Acculé dans les urnes,
Macron renverse la table mais non il n’a été que battu à la régulière par des Français
qui en avaient marre de sa mauvaise gouvernance et sa « macronie » si
médiocre qui n’a servi à rien jusqu’à maintenant et en plus qui ne nous protègent
pas IL A SIMPLEMENT SEME LE SOUK C’EST QUAND MEME DOMMAGE A CAUSE D’UN SEUL
HOMME VRAIMENT AU POUVOIR !?
Après son
revers cuisant aux européennes, le chef de l’État a déclenché, à la surprise
générale, l’article 12 de la Constitution, provoquant la tenue d’élections
législatives anticipées. « On y va pour gagner », dit-on à l’Élysée.
De toute
façon ces élections favorisent (en France) les sortant et ceux au pouvoir mais
c’est une élection européenne à 27 adhérents en Europe pas nationale et pas présidentielle
qui n’intervient pas pour tout dans la gestion de nos gouvernements intérieurs
et le catalogue important de promesses fumeuses de Mr BARDELLA seront difficiles
à tenir s’ils gagne les élections legislatives (d’ailleurs on peut faire une parallèle
avec l’Italie ou Mme MEILONI leur dirigeante de même couleur politique n’a pu
faire ce qu’elle a voulu !?) Donc pour le RN français « il ne faut pas
jeter trop vite le manche après la cognée » et attendons nos élections législatives
1er ministre et nouveau gouvernement car ce genre d’exercice remaniements
ou dissolutions sont rarement probants et surtout tant que le président sera là
en 2027 !?
« Radical
et gaullien », savoure un conseiller du président. Dimanche, à la suite
d'un sévère désaveu pour son camp dans les urnes aux élections européennes,
Emmanuel Macron a pris l'ensemble du monde politique à revers et annoncé la dissolution de l'Assemblée
nationale. Les élections législatives anticipées auront lieu le
30 juin pour le premier tour et le 7 juillet pour le second
tour.
S'exprimant à la télévision une heure après l'annonce des résultats,
créditant la liste de sa candidate, Valérie Hayer, à 14,6 % selon les chiffres complets du ministère
de l'Intérieur, le chef de l'État a justifié sa décision par la
« montée des nationalistes » ainsi que par « la fièvre, le
désordre » qui règnent selon lui dans le débat public et au Parlement
depuis 2022 et la majorité relative. Raisons qui l'ont conduit à
vouloir « redonner la parole au peuple souverain »
pour un « temps de clarification indispensable ».
« La France a besoin
d'une majorité claire pour agir dans la sérénité et la concorde », a-t-il
conclu, désireux « d'écrire l'Histoire plutôt que de la subir ».
Dissolution
de l'Assemblée nationale : une soirée électorale et un coup de tonnerre
Son entourage voit dans cette initiative inédite un retour au
« mouvement », au macronisme des origines, saluant « l'audace,
la prise de risque, le dépassement ». « On y va pour gagner. Notre
volonté, en opérant la dissolution, c'est d'aller chercher une majorité pour
agir au service des Français », applaudit un conseiller. Son souhait
est de créer un rassemblement de « l'arc républicain » par les urnes.
« Cela ne s'appelle pas une dissolution, mais un suicide », réagit
une figure du groupe Renaissance.
Ses troupes redoutent en effet de revenir au Palais-Bourbon après les élections
législatives encore moins nombreuses qu'après le scrutin de 2022. Certaines
enquêtes ont en effet montré qu'en cas d'élections législatives anticipées, le
Rassemblement national remporterait une majorité de sièges, voire la majorité
absolue. « Repartir en campagne maintenant, c'est un cauchemar », se
désole une ministre.
Un scénario mûrement préparé
Avant d'annoncer la dissolution, que personne autour de lui n'avait vue
venir, le président avait convoqué à 19 heures à l'Élysée ses principaux
ministres, ses chefs de la majorité. Richard Ferrand, ex-président de
l'Assemblée nationale, était présent. « Même Alexis Kohler n'était pas
dans la confidence », croit savoir un habitué du Palais. « C'est la
première fois qu'il fait de la politique », se réjouit un autre, qui était
partisan de la « disruption ».
C’est à la fois habile et totalement dingue.
On va se prendre une tôle monumentale. Macron, c’est Néron…
En précipitant un retour aux urnes, et en décidant de ne pas présenter de
candidats macronistes face aux députés sortants « faisant partie du champ
républicain », tel que l'a annoncé le ministre des Affaires étrangères et
patron du parti Renaissance, Stéphane Séjourné, Emmanuel Macron cherche à
prendre ses opposants de court et à créer un vaste rassemblement derrière
lui, en outrepassant les appareils politiques.
Réunis à la Mutualité pour la soirée électorale, élus et militants
macronistes étaient sous le choc. « C'est à la fois habile et totalement
dingue. On va se prendre une tôle monumentale. Macron, c'est Néron… »,
commente un parlementaire en vue. Comme l'écrivait Le Point la semaine dernière, le scénario
d'une nomination de Jordan
Bardella à Matignon en cas de victoire du RN dans des élections
législatives n'est pas à exclure. Il est même sérieusement poussé par certains
stratèges voyant là un moyen d'échapper à une arrivée au pouvoir de Marine
Le Pen et des siens en 2027. « On donne les clés du poids lourd à
quelqu'un qui n'a pas le permis poids lourd », plaide un ex-élu qui a ses
entrées à la présidence.
Le locataire de l'Élysée mûrit ce coup de poker depuis plusieurs semaines.
Ces derniers temps, il parlait régulièrement de la dissolution, sondant dans
son entourage les uns, puis les autres. Bien sûr, il aurait préféré sauver les
meubles et s'en sortir honorablement dans le scrutin européen. La
dissolution lui permet de se remettre au centre du jeu.
Pourquoi
la dissolution de l'Assemblée nationale était sur la table En
2019, acculés par la crise des Gilets jaunes, les macronistes s'étaient contre
toute attente hissés à moins d'un point d'écart du Rassemblement
national, à 22,4 %. À l'époque, Édouard Philippe Premier ministre et les
lieutenants du chef de l'État, soulagés du résultat, avaient minimisé la
défaite.
Cinq ans plus tard, et alors que la sanction est sévère, impossible de
reprendre le cours du quinquennat comme si de rien n'était. Camp présidentiel
usé au bout de sept années au pouvoir, tête de liste (Valérie Hayer) lancée
trop tardivement dans la course et souffrant d'un manque de notoriété, absence
de vision et de cap, collectif à bout de souffle affaibli par la majorité
relative… Tous les ingrédients étaient là pour provoquer un choc. En dépit d'un
engagement sans pareil du chef de
l'État dans la campagne.
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Mais il faut arrêter de se moquer
des Français il ne renverse rien ce président il fait semblant de faire
quelque chose avec cette dissolution rapide : (Car qui pèche par orgueil va à sa perte !?)
Pauvre
président bavard et incompétent car de toute façon il est là jusqu’en 2027 car
il ne peut se représenter de par notre constitution et n’a pas à ce plaindre
car réélu avec une majorité relative par des Français d’une naïveté lamentable
en 2022 qui se sont fait piéger et qui peuvent le remercier car c’est lui qui a
mis sur les rails indirectement ces extrêmes droite le Peniste Bardella and c° ou
celle de gauche mélenchoniste qui sème le souk à l’Assemblée Nationale LFI trublions
mal élevés sans oublier ces écolos illuminés empêcheurs de tourner en rond et
cette NUPES avec ce PS inaudible et ces
pauvres restes de LR de cette droite classique presque inexistante !?
Donc
si ce president pleutre grand donneur de leçons bavard s’écoutant parler pour
ne rien dire en bien-pensant hypocrite aurait mieux fait de démissionner ce qui
aurait rendu service à la France et aux Français qui sont dans un caniveau boueux
pas loin d’être poussé à l’égout car plus rien ne marche correctement dans
notre pays !?
Donc
le résultat de cette élection européenne que l’on peut qualifier de sanction
anti macronienne est de la faute de tous ces Français lambda qui ne savent plus
voter ou choisir correctement leurs dirigeants et gouvernements depuis + de 40
ans (au moins) et la suite ne risque pas de s’améliorer avec cet hypothétique prochain
gouvernement d’ici 2027 par des Français naïfs stupides qui croient encore aux
changements mais depuis que la Veme république dit gaullienne existe on n’a peu
évolué pour ceux comme moi de ma génération qui la subisse depuis le début car
nos concitoyens sont incurables et surtout trop individualistes et bornés tant
pis pour nous !?
Jdeclef
10/06/2024 14h51
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