samedi 1 juin 2024

Pauvre monde malade en pleine ébullition qui voudrait refaire son histoire il ne faut pas rêver car le pouvoir l’argent roi avec le profit et l’égoïsme humain étant le maitre mot qu’utilisent nos dirigeants que nous élisons et réélisons dans nos pays démocratiques libres mais chez les hommes il y a encore d’autres différences importantes et ce n’est pas la peine de les citer on les connait car cela fait déjà trop !?

 

400 ans après la naissance de New York, des Amérindiens demandent des comptes pourquoi pas eux car ces peuples divers ont chassés de leur terre manu militari par des pays donneurs de leçons bienpensant mais hypocrites !?

Dépossédés de leurs terres il y a quatre siècles par les colons néerlandais arrivés dans l’actuel New York, les descendants des occupants originels de Manhattan, les Lenapes, se battent pour la reconnaissance. 

De notre correspondant à New York, Alexis Buisson

Publié le 31/05/2024 à 18h00

Une statue du chef Netawatwees installée devant le mémorial de la diaspora Lenape, à Newcomerstown (Ohio), à 720 kilomètres de New York. © USA Today Network/Sipa USA/Sipa

Voici, en substance, ce que dit la version « romantique » des origines de New York. En 1626, Peter Minuit, le directeur de la colonie néerlandaise qui s'était établie deux ans plus tôt dans la zone, a conclu une « belle affaire » en achetant l'île de Manhattan pour l'équivalent en biens de 60 florins auprès de ses habitants de longue date, les Amérindiens lenapes. Une transaction non confirmée qui aurait servi de fondation à la future ville aux gratte-ciel.

Rétablir un récit historique équilibré

« Il existe un traumatisme intergénérationnel qui traverse le temps et affecte les familles et les comportements. Il ne s'efface pas », explique l'artiste Joe Baker, dans son appartement décoré de ses tableaux colorés représentant des rites indigènes.

Descendant de leaders tribaux, cet homme de 78 ans fait partie des quelques Lenapes qui vivent aujourd'hui à Manhattan. En 2009, il a cofondé Lenape Center, une association qui œuvre à promouvoir l'héritage de ce peuple, réparti entre plusieurs nations dans le nord-est et l'ouest du pays.

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Au-delà, il veut rétablir sa place dans le récit de la création des États-Unis – et de New York. « Les générations successives de Lenapes n'ont pas pu profiter des avantages et des opportunités attachés au fait d'être dans cette ville. Ils sont assimilés à des dinosaures qui ne reviendront pas », regrette Hadrien Coumans, l'un des deux autres cofondateurs. « Or, ce n'est pas le cas. »

Au moment où la ville marque les quatre cents ans de l'installation de la colonie néerlandaise qui a donné la « Grosse Pomme », ils demandent que leur situation soit enfin reconnue. « Les Pays-Bas ont besoin d'être mis face à leurs responsabilités pour le génocide qu'ils ont commis, poursuit-il. Ils doivent présenter formellement leurs excuses au plus haut niveau. Ça serait le premier pas vers l'ouverture d'une véritable enquête faite en partenariat avec des historiens américains et lenapes, en vue de réparer le préjudice subi ».

Un mouvement qui s'inscrit dans la foulée du Black Lives Matter

Leurs efforts s'inscrivent sur fond de regain d'intérêt autour de l'expérience amérindienne ces dernières années à New York. La raison : la montée en puissance de mouvements de justice raciale, comme Black Lives Matter, et l'avènement d'une nouvelle génération de responsables de musées et d'historiens, plus sensible à la perspective des minorités.

Plusieurs institutions locales (hôpitaux, administrations, lieux culturels, universités…) se sont mises à reconnaître publiquement – via une plaque commémorative, un message sur leur site Internet ou par une déclaration orale en ouverture d'une pièce de théâtre ou d'un concert – qu'elles se situent sur la terre ancestrale des Lenapes. Une initiative appelée « Land acknowledgment  » (« Reconnaissance de la terre »).

Le manque de documents historiques du côté des peuples indigènes arrangeait les historiens car ils pouvaient raconter la version qu’ils voulaientRussell Shorto

Dans le cadre de l'anniversaire de New York, plusieurs événements mettent en avant leur histoire. Le Museum of the City of New York, dédié à l'histoire locale, a organisé un week-end de festivités et de conférences début mai pour mettre en valeur son héritage. L'intitulé de l'opération : « Nous sommes encore là ! ».

