On le voit et l’entend vraiment trop ce mauvais clown triste !?
Européennes :
Macron, le pari (un peu fou) d’un « remake » ?!
LA CHRONIQUE
DE MICHEL RICHARD. Le président s’était bien tiré des européennes de 2019. Il
s’implique pour récidiver cette année, dans un contexte autrement difficile.
Avec un petit espoir secret…
En 2019, Emmanuel Macron adoubait
Nathalie Loiseau comme tête de liste aux européennes : une femme,
européenne capée mais souvent gaffeuse, inconnue de l'opinion. Résultat :
22,4 %, un score honorable, de 1 % inférieur à celui de la liste de
Marine Le Pen, avec un nombre d'élus identique (23 sièges). En 2024, Emmanuel Macron soutient Valérie
Hayer : une femme, européenne expérimentée, pour l'instant pas
gaffeuse du tout, totalement inconnue.
Après sept ans au pouvoir, le
président a perdu de sa popularité et sa majorité parlementaire. D'ailleurs, la
campagne de Jordan Bardella est plus axée sur l'anti-Macron que sur l'Europe,
par lui mal traitée et fâcheusement instrumentalisée. Les choses étant mal
parties, à plus forte raison faut-il les contrarier. Et « tout donner, ne
rien lâcher », comme le serinent les candidats aux Koh-Lanta ou Top
Chef télévisés ! Macron est ainsi fait.
Alimenter l'antimacronisme
Ses troupes se le sont laissé dire, non sans rudesse. Qu'elles partent en
campagne vaillamment, jours fériés ou pas, leur sort ministériel en
dépendra ! Gabriel Attal n'échappe pas à la remontrance : présenté
comme l'arme anti-Bardella lors de sa nomination, il ne manifestait guère
d'enthousiasme pour l'affronter. Pas de ça ! Macron l'en prie : ce sera le 23 mai.
Les cinq astuces rhétoriques de Jordan BardellaMacron
ne s'exonère lui-même de rien. C'est même un festival. Discours à la Sorbonne,
interview bilan et perspectives dans LaTribune dimanche, grande
interview dans Elle, et, ce samedi 11 mai, réponses aux questions
d'internautes. On parie que ce n'est pas fini.
Cette omniprésence présidentielle a un inconvénient : alimenter un
antimacronisme dont, justement, Bardella se nourrit, et se régale. Mais Macron
choisit bien ses cibles, escomptant discréditer autant qu'il le peut le
programme du RN et grignoter des électorats qui se révèlent flageolants.
Démocraties d'opinion gonflées aux sondages
Ainsi des femmes. Elles se laisseraient séduire par Raphaël Glucksmann. Macron
s'en occupe assidûment. Retour pénitent sur sa phrase malheureuse où il se
disait fier de Gérard Depardieu. Semonce des pères qui s'abstiennent de leur
droit de visite à leurs enfants, laissant toutes les charges aux seules
familles monoparentales. Souci du réarmement nataliste, de l'accès à la PMA, de
l'infertilité. Annonce d'une commission sur la ménopause. Tout ça fait parler,
et même polémiquer, sur le devoir de visite des pères notamment. Ça s'appelle
être en campagne.
Européennes
2024 : Bardella, Hayer, Glucksmann… Nous avons
passé leurs programmes au scalpelProbablement
pas de quoi rattraper la liste RN, qui caracole. Mais Macron n'ignore pas cette
règle moderne des démocraties d'opinion gonflées aux sondages. Le
« ressenti » des résultats électoraux n'est pas mathématique.
Que Bardella, crédité continûment d'un score moyen de 30 %, ne fasse
que 28 % et, au soir de l'élection, dans les commentaires, on parlera plus
de sa baisse relative que de sa victoire. Que Valérie Hayer fasse 18 %
plutôt que 16 % et l'on se réjouira d'un score inattendu. C'est à ça
que travaille Macron, enjoliver la défaite annoncée.
+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Ce qu’il faut enfin faire
comprendre aux Français lambda qui n’y comprennent rien pour beaucoup d’entre
eux car concernant une élection Européenne de ses 27 adhérents à celle-ci pour élire
leurs représentants à cette Assemblée Européenne qui a d’ailleurs bien du mal à
s’unir mais que nous devons subir indirectement même dans nos vies quotidiennes
et pas encore une réussite depuis qu’elle existe ?!
Le président actuel élu par défaut en
2017 suite à défection de son prédécesseur a enfoncé une porte ouverte ce qui
montre la pauvreté intellectuelle des français lambda et de nos politiciens ou dirigeants
depuis que cette Veme république gaullienne de 1958 existe et la réélection de
notre président en 2022 par ces électeurs ne sachant plus voter ou choisir avec
la spécialité de reprendre les mêmes
alors qu’ils demandent le changement mais hélas incurables jusqu’en 2027 mais même
après car faudrait-il qu’il y ait un remplaçant charismatique (c'est-à-dire une autorité, un ascendant naturel provoquant une forte
adhésion chez les autres personnes) mais pas né dans la classe politique
actuelle déplorable ?!
Alors bon ses médias souvent orientés vers
le pouvoir en place s’ingénient à instiller la peur du vilain extrémisme de
droite RN et le beau BARDELLA bon chic bon genre qui ne changera pas grand-chose
sauf à favoriser la fin du quinquennat de ce président moi qui les ait tous
connus comme ceux de ma génération et pour les Français lambda peut être enfin
mieux voter en 2027 le reste n’étant que du bla-bla qui ne sert qu’aux médias
pour faire du buzz habituel sans intérêt !?
Jdeclef 12/05/2024 13h23
+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire