vendredi 31 mai 2024

Cela ne fait que confirmer que les USA nous lâchent et nous mettent un peu plus facilement la tête sous l’eau car eux font maintenant du protectionnisme intelligent pour ramasser les fruits comme ils ont fait avec leur plan Marchal d’après-guerre mondiales de 39/45 c’est d’ailleurs l’anniversaire du débarquement justement de nos allies U.S .?!

 


Eux aux USA  ils ont un vieux président qui fait quelque chose nous en France on a un jeune président qui ne fait rien voilà c'est tout hélas !?

Dette : les États-Unis déposent l'Europe et donnent une leçon d'économie à Macron (C’EST HELAS BIEN FAIT CAR NOUS LE MERITONS !?)

EN ATTENDANT STANDARD & POORS (5/5). Les États-Unis sont endettés à hauteur de 125 % du PIB. Mais, contrairement à la France, cet argent est utilisé pour investir avec des effets sur la croissance.

Par Sarah Dumeau

Publié le 31/05/2024 à 14h00, mis à jour le 31/05/2024 à 14h05

Le président américain Joe Biden prononce un discours à l'occasion du premier anniversaire de la loi sur l'Inflation Reduction Act, à Milwaukee (Wisconsin), le 15 août 2023. © Abaca

Malgré l'explosion de la dette publique française, la conjoncture économique est plutôt morose. Croissance en berne (1 % en 2024 selon les prévisions du gouvernement, 0,7 % selon le consensus des économistes), légère hausse du chômage… Et c'est encore pire à l'échelle de l'Europe : selon les prévisions de la Commission européenne, la croissance de la zone euro devrait péniblement atteindre 0,8 % en 2024.

 Le grand « trou noir » de la productivité

« Le différentiel de croissance entre les États-Unis et la zone euro se fait à partir de 2012. Au sortir de la crise financière, l'Europe va se tourner vers des politiques d'austérité, alors que, aux États-Unis, ils vont accepter une sorte de déficit permanent », contextualise l'économiste à l'OFCE Mathieu Plane. « Ils ont des objectifs économiques et stratégiques qui sont clairs : ils veulent une économie forte à un moment assez important au niveau géostratégique par rapport à la Chine. Ils veulent prendre la main sur les technologies d'avenir, quitte à creuser leur déficit », résume-t-il.

« Privilège exorbitant » du dollar

Les États-Unis ont en effet une dette publique très élevée à près de 32 000 milliards d'euros. En pourcentage du PIB, cela représente 125 %, contre 111 % pour la France. Reste que les enjeux de cette dette ne sont pas vraiment les mêmes. Les Américains bénéficient du « privilège exorbitant » du dollar, déjà dénoncé en 1964 par Valéry Giscard d'Estaing. Leurs bons du Trésor sont donc très prisés. « Tout le monde a envie d'investir en dollars », souligne l'économiste spécialiste des questions financières, Philippe Trainar.

Autre avantage non négligeable : « Ils ont leur politique budgétaire entre les mains », explique Lisa Thomas-Darbois, directrice adjointe des études à l'Institut Montaigne. La Banque centrale américaine (FED) peut ainsi décider de dévaluer la monnaie si la charge de la dette devenait trop lourde, par exemple. La France, qui s'endette en euros et ne contrôle pas la Banque centrale européenne (BCE), est plus contrainte.

 Pourquoi la dette américaine n'inquiète (presque) personne

Surtout, la manne financière ainsi dégagée ne sert pas les mêmes objectifs. « La différence, c'est qu'en France le poids des dépenses publiques représente 57 % du PIB. Aux États-Unis, c'est 39 % [en 2023, NDLR] », souligne l'économiste Marc Touati. En effet, leur modèle social, beaucoup moins protecteur que la sécurité sociale française, est moins onéreux. « Ce n'est pas comparable mais, effectivement, on voit qu'il y a davantage d'investissements dans les nouvelles technologies », explique Lisa Thomas-Darbois, de l'Institut Montaigne.

Créer des milliers d'emplois

En effet, avec l'Inflation Reduction Act (IRA) promulgué en 2022, les États-Unis ont subventionné massivement leurs entreprises d'avenir et incité à la consommation de produits américains. Quelque 369 milliards devraient être mobilisés sur dix ans dans le cadre de ce plan.

Au bout d'un an, les crédits d'impôts avaient déjà permis de doubler les ventes de véhicules électriques aux États-Unis, poussant des constructeurs comme Tesla, Hyundai, Kia ou BMW à investir des milliards dans leurs capacités de production aux États-Unis.

 États-Unis et zone euro : les raisons de l'écart de croissance et d'inflation

L'Amérique a aussi lancé le plan Chips and Science Act pour le secteur stratégique des semi-conducteurs, et le Jobs Act pour améliorer la compétitivité du pays et créer des milliers d'emplois. Et ça marche : « Comme les entreprises ne comptent pas sur l'État au quotidien, quand il y a des aides publiques, ça vient irriguer l'économie. À l'inverse, en France, comme elles sont sous perfusion en permanence, on ne se rend plus compte de l'effet que ça fait », estime Marc Touati.

« Comme une grande famille »

Au point que certains, comme l'économiste Mathieu Plane, considèrent que l'Europe gagnerait à en tirer des enseignements. « Il faut s'en inspirer au moins sur la nécessité d'investir au niveau européen. Au regard de la situation américaine ou chinoise, on ne peut pas juste considérer que l'équilibre des finances publiques est la priorité. Il faut gérer la transition énergétique, développer l'idée d'une réindustrialisation européenne… Sinon, on va mourir les plus riches du cimetière ! » alerte l'économiste à l'OFCE.

 La France doit-elle vraiment réduire ses dépenses publiques ? Une proposition politique qui reste difficile à mener. Il faudrait notamment convaincre l'Allemagne, garante de l'orthodoxie budgétaire. « C'est comme une grande famille, quand il faut prendre une décision, il faut contenter un peu tout le monde et on arrive à une espèce d'équilibre qui n'est pas si satisfaisant que ça », reconnaît Mathieu Plane.

En février, l'Union européenne a entériné de nouvelles règles budgétaires qui restent très proches des anciennes. L'Allemagne et ses alliés dits « frugaux » ont réussi à imposer des réductions automatiques de dette et de déficit aux pays dont le ratio d'endettement dépasse 60 % du PIB. Leurs opposants arguent que ces clauses sévères vont empêcher ces États de réaliser les investissements colossaux nécessaires pour faire face, notamment, au réchauffement climatique.

3 101,2 milliards
C'est le montant de la dette publique française à la fin de l'année 2023.

Deux des trois agences de notation les plus influentes sur les marchés financiers, Fitch Ratings et Moody's, ont mis à jour leur évaluation de la solvabilité de la dette publique française, le 26 avril. Cette révision de la note financière de la France a lieu tous les six mois. Plus de peur que de mal : la France a échappé à une sanction et les deux agences ont maintenu leurs notations, ainsi que leurs perspectives, inchangées. Standard & Poor’s (S & P), considérée comme l’agence la plus influente de toutes, livrera, quant à elle, son verdict ce vendredi 31 mai. Avant cette échéance, « Le Point » vous propose une série en cinq épisodes pour tout comprendre de la situation des finances de la France.
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Quand on a notre président qui était Sorti de l'École nationale d'administration en 2004, il devient inspecteur des finances. En 2007, il est nommé rapporteur adjoint de la commission pour la libération de la croissance française (« commission Attali »). L'année suivante, il rejoint la banque d'affaires Rothschild & Cie, dont il devient associé-gérant en 2010.

On pouvait espèrer mieux ce n’est pas trop demander ?!

Mais ne sachant quoi d’utile ou quoi faire et procrastinateur pathologique en plus donc ne sachant pas décider ne faisant rien à par bavarder en s’écoutant parler pour ne rien dire et comme en plus nous l’avons élu croyant à sa nouveauté de jeune président et en plus réélu après son 1er quinquennat médiocre et qui en plus n’est pas capable de nous protéger correctement que ce soit pour notre sécurité intérieure dans notre simple vie quotidienne (il suffit d’ouvrir la rubrique des faits divers dans nos médias qui jettent en plus de l’huile sur le feu !)

Et bien sûr aussi par notre politique internationale dans un monde instable de plus en plus tendu ou la France n’est plus écoutée dont on se moque avec nos jeux olympiques risqués dans ce contexte hyper tendu ?!

Moi comme tous ceux de ma génération qui est connu tous les présidents et gouvernements de cette VEME REPUBLIQUE devenue pseudo monarchique mal gouverné par ce chef d’état fat bavard champions de discours alambiqués qu’il a le secret que certains naïfs écoutent sans trop les comprendre d’ailleurs ou s’en fichent n’allant plus voter par exemple ?!

Je dis merci à Mr le président avec sa « macronie » déplorable qui nous devons supporter jusqu’en 2027 de regarder la France glisser plus vite dans un trou dont on ne voit pas le fond tant pis si cela lui déplait peut-être mais qui ne semble pas s’en rendre compte ce grand donneur de leçons hypocrite creuses car après tout c’est de la faute des Français lambda qui votent mal !?

JDEclef 31/05/2024 18h23

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