vendredi 21 juin 2024

Il faut arrêter avec ce trublion aboyeur de foire semeur de trouble qui est d’ailleurs riche et bien à l’abri du besoin qu’il cesse de se moquer des Français lambda car le président le fait déjà assez comme cela !?

 

La grande chasse aux « riches » du Nouveau Front populaire ON RASE GRATIS EN FRANCE ON A L’HABITUDE JUSQU’A CE QUE LA LAME DU RASOIR CE CASSE ?!

Hausses d’impôts, mesures ciblant l’héritage, « taxe kilométrique sur les produits importés »… La coalition des gauches prépare un matraquage fiscal d’une ampleur inédite. Une folie ?

Par François Miguet

Publié le 21/06/2024 à 14h00, mis à jour le 21/06/2024 à 15h05

Jean-Luc Mélenchon lors d'une réunion de campagne du parti LFI pour les prochaines élections européennes à Lyon, le 6 juin 2024. © Reynaud Julien / Reynaud Julien/APS-Medias/ABACA

On ne peut pas lui enlever ça, l'alliance des partis de gauche, baptisée Nouveau Front populaire (NFP), a le sens de la formule ! Dans son programme échafaudé hâtivement pour satisfaire l'ensemble des différentes couleurs, du vert vif au rouge grenat, réunies dans ce cartel mêlant socialistes de salon et révolutionnaires féroces, la tête de chapitre dédiée à la fiscalité s'intitule très sobrement « Abolir les privilèges des milliardaires ». À qui, du Parti socialiste, du Parti communiste, de La France insoumise, des Verts, de Place publique, de Génération-s, de la Gauche républicaine et socialiste, de la Gauche écosocialiste ou du Nouveau Parti anticapitaliste, doit-on cette percutante trouvaille ? Nul ne le sait.

Mais trois choses sont sûres. La première, c'est que cette rubrique contient des mesures d'une radicalité à faire passer le programme commun repris par François Mitterrand en 1981, et abandonné deux ans plus tard, pour une rose terne et rabougrie. La seconde, c'est que les 68 milliardaires – particulièrement mobiles et qui auraient tôt fait de mettre leurs deniers à l'abri – que compte la France sont loin, très loin, d'être les seuls visés par l'incroyable matraquage fiscal promis par les membres de la Nupes 2.0 s'ils devaient remporter les législatives anticipées le 7 juillet, et ainsi propulser l'un des leurs à l'hôtel de Matignon. Enfin, c'est un repoussoir absolu pour les investisseurs étrangers que le pays a tant voulu séduire ces dernières années, ainsi que pour les créanciers de l'État.

Nouveau Front populaire : ce qui se trame derrière le pacte avec le diable Mélenchon

Nous y reviendrons. Mais, pour commencer, quelles sont donc ces fameuses propositions ? Faire passer l'impôt sur le revenu de quatre à quatorze tranches, sachant qu'aujourd'hui seuls 45 % des foyers – ceux qui gagnent plus de 50 000 euros par an – s'en acquittent, « rendre la CSG progressive », rétablir l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF), mais avec « un volet climatique » qui reste à définir, supprimer la flat tax sur les revenus des capitaux, réinstaurer une exit tax pour tenter de dissuader l'exil fiscal, supprimer des niches « inefficaces, injustes et polluantes », instituer une « taxe kilométrique sur les produits importés ». Et last but not least : « réformer l'impôt sur l'héritage pour le rendre plus progressif en ciblant les plus hauts patrimoines et instaurer un héritage maximal ».

Le risque d'une asphyxie économique du pays

Dans un clin d'œil aux amateurs d'histoire, le tract programmatique précise que ces mesures seront inscrites dans un projet de loi de finances rectificative déposé le… 4 août. Soit la date anniversaire de l'abolition des privilèges féodaux en 1789. Le message est clair : « Tremblez, nantis, la guillotine fiscale approche ! » Étonnant parallèle, tout de même. Puisqu'au lieu de libérer les énergies et d'accroître la richesse par habitant la mise en pratique de ce projet reviendrait en réalité à asphyxier l'économie de la France, contrée « ultralibérale » comme chacun sait, où la pression fiscale est déjà la plus forte de tous les pays de l'OCDE – devant le Danemark, longtemps numéro un –, à 46 % de la richesse nationale.

La radicalité de ce plan s'explique en partie par les propositions de dépenses de la Nupes nouvelle manière. Retour de la retraite à 60 ans, augmentation de 10 % des salaires des fonctionnaires, hausse des minima sociaux, garantie d'autonomie pour les jeunes, suppression de la réforme de l'assurance-chômage… Non seulement la nouvelle alliance des gauches entend revenir sur l'ensemble des mesures prises sous la présidence d'Emmanuel Macron pour tenter de rétablir la compétitivité ou contrer les effets du vieillissement, mais elle ouvre aussi en grand le robinet budgétaire.

 Bardella et les retraites : le grand n'importe quoi !

« En agrégeant toutes ces promesses, on arrive à environ 300 milliards d'euros de dépenses annuelles supplémentaires, analyse l'économiste Patrick Artus, ce qui revient à environ 10 % du PIB. Donc, pour éviter la faillite générale, il faut augmenter de manière spectaculaire la pression fiscale. » De son côté, le chef de file des Insoumis avance un montant légèrement inférieur, même s'il n'en reste pas moins stratosphérique. « Selon les calculs de notre parti, à horizon cinq ans, il y aura un total de 200 milliards d'euros de dépenses publiques et 230 milliards de recettes pour l'État », a ainsi expliqué Jean-Luc Mélenchon dans une récente interview au Figaro.

