lundi 10 juin 2024

La seule chose à retenir c’est que notre président réélu en 2022 avec trop de pouvoir que lui ont donné encore des français qui ne réfléchissent pas plus loin que le bout de leur nez depuis que les 66 ans de cette Veme république est toujours là jusqu’en 2027 comme lui parce qu’il n’a pas démissionné bien sûr pas fou ce Mr bienpensant donneur de leçons hypocrites (d’ailleurs dans cette classe politique médiocre ils reprennent toujours les mêmes en haut de l’affiche présidentielle qui ont trop de pouvoir dans notre démocratie libre !?)

 

Acculé dans les urnes, Macron renverse la table mais non il n’a été que battu à la régulière par des Français qui en avaient marre de sa mauvaise gouvernance et sa « macronie » si médiocre qui n’a servi à rien jusqu’à maintenant et en plus qui ne nous protègent pas IL A SIMPLEMENT SEME LE SOUK C’EST QUAND MEME DOMMAGE A CAUSE D’UN SEUL HOMME VRAIMENT AU POUVOIR !?

Après son revers cuisant aux européennes, le chef de l’État a déclenché, à la surprise générale, l’article 12 de la Constitution, provoquant la tenue d’élections législatives anticipées. « On y va pour gagner », dit-on à l’Élysée.

Par Mathilde Siraud

De toute façon ces élections favorisent (en France) les sortant et ceux au pouvoir mais c’est une élection européenne à 27 adhérents en Europe pas nationale et pas présidentielle qui n’intervient pas pour tout dans la gestion de nos gouvernements intérieurs et le catalogue important de promesses fumeuses de Mr BARDELLA seront difficiles à tenir s’ils gagne les élections legislatives (d’ailleurs on peut faire une parallèle avec l’Italie ou Mme MEILONI leur dirigeante de même couleur politique n’a pu faire ce qu’elle a voulu !?) Donc pour le RN français « il ne faut pas jeter trop vite le manche après la cognée » et attendons nos élections législatives 1er ministre et nouveau gouvernement car ce genre d’exercice remaniements ou dissolutions sont rarement probants et surtout tant que le président sera là en 2027 !?

 

« Radical et gaullien », savoure un conseiller du président. Dimanche, à la suite d'un sévère désaveu pour son camp dans les urnes aux élections européennes, Emmanuel Macron a pris l'ensemble du monde politique à revers et annoncé la dissolution de l'Assemblée nationale. Les élections législatives anticipées auront lieu le 30 juin pour le premier tour et le 7 juillet pour le second tour.

S'exprimant à la télévision une heure après l'annonce des résultats, créditant la liste de sa candidate, Valérie Hayer, à 14,6 % selon les chiffres complets du ministère de l'Intérieur, le chef de l'État a justifié sa décision par la « montée des nationalistes » ainsi que par « la fièvre, le désordre » qui règnent selon lui dans le débat public et au Parlement depuis 2022 et la majorité relative. Raisons qui l'ont conduit à vouloir « redonner la parole au peuple souverain  » pour un « temps de clarification indispensable  ». « La France a besoin d'une majorité claire pour agir dans la sérénité et la concorde », a-t-il conclu, désireux « d'écrire l'Histoire plutôt que de la subir ».

 Dissolution de l'Assemblée nationale : une soirée électorale et un coup de tonnerre

Son entourage voit dans cette initiative inédite un retour au « mouvement », au macronisme des origines, saluant « l'audace, la prise de risque, le dépassement ». « On y va pour gagner. Notre volonté, en opérant la dissolution, c'est d'aller chercher une majorité pour agir au service des Français », applaudit un conseiller. Son souhait est de créer un rassemblement de « l'arc républicain » par les urnes.

« Cela ne s'appelle pas une dissolution, mais un suicide », réagit une figure du groupe Renaissance. Ses troupes redoutent en effet de revenir au Palais-Bourbon après les élections législatives encore moins nombreuses qu'après le scrutin de 2022. Certaines enquêtes ont en effet montré qu'en cas d'élections législatives anticipées, le Rassemblement national remporterait une majorité de sièges, voire la majorité absolue. « Repartir en campagne maintenant, c'est un cauchemar », se désole une ministre.

Un scénario mûrement préparé

Avant d'annoncer la dissolution, que personne autour de lui n'avait vue venir, le président avait convoqué à 19 heures à l'Élysée ses principaux ministres, ses chefs de la majorité. Richard Ferrand, ex-président de l'Assemblée nationale, était présent. « Même Alexis Kohler n'était pas dans la confidence », croit savoir un habitué du Palais. « C'est la première fois qu'il fait de la politique », se réjouit un autre, qui était partisan de la « disruption ».

C’est à la fois habile et totalement dingue. On va se prendre une tôle monumentale. Macron, c’est Néron…

En précipitant un retour aux urnes, et en décidant de ne pas présenter de candidats macronistes face aux députés sortants « faisant partie du champ républicain », tel que l'a annoncé le ministre des Affaires étrangères et patron du parti Renaissance, Stéphane Séjourné, Emmanuel Macron cherche à prendre ses opposants de court et à créer un vaste rassemblement derrière lui, en outrepassant les appareils politiques.

Réunis à la Mutualité pour la soirée électorale, élus et militants macronistes étaient sous le choc. « C'est à la fois habile et totalement dingue. On va se prendre une tôle monumentale. Macron, c'est Néron… », commente un parlementaire en vue. Comme l'écrivait Le Point la semaine dernière, le scénario d'une nomination de Jordan Bardella à Matignon en cas de victoire du RN dans des élections législatives n'est pas à exclure. Il est même sérieusement poussé par certains stratèges voyant là un moyen d'échapper à une arrivée au pouvoir de Marine Le Pen et des siens en 2027. « On donne les clés du poids lourd à quelqu'un qui n'a pas le permis poids lourd », plaide un ex-élu qui a ses entrées à la présidence.

Le locataire de l'Élysée mûrit ce coup de poker depuis plusieurs semaines. Ces derniers temps, il parlait régulièrement de la dissolution, sondant dans son entourage les uns, puis les autres. Bien sûr, il aurait préféré sauver les meubles et s'en sortir honorablement dans le scrutin européen. La dissolution lui permet de se remettre au centre du jeu.

Pourquoi la dissolution de l'Assemblée nationale était sur la table En 2019, acculés par la crise des Gilets jaunes, les macronistes s'étaient contre toute attente hissés à moins d'un point d'écart du Rassemblement national, à 22,4 %. À l'époque, Édouard Philippe Premier ministre et les lieutenants du chef de l'État, soulagés du résultat, avaient minimisé la défaite.

Cinq ans plus tard, et alors que la sanction est sévère, impossible de reprendre le cours du quinquennat comme si de rien n'était. Camp présidentiel usé au bout de sept années au pouvoir, tête de liste (Valérie Hayer) lancée trop tardivement dans la course et souffrant d'un manque de notoriété, absence de vision et de cap, collectif à bout de souffle affaibli par la majorité relative… Tous les ingrédients étaient là pour provoquer un choc. En dépit d'un engagement sans pareil du chef de l'État dans la campagne.

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Mais il faut arrêter de se moquer des Français il ne renverse rien ce président il fait semblant de faire quelque chose avec cette dissolution rapide : (Car qui pèche par orgueil va à sa perte !?)

Pauvre président bavard et incompétent car de toute façon il est là jusqu’en 2027 car il ne peut se représenter de par notre constitution et n’a pas à ce plaindre car réélu avec une majorité relative par des Français d’une naïveté lamentable en 2022 qui se sont fait piéger et qui peuvent le remercier car c’est lui qui a mis sur les rails indirectement ces extrêmes droite le Peniste Bardella and c° ou celle de gauche mélenchoniste qui sème le souk à l’Assemblée Nationale LFI trublions mal élevés sans oublier ces écolos illuminés empêcheurs de tourner en rond et cette NUPES avec ce PS  inaudible et ces pauvres restes de LR de cette droite classique presque inexistante !?

Donc si ce president pleutre grand donneur de leçons bavard s’écoutant parler pour ne rien dire en bien-pensant hypocrite aurait mieux fait de démissionner ce qui aurait rendu service à la France et aux Français qui sont dans un caniveau boueux pas loin d’être poussé à l’égout car plus rien ne marche correctement dans notre pays !?

Donc le résultat de cette élection européenne que l’on peut qualifier de sanction anti macronienne est de la faute de tous ces Français lambda qui ne savent plus voter ou choisir correctement leurs dirigeants et gouvernements depuis + de 40 ans (au moins) et la suite ne risque pas de s’améliorer avec cet hypothétique prochain gouvernement d’ici 2027 par des Français naïfs stupides qui croient encore aux changements mais depuis que la Veme république dit gaullienne existe on n’a peu évolué pour ceux comme moi de ma génération qui la subisse depuis le début car nos concitoyens sont incurables et surtout trop individualistes et bornés tant pis pour nous !?

 

Jdeclef 10/06/2024 14h51


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