mercredi 22 mai 2024

La Petite France avec notre président et son gouvernement et clique de pattes cassée veut se mêler de tout et naturellement s’est planté lamentablement en montrant sa mauvaise gouvernance !?

 

Le ministre de l'Europe et des Affaires étrangères Stéphane Séjourné à l'Assemblée nationale, le 14 mai 2024. © ISA HARSIN/SIPA / SIPA / ISA HARSIN/SIPA

Mandat d'arrêt contre Netanyahou : questionnement autour du « soutien » français à la CPI (la France a encore ouvert sa grande bouche pour dire une ineptie de plus de bien-pensant donneurs de leçons mais devrait déjà balayer devant sa porte en se mêlant de ce qui la regarde car elle a beaucoup à faire !?)

En affichant son « soutien » à la Cour pénale internationale après que son procureur a réclamé un mandat d’arrêt contre le président israélien, le Quai d’Orsay a semé le trouble.

Par Julien Peyron

Publié le 21/05/2024 à 19h35

Lundi après-midi, quelques minutes après que le procureur auprès de la Cour pénale internationale a demandé qu'un mandat d'arrêt soit émis à l'encontre du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, de son ministre de la Défense et de trois dirigeants du Hamas, le Quai d'Orsay a publié un communiqué. Mais celui-ci ne portait pas sur l'annonce-choc – et contestée – de Karim Khan, il présentait les condoléances de la France à la République islamique d'Iran après la mort accidentelle du président Ebrahim Raïssi. Il faudra attendre plusieurs heures et de nombreuses demandes de journalistes pour que la position française soit arrêtée sur la question de la CPI, par la voie d'un autre communiqué, publié après 23 heures.

Dans l'entourage de M. Séjourné, on se défend d'une telle accusation et on dénonce les « raccourcis » de ceux qui font une telle interprétation. Tout juste reconnaît-on une potentielle incompréhension due à la formulation du communiqué. Un proche du ministre concède qu'à la place du « soutien » français, il aurait peut-être mieux fallu se contenter de faire part du « respect » que la diplomatie française porte à la CPI et à son mode de fonctionnement.

 La faillite morale du procureur de la Cour pénale internationale

Autre précision apportée par le proche du ministre : la diplomatie française ne juge pas opportun le fait d'associer dans une même décision le Hamas et le chef du gouvernement israélien. Une « simultanéité », qui « crée une sorte d'équivalence », selon lui. Celle-ci n'est pourtant pas relevée ni encore moins dénoncée dans le communiqué du Quai d'Orsay. Stéphane Séjourné a tenu à apporter cette « clarification » en personne lors des questions au gouvernement à l'Assemblée nationale le 21 mai. Interrogé par la députée Insoumise Nathalie Oziol, qui a de son côté qualifié de « timide » le communiqué français, il a déclaré : « Ces demandes simultanées de mandats d'arrêt ne doivent pas créer d'équivalence entre le Hamas et Israël […], entre un groupe terroriste qui s'est félicité des attentats du 7 octobre, qui les a revendiqués également de manière assumée, et un État démocratique, Israël, qui doit respecter le droit international dans la conduite d'une guerre qu'il n'a pas déclenchée lui-même. »

Une demande « scandaleuse » pour Joe Biden

Reste que la position française paraît bien timide comparée à celle des autres chancelleries occidentales, où la position de Karim Khan a suscité l'indignation. L'Italie de Giorgia Meloni l'a rapidement qualifiée d'« inacceptable », tandis que l'Allemagne a devancé Paris pour dénoncer l'« impression incorrecte d'équivalence entre le Hamas et le gouvernement israélien ». Plus incisif encore, le président Joe Biden a lui aussi brocardé la décision du procureur de la CPI, via un communiqué laconique : « La demande de mandat d'arrêt par le procureur de la CPI contre des leaders israéliens est scandaleuse. Et laissez-moi être clair : quoi que ce procureur semble insinuer, il n'y a pas d'équivalence – il n'y en a aucune – entre Israël et le Hamas. Nous soutiendrons toujours Israël contre les menaces à sa sécurité. » Une prise de position ferme qui intervient alors que le président américain, en campagne pour sa réélection, est contesté par son aile gauche en raison de son soutien à Israël.

« Le procureur de la Cour pénale internationale renvoie Israël et le Hamas dos à dos »

Au Quai d'Orsay, on juge que la position américaine n'est pas surprenante, car les États-Unis n'ont jamais adhéré au Traité de Rome, fondateur de la CPI. Il leur est donc plus facile de dénoncer les travers d'une institution qui a également ouvert des enquêtes pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité à la suite de l'intervention américaine en Afghanistan. Côté français, on se garde de dénigrer une institution « imparfaite » mais qui fait toujours figure de pierre angulaire de la justice internationale. « Ce n'est pas en tapant sur la CPI qu'on fera avancer la justice dans le monde », résume une source diplomatique. Elle espère que les déclarations des ministres suffiront à clarifier la position française en attendant la prochaine étape : l'approbation ou non de la demande du procureur par les juges de la CPI.

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Après ce fiasco en cours avec la Nouvelle Calédonie qui oblige notre président à se déplacer pour encore essayer de pacifier les KANACS et Indépendantistes et discourir ne sachant faire que ça pour montrer que la France est là alors que c’est lui qui a déclenché indirectement ces émeutes car réagissant trop vite alors qu’il avait le temps avec ce changement constitutionnel pour l’ile qui en fait dormait depuis des accords semblant inachevés depuis 1988 ?!

Car notre président girouette pour une fois c’est décidé ce qui n’est pas souvent et s’est planté lamentablement alors que ces problèmes pour ces iliens couvaient depuis longtemps pour une population d’environ 30000 habitants assimilée à une grosse ville française !?

Alors avec notre pays qui va mal mais là c’est 68 millions de Français il est totalement dépassé « et cul par-dessus tête » son expression favorite !?

Et naturellement aussi un incident en cachant un autre la mauvaise réaction du quai d’Orsay notre ministère des affaires étrangères avec cette réflexion ou décision hâtive au sujet de cette CPI inefficace et donc indirectement obligé de faire volteface car inadmissible ce qui prouve une fois de plus la mauvaise gouvernance sans réfléchir par cette clique gouvernementale et sa « macronnie » avec en plus notre président sans amour propre car tout lui glisse sur le dos par son orgueil insensé  comme sur les plumes d’un canard !?

Mais c’est de notre faute à nous Français lambda qui depuis 1958 élisons et réélisons nos dirigeants et leur clique de politiciens de tous bords qui ne travaillent que pour eux archétype de l’individualisme français frondeur principal de nos défauts déjà nombreux !?

Jdeclef 22/05/2024 10h23

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire