dimanche 5 mai 2024

Là c’est « pauvre France » qui continue à tomber si bas qu’elle va vraiment tomber dans le fond d’un caniveau politicien de tous bords d’une nullité remarquable avant de finir dans un égout nauséabond pour satisfaire ses élus de tous bords qui ne pense pas à la France le problème étant que 2027 est encore loin ?!

 

Glucksmann-Mélenchon : la « guerre des roses » aura bien lieu (Des roses sans odeurs mais avec de grosses épines tenus par des faux jetons patentés !?)

LA CHRONIQUE POLITIQUE. Exit le « pacte de non-agression » précaire qui prévalait pour les européennes, les « gauches irréconciliables » sont de retour.

Par Nathalie Schuck

Publié le 05/05/2024 à 11h54, mis à jour le 05/05/2024 à 12h07

« C'est maintenant que les attaques vont arriver. Il faut se tenir prêt », confiait, il y a une dizaine de jours, Raphaël Glucksmann face à sa dynamique dans les sondages, à un peu plus d'un mois des européennes du 9 juin. Il ne croyait pas si bien dire tant le thermomètre a brutalement grimpé cette semaine entre la tête de liste PS-Place publique et les Insoumis.

Les frères ennemis de la gauche faisaient jusqu'ici plus ou moins mine de s'ignorer, chacun menant campagne dans son couloir de nage, même si les soutiens de Glucksmann voyaient clairement la main de LFI derrière les attaques en piqué qu'il subit depuis des mois sur les réseaux sociaux. Il y est accusé régulièrement de se montrer trop complaisant envers Israël, alors même qu'il réclame un « cessez-le-feu », ou d'être un supposé « agent des États-Unis » dans des tweets ouvertement relayés par des militants LFI.

Européennes 2024 : quand la gauche se prend à rêverDes « campagnes de calomnies », réplique Raphaël Glucksmann qui n'a jamais eu la moindre sympathie envers Jean-Luc Mélenchon. S'il avait appelé, lors des législatives de 2022, à faire élire « un maximum de députés » de gauche inscrits sous l'étiquette de la Nupes, c'était en soulignant ses « divergences » avec LFI et son leader. « Elles sont connues et elles sont immenses, sur des sujets plus que fondamentaux », écrivait-il sur Twitter en mai 2022. « Je ne vais donc pas me mettre à chanter "Mélenchon Premier ministre" tous les matins, mais je ferai tout pour que le maximum de voix solidaires, humanistes et écologistes puissent se faire entendre. »

La Nupes morte et enterrée

Cette semaine, le « pacte de non-agression » à gauche, dont rêvait la tête de liste écologiste Marie Toussaint – qui caressait l'espoir d'une campagne dans la « douceur » – a volé en éclats. Empêché de rejoindre le cortège du 1er mai à Saint-Étienne par des jets de peinture et d'œufs, Glucksmann a pointé la responsabilité des Insoumis, notamment, derrière cette agression revendiquée par les Jeunes communistes de la Loire. Et accusé Mélenchon de décomplexer les passages à l'acte violents en semant la violence verbale et la « brutalité » dans le débat public.
Qui a participé à la violente éviction de Raphaël Glucksmann à Saint-Étienne ? Mensonge, s'est époumoné le camp Mélenchon, alors qu'au moins l'un de ses militants a reconnu avoir participé aux huées contre la tête de liste PS-Place publique. Si la Nupes avait été mise en pause après les massacres perpétrés le 7 octobre en Israël par le Hamas et les outrances répétées des Insoumis, la voici morte et enterrée.

« Boules puantes »

Ce vendredi, les crispations entre les deux gauches se sont poursuivies après un tweet outrancier de Manon Aubry suspectant plusieurs députés européens – dont Raphaël Glucksmann, Valérie Hayer (Renaissance) ou François-Xavier Bellamy (Les Républicains) – de « s'en mettre plein les poches » en percevant des revenus annexes à leur mandat, sous-entendu provenant de lobbys.


Si la cause se veut noble – la lutte contre la corruption –, l'accusation est pour le moins déplacée et a fait bondir le patron du PS Olivier Faure. « Fake news », a-t-il riposté, sommant Aubry de retirer un tweet qui la « déshonore » et de réserver ses « boules puantes » à la droite et l'extrême droite. Et pour cause, les sommes reprochées à Glucksmann proviennent… de droits perçus en tant qu'auteur, ce qu'a confirmé sa maison d'édition. « C'est la méthode de tous les ripoux comme Trump. Raphaël Glucksmann n'a jamais reçu d'argent des lobbys, mais des droits d'auteur, comme nombre de LFI qui vendent des livres », cingle Olivier Faure.

2027 dans toutes les têtes

Entre la gauche de rue et la gauche de gouvernement, la guerre est désormais déclarée. Faire deux fois le score de la liste LFI le 9 juin au soir : voilà donc l'objectif de la liste portée par Raphaël Glucksmann, pour espérer redonner de l'air à son camp. Pour les deux « gauches irréconciliables », mélenchoniste et social-démocrate, ce scrutin est peut-être le plus important depuis des années car il dira qui, à trois ans de la prochaine présidentielle, prendra l'ascendant dans les urnes.

 Jean-François Kahn : « Jean-Luc Mélenchon est devenu fou » Si la liste Glucksmann l'emporte avec un score à deux chiffres, comme le lui prédisent les sondages (13,5 % des voix selon le dernier Rolling Ifop/Fiducial quotidien pour Le Figaro, LCI et Sud Radio contre 7,5 % pour la liste des Insoumis), voire, dans ses espoirs les plus fous, en doublant la liste de la macroniste Valérie Hayer, alors la gauche sociale-démocrate pourrait espérer relever enfin la tête et dessiner un chemin vers un retour au pouvoir. Mais si l'écart est trop faible, tous ses rêves risquent d'être réduits à néant. Jean-Luc Mélenchon a parfaitement perçu le danger et entend s'imposer dans les esprits comme le seul barrage possible à gauche à Marine Le Pen.

Mais le risque est grand que ces deux courants de pensée se neutralisent lors de la prochaine présidentielle. Dans le camp social-démocrate, on est bien conscient que tant que le leader de LFI, âgé de 72 ans, sera dans les parages, la gauche dite « raisonnable » n'aura quasiment aucune chance de revenir aux affaires, question d'arithmétique électorale. Les mêmes se rassurent, comme résignés par avance : la présidentielle de 2027, s'il était candidat, serait très probablement sa quatrième et ultime tentative.

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Mais seulement à eux pour leurs carrières et avantages qu’ils ne méritent pas tout comme nos présidents qui se succèdent à qui on a donné trop de pouvoir qu’ils utilisent mal et quand ils le font ce qui n’est pas le cas déjà pour notre président « macronien » actuel procrastinateur pathologique donc ne sachant pas décider pas gouverner correctement et bien sûr ne pas nous protéger  qu’en plus on a réélu et même aidé indirectement par des médias par exemple comme « LE POINT » inféodé au pouvoir en place avec d’autres !?

Car le plus bel exemple déjà économique étant peut être par la fameuse dette pharaonique de 3000 milliard € irremboursables que l’on traine depuis après la fin des années 1970 ou les finances de la France étaient à l’équilibre qui a été creusée depuis avec les prédécesseurs et notre pseudo monarque « macronien » avec cette excuse du COVID qui en fait a été réglée par l’UNION EUROPEENNE comme le reste mais pas par le fameux « quoi qu’il en coute » chèques en blanc émis par notre président actuel qui n’a plus de solution depuis qu’il est au pouvoir en 2017 et réélu jusqu’en 2027 pour enfoncer ce clou rouillé !?

Le plus étonnant c’est d’être soulé par nos dirigeants instituant la peur des extrêmes gauche ou droite alors que les partis dit classiques « macronien » ou autres sont incapables de diriger notre pays et en partie à cause des Français qui se sont laissés vivre et qui s’ils se retrouvaient tous à faire la queue avec d’autres aux associations caritatives comme d’autres qui y sont déjà ou comme par exemple en 1929 aux USA ou en Allemagne (moi je suis âgé ma vie est derrière c’est mon anniversaire ce mois-ci ayant subi la conscription en ALGERIE) alors quand on voit notre président trop jeune penser à envoyer nos soldats en Ukraine pour soi-disant protéger le frontières de l’U.E. pas toute à fait unie je ne suis pas serein !?

Jdeclef 0505/2024 13h49

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