Autre musée majeur, la Société historique de New York consacre jusqu'en juillet une exposition aux origines de la ville. Elle présente notamment un document signé d'un fonctionnaire néerlandais en 1626 mentionnant « l'achat » prétendu de Manhattan et une lettre de réaction de « leaders lenapes actuels ». « D'une certaine manière, le manque de documents historiques du côté des peuples indigènes arrangeait les historiens car ils pouvaient raconter la version qu'ils voulaient. Maintenant, ils ne peuvent plus se contenter de livrer un récit à sens unique », observe Russell Shorto, le commissaire de l'exposition.

Les Pays-Bas renvoyés devant leur responsabilité

Ces initiatives sont soutenues par le consulat des Pays-Bas à New York dans le cadre de son programme « Future 400 », qui ambitionne d'« honorer quatre siècles d'histoire néerlandaise et new-yorkaise avec honnêteté et intégrité » en mettant en lumière les perspectives d'esclaves africains et des peuples indigènes pendant la colonisation.

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Mais Joe Baker et Hadrien Coumans voient cette « ingérence étrangère » d'un mauvais œil. Le 22 juillet, ils organiseront une conférence de presse exceptionnelle avec les chefs des trois nations lenapes reconnues par l'État fédéral américain (Delaware Nation, Delaware Tribe of Indians, Stockbridge-Munsee Community) pour critiquer cette démarche.

Ils préféraient que les Pays-Bas s'attellent à la tâche des « réparations ». Aux États-Unis, ce mot, associé au débat sur le dédommagement des descendants d'esclaves, fait référence à différentes formes de compensations (versement d'argent, création de bourses scolaires, aides pour accéder à la propriété…) pour redresser un tort commis contre un groupe ethnique ou racial. « C'est aux gouvernements des trois nations lenapes souveraines de déterminer à quoi cela pourrait ressembler, conclut Hadrien Coumans. Les Pays-Bas doivent rendre des comptes. Les mots ne suffisent pas. »

Il faut arrêter de s’auto flageller sans cesse par cette nouvelle mode perverse de ses bienpensants donneurs de leçons d’une hypocrisie hypocrite lamentable bien aidée en plus par des médias orientés politiquement dont c’est la raison de vivre par ces évènements courants politiques ou faits divers retentissants graveleux ou horribles du moment que cela fait du scoop comme on dit ?!

Car ce n’est que l’HISTOIRE DU MONDE qui galope comme nos dirigeants divers de tous bords qui gouvernent si mal mais essentiellement pour leurs carrières en courant « après leurs queues comme des chiens perdus » pour des avantages si lucratifs ne pensant qu’à eux !?

Quand on vit dans une métropole importante comme PARIS ou l’IDF qui n’a pas vu par exemple dans le métro par terre dans un couloir ou sur le quai un pauvre hère (Un pauvre hère = un homme misérable lamentable crasseux de l'ancien français haire, pauvre) tendre la main mais (mais ayant quand même un smartphone dans l’autre main) ou même d’ailleurs une femme avec son enfant dans les bras qui mendiait !?

Et cela ne date pas d’aujourd’hui car étant en retraite depuis 2006 et avant quand je travaillais encore j’avais assisté à ce type de rencontre en sortant de l’escalator pour rejoindre mon bureau à la DEFENSE lieu emblématique de concentration d’entreprise et de bureaux et de toute façon cela n’a pas évolué car je vais à PARIS relativement souvent depuis !?

Pour essayer de résumer c’est faits surtout qui font la une des médias confirme que dans les pays libres et démocratiques si donneurs de leçons bien-pensants d’une hypocrisie remarquable car depuis nos guerres de religions et nos croisades car il ne faut pas oublié nos religions et celles obcurantistes barbares et les nôtres aussi sont une tare humaine indélébile on régresse en s’entretuant à qui mieux mieux donc c’est AMERINDIENS ce disent pourquoi pas nous pour une indépendance de leurs pays ou régions car ils étaient là avant les anglais et USA ou même l’EUROPE OCCIDENTALE ou la FRANCE démocratique libre comme pour la nouvelle CALEDONIE chez nous ?!

Jdeclef 01/06/2024 12h44LP

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