa camarade.

Géorgie : pourquoi la perspective d'une entrée dans l'UE s'éloigne

 

Tabassage

La menace n'est jamais loin. Des drones clignotent dans le ciel, des silhouettes se faufilent sur les toits des bâtiments officiels. Une armée de policiers vêtus de noir et masqués charge régulièrement la foule et tabasse. Ils ciblent d'abord les leaders politiques, les responsables associatifs, les journalistes. La dernière victime s'appelle David Katsarava, 42 ans, à la tête d'un mouvement dénonçant l'occupation russe des provinces géorgiennes de l'Abkhazie et de l'Ossétie du Sud. « Vous savez très bien que vous défendez les Russes ! » lance-t-il face à un cordon policier. Il est aussitôt embarqué. Quelques heures plus tard, sa photo circule. Il repose sur un lit d'hôpital, le visage ensanglanté, l'œil gauche affreusement gonflé.

Quelques jours auparavant, c'est Levan Khabeichvili, 37 ans, député et chef du Mouvement national uni, l'un des principaux partis d'opposition, qui subit le même sort. « Ils m'ont battu pendant une demi-heure, raconte-t-il dans le hall d'un hôtel, j'ai dû être opéré des os des pommettes et du nez et la sauvegarde de mon œil n'est pas garantie. » Il détaille la scène. « Leur chef me filmait, il me criait : “Dis-moi que tu es un lâche, que tu as peur, supplie-moi et on arrête.” Je savais qu'il voulait utiliser cette vidéo, je me taisais. »

Une Légion d'honneur décernée par Macron

En face, le pouvoir campe sur ses positions. Une figure l'incarne : Bidzina Ivanichvili, 68 ans, fondateur du parti Le Rêve géorgien. C'est un homme d'affaires à la tête d'une fortune estimée à 6,5 milliards de dollars, équivalant à un quart du PIB de la Géorgie, amassée en Russie dans les secteurs de l'aluminium, des mines de fer, de la banque, de la pharmacie. À l'époque, il détient aussi 1 % du capital du géant gazier russe Gazprom. Il arrive au pouvoir en 2012, succédant à Mikhaïl Saakachvili, le héros de la « révolution des roses », aujourd'hui emprisonné à Tbilissi sous le coup de fausses accusations. Au début du règne d'Ivanichvili, les Occidentaux veulent croire qu'il maintiendra les réformes de son prédécesseur fondées sur l'éradication de la corruption et l'ancrage du pays à l'Ouest. Après tout, le nouvel homme fort a séjourné en France dans les années 1990. Il a même contracté un mariage à Paris, conclu trois ans plus tard par un divorce. Il exhibe un passeport français et une Légion d'honneur décernée par Emmanuel Macron en 2021. Et il ne cesse de proclamer sa foi dans l'Union européenne. « Vous avez été bien naïfs, souligne Batu Kutelia, ancien chef du renseignement géorgien et ancien ambassadeur de Géorgie à Washington, vous ne voyez pas que, depuis dix ans, il se conforme à l'agenda du Kremlin et recourt à des méthodes identiques de kleptocrates ? »

Vous ne voyez pas que, depuis dix ans, Ivanichvili se conforme à l’agenda du Kremlin et recourt à des méthodes identiques de kleptocrates ?Batu Kutelia, ancien chef du renseignement géorgien

Pas faux. Les signaux se multiplient même rapidement. S'il n'occupe aucune fonction exécutive, il place ses affidés aux postes clés. Le ministre de l'Intérieur est un ancien garde du corps. À une période, le ministre de la Santé fut le dentiste de sa femme. L'ancien Premier ministre Irakli Garibachvili, en poste jusqu'en janvier, gérait jadis son courrier. Il invitait aussi les chanteurs de rap comme MC Solaar à se produire avec Bera, le fils aîné du maître du pays. « Appelez-le comme vous voulez », répond Ivanichvili aux journalistes qui l'interrogent sur le maigre pedigree de Garibachvili, lors de sa nomination à la tête du gouvernement. Quant aux autres disciples, ils proviennent de ses entreprises, notamment la banque Cartu. Trente-huit d'entre eux débarquent ainsi aux commandes des chaînes de télévision, de la Cour suprême, des municipalités. De quoi monter de juteux contrats. « Si la petite corruption demeure à un faible niveau, la corruption à grande échelle explose mais cela ne se voit pas dans les classements », souligne Eka Gigauri, responsable de l'ONG anticorruption Transparency International. L'ancien Premier ministre Garibachvili, lui-même, agit sans état d'âme. Il affrète un avion gouvernemental pour accompagner son fils lors de sa rentrée dans une université américaine de Pennsylvanie.

L'influence de Moscou grandit. Plusieurs centaines d'agents des services russes opéreraient sur le territoire géorgien. Récemment, un ex-procureur général en fuite en Russie a été accusé par les États-Unis de collaborer avec le service de renseignements russes FSB. Des doutes pèsent aussi sur Ilia Chamouguia, le chef du cabinet du Premier ministre. Le haut fonctionnaire au crâne rasé, présent à toutes les rencontres officielles, aurait disposé de la nationalité russe jusqu'en 2018. Son père gérerait une affaire pétrolière avec les Russes.

Théorie du complot

Sans parler d'Ivanichvili lui-même. « Il a une ligne directe avec le Kremlin, affirme Guiorgui Gakharia, l'un de ses anciens ministres de l'Intérieur, aujourd'hui dans l'opposition. Il va toujours vers ceux qui lui garantissent sa sécurité financière et son maintien au pouvoir. » Un membre éminent du clan le confirme : l'ancien conseiller Guiorgui Khoukhachvili, considéré comme l'idéologue du Rêve géorgien. L'homme reçoit dans une maison à la façade couverte de roses blanches, à la périphérie de Tbilissi. Lui aussi est un déçu du régime. « Il m'a longtemps dit que j'étais son seul ami, raconte-t-il, mais je savais qu'il mentait. » Vladimir Poutine ? « C'était un sujet tabou, il me disait juste qu'il avait quitté la Russie parce qu'il lui faisait peur. » Ses idées ? « Il n'a pas de valeurs, il peut hisser le drapeau européen le matin et le drapeau russe le soir. » Seuls comptent ses biens. « Lorsque dans les années 1990 les gangs voulaient s'en prendre à ses actifs, il a sollicité la protection de gens haut placés au sein du FSB. »

 Ivanichvili n’a pas de valeurs, il peut hisser le drapeau européen le matin et le drapeau russe le soir.Guiorgui Khoukhachvili

La défense de ses intérêts continue à l'obséder. Exemple ? L'affaire du Credit Suisse, une banque auprès de laquelle il a placé 1,1 milliard de dollars en 2005 avant d'être victime d'une fraude. « Cela a été un choc énorme pour lui car il a consacré beaucoup d'efforts à transférer cet argent en Europe », poursuit son ex-conseiller Guiorgui Khoukhachvili. Au point qu'il nourrit désormais une théorie du complot : l'Occident l'empêcherait de récupérer ses fonds. C'est même la raison pour laquelle il a refusé de rencontrer le sous-secrétaire d'État américain James O'Brien, venu à Tbilissi le 14 mai, pour tenter de résoudre la crise. « M. Ivanichvili est sous sanctions », a justifié Irakli Kobakhidze, le Premier ministre, alors qu'aucune décision ne vise l'intéressé. « Ça risque de mal se passer, les Américains pensent qu'il a dépassé les bornes », souligne le leader d'opposition et ancien prisonnier politique Nika Gvaramia, 47 ans, dans les locaux de son parti baptisé Nouveau. Lui-même sort d'une rencontre avec O'Brien et la délégation américaine. « Ils sont furieux », répète-t-il. D'autant qu'au cours de la réunion l'opposant a reçu un coup de téléphone anonyme accompagné d'une bordée d'injures. « J'ai branché le haut-parleur, j'ai traduit et je leur ai expliqué que nous étions chaque jour  des centaines à recevoir ces coups de fil d'insultes. » « Les États-Unis ont versé 6 milliards de dollars d'assistance à la Géorgie depuis 1992 », a rappelé le représentant américain.

« Le parti mondial de la guerre »

Outre la loi sur l'influence étrangère, un événement a sidéré le camp occidental : le discours d'Ivanichvili, le 29 avril, devant ses partisans acheminés en bus. Ce jour-là, l'oligarque chausse les bottes de Vladimir Poutine. Et fustige « le parti mondial de la guerre » accusé de vouloir « provoquer un changement de gouvernement depuis l'étranger ». Vingt minutes de rhétorique surréaliste alors que le pays s'est vu attribuer en décembre le statut de candidat à l'Union européenne. « La Géorgie d'Ivanichvili n'est plus vraiment comestible pour l'Europe », souffle un diplomate.

La « loi russe » n'afflige pas seulement les Géorgiens. Elle inquiète aussi les 100 000 Russes arrivés dans le pays depuis le début de la guerre en Ukraine. C'est le cas de Maria, 36 ans, une ancienne responsable du bureau à Tcheliabinsk de l'opposant Alexeï Navalny, décédé en février en prison. « Je me prépare à partir pour l'Allemagne, raconte-t-elle, ici je  ne me sens plus en sécurité. » Ces derniers jours, elle reçoit de mystérieux messages sur son portable. « Pourquoi tes amis ne vont pas combattre les Ukrainiens ? » dit l'un d'eux. « J'ai peur d'être arrêtée et renvoyée en Russie, une enquête pénale est ouverte contre moi là-bas. »

 Géorgie : la peur du grand remplacement par les Russes

Des requins et des dauphins

Pas de quoi troubler Bidzina Ivanichvili. Car, si l'homme aime le mouvement des capitaux, il déteste celui des humains vers l'Ouest. « Avec l'ouverture des frontières de l'URSS, les gens ont constaté qu'on vivait mieux ailleurs et cela les a rendus plus malheureux, lâche-t-il un jour devant les caméras. Moi-même, j'ai grandi sans chaussures dans mon village et j'étais très heureux. » Depuis, le gamin de la campagne s'est bien rattrapé. Sur les hauteurs de Tbilissi, il vit dans le luxe froid de sa villa de 10 000 mètres carrés, construite pour 50 millions de dollars et assez comparable à l'architecture d'un terminal d'aéroport. Ses journées obéissent à une routine. Il se lève à 6 heures, sort parcourir dix mille pas dans le jardin botanique situé en contrebas puis il rentre. Le temps s'écoule ensuite devant un aquarium géant peuplé de requins.

Le week-end, dans sa demeure située sur les bords de la mer Noire, il se retrouve à nouveau devant un aquarium, cette fois occupé par des dauphins. « Mon côté requin pour le travail, mon côté dauphin pour la famille », dit-il à ses proches. Quant aux visiteurs ayant partagé un repas à ses côtés, ils ressortent effarés. « C'est une cuisine sans saveur, commente l'un d'eux, il n'y a ni sel, ni épices, ni huile mais il prétend qu'il vivra longtemps. »

Enfin sonne l'heure du coucher à 22 heures… Ivanichvili n'a pas ouvert un livre de la journée. « Ma femme, Eka, me raconte ce qu'elle lit », se défend-il. Il tente de faire illusion sur les plateaux de télévision. Pour la préparation d'une émission consacrée aux artistes, il appelle un jour un professeur de philosophie. « As-tu entendu parler de Nietzsche ? lui demande-t-il. Alors, rédige-moi trois pages sur lui. » Puis le voilà, durant l'interview, qui entre en guerre contre la philosophie nietzschéenne, ou ce qu'il en a perçu, sans que nul en comprenne les raisons.

Une compilation le captive néanmoins : la lecture du dossier Z, déposé chaque soir par ses services de renseignements. Il y figure la retranscription des conversations de ses fidèles mis sur écoute. « Il adore les commérages et les coucheries », raconte son ancien conseiller Guiorgui Khoukhachvili. Il y aurait un premier cercle de 50 à 60 personnes écoutées en direct, un second de 300 à 400 personnes dont les discussions sont décryptées plus tard, enfin un troisième cercle de 10 000 personnes dont on ressort les fiches s'il faut les compromettre. Le conseiller sourit : « J'appartiens à la première catégorie, autrement dit, Ivanichvili saura avant de s'endormir que je vous ai rencontré. »  

De toute façon comme l’EUROPE (dite unie aboie mollement) depuis que POUTINE annexe ces ex satellites de l’ex URSS déchue mais devenue féderation de RUSSIE avec son dictateur déjanté nostalgique de l’ex empire Russe tsariste avec notre dirigeant macronien qui a préféré bavarder avec ce dictateur barbare et le recevoir en grande pompe chez nous et qui a d’ailleurs  continué à se moquer de nous pauvres petits Français naïfs dans un pays qui régresse sans cesse de croyant à l’abri sous notre parapluie atomique que la Russie a aussi bien plus puissant entre les mains d’un déséquilibré qui peut toujours dérailler car bien sûr avec nos dirigeants bienpensant donneurs de leçons que personne n’écoute qui ont atteint le summum de l’incompétence car bien sûr avec cet épouvantail virtuel otanien US nos cousins d’Amériques occupés à réélire un de leurs 2 ex présidents déjà pré retraités car bien âgés et cette Europe (dite) Unie sur le papier mais tellement inefficace au vue de leur politique internationale dont certains tirent la couverture à eux  qui ne nous protège pas de ces dictatures ou démocratures pilotés par des malades d’un autre temps malgré les exemples passés par nos histoires européennes et mondiales de 80 ans ce qui n’est que la durée de vie moyenne des hommes car les pays libres et démocratiques la composant ne nous protègent pas assez !?

Mais nous le peuple Français lambda nous sommes souvent arrogant par les voix de nos dirigeants de nos pays occidentaux que les pays totalitaires détestent et qui sont attachés à leurs petits conforts personnels de pays modérés et développés par un égocentrisme au-dessus de la moyenne donneurs de leçon bienpensant hypocrites « du chacun pour soi » dévastateur car se croyant les meilleurs et oubliant leurs passés historiques et guerriers sans compter leur médias divers ou réseaux sociaux qui remplissent leurs poubelles déjà trop pleines !?

Jdeclef 27/05/2024 11h20

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