Européennes 2024 :
vers un croisement des courbes entre Glucksmann et Hayer ?! Ça change quoi
les deux sont nuls comme ceux en place tout comme leurs partis usés et leurs intitulés
lamentable ( LFI Place publique Renaissance et autres etc…) qui ne change rien
sur le fond de leur incapacité (car élus ou réélus qui vont voter pour ceux qui
se déplacent et qui le font comme dans une loterie à la Foire pour gagner un kg
de sucre !?) Le tout ponctué par des sondages médiatiques orientés ?!
Dans un
sondage Cluster17 pour « Le Point », l’écart entre la liste PS-Place
publique et celle de Renaissance se réduit dangereusement.
Sans événement majeur, pas de changement
conséquent. La nouvelle enquête sur les intentions de vote réalisée par
Cluster17 pour Le Point ne fait que confirmer des tendances et le
rapport de force qui s'observent déjà depuis plusieurs semaines, avec en
premier lieu l'écart qui se réduit entre Valérie Hayer et Raphaël Glucksmann.
Européennes
2024 : quand Bardella fait la courte échelle à Hayer
Si Renaissance continue de couler, Raphaël Glucksmann fait remonter le PS à
la surface. Le candidat de gauche confirme une ascension, certes modérée, mais
régulière, et affiche désormais 13 % (+ 0,5 point) des intentions de
vote. L'eurodéputé jouit d'une popularité grandissante auprès de tous les
segments de la gauche, mais aussi auprès du centre du spectre politique
français.
Un constat qui s'illustre dans les transferts de voix par
rapport au premier tour de l'élection présidentielle de 2022, avec
49 % des électeurs de Yannick Jadot, 19 % de ceux de Jean-Luc
Mélenchon, et 19 % d'Emmanuel Macron qui expriment leur souhait de
voter en faveur de Raphaël Glucksmann. « La liste PS réconcilie
l'espace social-démocrate et l'espace de la gauche progressiste non-LFI. Toute
la gauche non mélenchoniste se retrouve dans la liste de Glucksmann »,
analyse Jean-Yves Dormagen. Désormais, seuls 2,5 petits points séparent le PS
du parti présidentiel, laissant entrevoir l'éventualité d'un croisement des
courbes si Renaissance ne parvient pas à inverser la tendance.
Le RN, stabilité au sommet
Pendant que Valérie Hayer et Raphaël Glucksmann se battent pour la deuxième
place, Jordan Bardella semble déterminé à
garder sa couronne. Le Rassemblement national conserve 29,5 % d'intentions
de vote et se maintient en tête des sondages. « Il n'y a pas d'enjeu pour
la première place, explique Jean-Yves Dormagen. À part si un événement majeur
se déroule d'ici les élections, le RN gagnera à coup sûr. »
Européennes
2024 : l'écart entre le PS et Renaissance se réduit
Si la montée en puissance du RN tient dans la capacité du parti d'extrême
droite à progressivement fidéliser son socle électoral (86 % des électeurs
de Marine Le Pen en 2022 souhaitent voter pour Jordan Bardella
en juin), elle est aussi le résultat d'une stratégie de conquête de la droite
traditionnelle. « Avec Jordan Bardella, le RN gagne des électeurs dans
tous les segments de la droite, en conquérant un électorat qui votait pour Les
Républicains et même pour Emmanuel Macron. Le RN réalise progressivement une
union des droites par les urnes », soutient le directeur de Cluster17.
Le mythe du RN parti des classes populaires ne
correspond plus à la réalité.Jean-Yves Dormagen
« La sociologie du RN n'est plus du tout la même aujourd'hui. Le vote
RN est désormais transversal tant sur le plan social que démographique »,
affirme Jean-Yves Dormagen. Excepté chez les plus jeunes, qui se tournent
encore vers La France insoumise, toutes les catégories d'âges se positionnent
majoritairement en faveur du RN, y compris les retraités (24 % des
75 ans et plus expriment une intention de vote pour Jordan Bardella),
segment de la population prompt à se rendre aux urnes. Même constat du côté des
tranches de revenus, au sein desquelles le RN domine parmi tous ceux qui
gagnent moins de 5 000 euros par mois. « Le mythe du RN parti
des classes populaires ne correspond plus à la réalité », d'après
Jean-Yves Dormagen. Seules les catégories d'individus les plus diplômés
échappent à cette tendance (seuls 14 % des bac + 5 et plus affichent
une intention de vote à destination du RN, contre 32 % des bac + 2 ou
48 % des électeurs avec un niveau d'étude inférieur au bac).