Comme en 1981, les mêmes causes produiraient les mêmes effets

Selon les calculs de Patrick Artus, économiste connu pour son sérieux et sa tempérance, un tel programme de taxation, même s'il reste encore à en détailler le chiffrage – un exercice auquel le NFP ne s'est bizarrement pas prêté –, pourrait faire bondir la pression fiscale d'environ 6 points, à 52 % de la richesse nationale. Du jamais-vu dans les pays comparables. « La question, c'est “qu'est-ce que l'État ferait de cet argent ?”. Si un surcroît de pression fiscale sert à financer des investissements d'avenir, il peut se justifier, continue Artus. Mais, si, comme le prévoit le NFP, il est utilisé pour augmenter les revenus, il se passera la même chose qu'en 1981 : un problème d'offre gigantesque qui génère de l'inflation tout en faisant fuir les capitaux non-résidents. »

Parmi les pistes évoquées, celles qui visent les entreprises préoccupent tout particulièrement l'ex-économiste en chef de Natixis. « Si l'on applique la taxation à 90 % des salaires à partir de 400 000 euros par an, comme le préconise Jean-Luc Mélenchon, nous allons assister à des déménagements massifs de sièges sociaux hors de nos frontières. » De même, une taxation des revenus des capitaux ferait fuir les actionnaires. Autre irritant : l'héritage maximal. « Au-delà de 12 millions d'euros, je prends tout », avait précisé le leader des Insoumis en 2022, alors qu'il défendait une mesure similaire. « De nombreuses entreprises sont valorisées plus de 12 millions d'euros, poursuit Artus. Une telle mesure pourrait donc rendre impossible leur transmission. Les ETI familiales, premières concernées, déménageront ou fermeront. Or elles représentent 30 % de l'emploi salarié du pays. »

Programmes économiques du RN et du NFP : la foire aux fausses bonnes idées

Que dire aussi de « la taxe kilométrique sur les produits importés » ? Vertueuse sur le papier, elle ne tient pas la route en pratique. « D'abord, ce n'est pas conforme au droit européen et aux règles de l'OMC, prévient Patrick Artus. Ensuite, si l'on taxe les produits importés, nos exportations seront taxées en retour, ce qui entraînera un déclin de notre compétitivité à l'export. Enfin, c'est une mesure extrêmement inflationniste. » Comme au début des années 1980, les hausses des salaires seraient effacées par le renchérissement des prix. Les mêmes causes produisant les mêmes effets : cette politique, présentée comme « keynésienne », aboutirait à une nouvelle phase de désindustrialisation au moment précis où l'Hexagone commençait à revoir des sites industriels revenir sur son sol.

Comment François Hollande peut-il cautionner un tel projet ?

Sous le poids de ces boulets, notre pays verrait en outre son crédit baisser auprès de ses créanciers. Un détail ? Plus maintenant ! « En 1981, la dette publique représentait 20 % du PIB, donc le renchérissement des taux n'était pas un sujet d'inquiétude majeur, mais aujourd'hui elle pèse 110 % du PIB, et elle est pour moitié détenue par des étrangers, ce qui change complètement la donne, alerte Patrick Artus. Si l'on prend le genre de mesures que préconise le NFP, les taux augmenteront très vite. » Gare à l'atterrissage d'urgence. Notre pays, dont le stock de dettes s'élève déjà à 3 000 milliards d'euros, et qui finance ses dépenses courantes à crédit, devra s'acquitter de 50 milliards d'euros d'intérêts rien que pour cette année… Il ne peut pas se permettre de briser son potentiel de croissance.

Le roman noir de la dette : de la glissade de Giscard à la cagnotte de Chirac

Dernier paradoxe qui ne lasse pas d'étonner Patrick Artus : l'ancien président François Hollande, lequel s'était converti à la politique de l'offre, posant ainsi les jalons qui ont conduit à une baisse durable et massive du chômage en France sous le mandat de son successeur, est aujourd'hui candidat aux législatives en Corrèze sous la bannière du NFP. « Quand il était à l'Élysée, il avait compris l'inefficacité de la politique de la demande. Pense-t-il que le programme économique du NFP ne sera jamais mis en place ? Je ne m'explique pas qu'il puisse le cautionner. Ce n'est pas une politique fiscale, c'est une politique de règlement de comptes. » François Hollande a peut-être des comptes à régler.

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Car c’est un malfaisant vindicatif et mal élevé qui entraine dans sa galère cette LFI ramassis de citoyens de même acabit que lui mais surtout des Français hyper déçus devenus mal élevés à l’image de ce politicien non élu qui se complait à jeter de l’huile sur le feu dans un pays qui n’en a pas besoin en ce moment en pleine crise car ce n’est pas ce pauvre déjanté tribun aboyeur de foire extrémiste de gauche qui ne veut que profiter de la déconfiture finale méritée de notre président que certains ont eu le malheur de réélire comme des naïfs qui avait peur du lendemain pour que ce vieux fou qui à louvoyé dans ces désires de 1er ministre ou maintenant de président de notre république si malade !?

J’arrête là parce que je suis désespéré de voir ou notre classe politique déjà moribonde dérive et tombe plus bas chaque jour qui passe jusqu’à cette élection législative trop soudaine encore a cause de ce président inutile après ses réactions inappropriées et irréfléchies sur un coup de tête trop rapide synonyme d’un « caca nerveux » de dirigeant vexé dans son amour propre qu’il n'a jamais eu !?

(Car si un MELENCHON arrivait à ses fins il n’y aurait plus qu’à fuir ce pays que j’aime j’ai l’habitude de par mes voyages nombreux à l’étranger mon passeport valide est toujours prêt !?)

Jdeclef 21/06/2024 15h51

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