LFI et LR se maintiennent,
les Écolos et Reconquête ! en baisse
Les tendances observées ces dernières semaines se confirment également dans
le milieu de tableau des élections européennes. La liste de La France insoumise
conduite par Manon Aubry conserve sa quatrième place et 8 % d'intentions
de vote, mais risque de pâtir d'une abstention grandissante chez les jeunes et
les classes populaires, cœur de l'électorat du parti de gauche. Du côté des
Républicains (6 % d'intentions de vote), François-Xavier Bellamy semble
avoir freiné sa chute, mais reste toujours bien loin des heures de gloire de
son parti.
Européennes
2024 : quand la gauche se prend à rêver
Menée par Marie Toussaint, la liste des Écologistes enregistre une légère
baisse (– 0,5 point). Son électorat reste fortement volatil, avec
seulement 50 % de votants sûrs de leur choix. La liste Reconquête !
de Marion Maréchal, quant à elle, se rapproche dangereusement du seuil
fatidique des 5 %, en dessous duquel aucun eurodéputé n'est élu.
L'abstention progresse
Autre enseignement de notre enquête : l'abstention ne cesse de
progresser. Alors que 46 % des électeurs étaient certains d'aller voter
selon notre sondage de la semaine dernière, ils ne sont plus que 43,5 %
aujourd'hui. « La campagne n'a pas pris et n'intéresse pas beaucoup les
électeurs. C'est un signe inquiétant en termes de participation. La majorité
des individus considèrent que cette élection est sans intérêt et sans
conséquence », révèle Jean-Yves Dormagen.
L'abstention est particulièrement élevée
parmi les jeunes et les classes populaires. Seuls 26 % des 18-24 ans,
et 28 % des électeurs gagnants moins de 1 000 euros par
mois portent de l'importance à savoir qui gagnera l'élection européenne de
2024. « Plus vous êtes âgé et aisé, plus vous irez voter. Plus vous
êtes jeune et faisant partie des catégories populaires, moins vous irez
voter. On retrouve la sociologie traditionnelle de la participation, avec une
forte représentation des séniors, des diplômés, et des revenus moyens et
élevés », avance le directeur de Cluster17. À un mois du scrutin, la
campagne européenne est loin d'être la priorité des Français.
Ce qu’il
faut se dire pour les Français qui s’intéressent (un peu et ceux qui y comprennent
quelque chose) à cette classe politique déplorable de tous bords dans notre
pays qui a part changer le noms de leurs partis composés de politiciens lamentables
nuls ne pensant qu’à eux pour bénéficier d’avantages qu’ils ne méritent pas car
élus par des Français naïfs ou stupides depuis + de 40 ans et même avant que
cette V eme république de 1958 existe qui a fait vite long feu avec son
créateur de Gaulle qui a démissionné à cause d’un referendum perdu que l’a
désavoué car ayant cru qu’il pouvait leur faire confiance une erreur mais de
toute façon âgé près d’une retraite méritée mais surtout qui a montré l’égoïsme
et l’individualisme des Français lambda qui croyaient « au chacun pour soi »
dévastateur un de leurs principaux défauts
mais pas le seul car jusqu’à ce jour il y a eu des hauts et des bas dans notre
société française (mais plutôt des bas) car certains de ces politiciens de tout
bords s’acharne à pousser notre pays vers le bas aidé aussi par des médias
orientés vers le pouvoir en place et notre dernier président réélu erreur de plus
d’ailleurs qui s’écoute parler pour ne rien dire d’utile et ce jusqu’en 2027
car c’est cela la vérité !?
Alors surement beaucoup ne voteront pas une élection
européenne qui concerne 27 pays adhérents pourtant utile (si unie) car pas
nationale française pour se défendre militairement et économiquement dans notre
monde devenu instable voir dangereux !?
Moi justement ayant connu tous nos
gouvernements et présidents depuis 1958 (et avant) je crois de moins en moins
que nos concitoyens de tous bords politiques et même apolitique change car les générations
ont changé et les anciens sont comme moi et qui ont encore la mémoire du passé
ont leurs vies derrières eux et nos dirigeants jeunes ne les écoutent pas préférant
jouer aux donneurs de leçons bienpensants hypocrites !?
C’est cela notre France de 2024/2027 tant pis
pour nous lui le président il s’en fiche il est là jusqu’en 2027 !?
Jdeclef 04/05/2024 14h19
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