jeudi 13 juin 2024

Je ne sais plus comment le dire depuis que je publie depuis des décennies des commentaires ou réponses aux articles du Point cet hebdo que j’aime lire pourtant quand même et qui y est abonné mais trop inféodé au pouvoir en place qui est quelque fois si flagrant de partialité que cela tourne au ridicule ?!

 

Macron et le risque de la main tendue… dans le vide Oui mais lui il est indécrottable jusqu’en 2027 CAR IL NE CRAINT RIEN car en plus s’acharnant à faire peur aux Français avec ce RN et LFI !?

ANALYSE. Lors de sa conférence de presse, le chef de l’État a lancé un nouvel appel aux « femmes et hommes de bonne volonté qui disent non aux extrêmes » pour « bâtir un projet en commun ». Trop tard ?

Par Mathilde Siraud

Publié le 12/06/2024 à 19h52

 « La clarification, c'est maintenant », dit Emmanuel Macron.   © Stéphane Mahé / Reuters

Non à « l'esprit de défaite ». Oui à l'esprit de résistance. Voilà en substance le message qu'a voulu faire passer Emmanuel Macron lors de sa conférence de presse de lancement de campagne. Trois jours après une spectaculaire dissolution préparée dans le plus grand secret, le chef de l'État a pris appui sur la recomposition politique à l'œuvre – à gauche comme à droite – en prenant acte d'une situation politique divisée en trois blocs au sortir du scrutin des européennes pour adresser un énième appel au rassemblement des « femmes et hommes de bonne volonté qui disent “non” aux extrêmes ».

Car nous sommes encore dans un des pays les plus libres et démocratique du monde malgré que certains veulent dire le contraire mais qui ne nous empêche pas de ne pas savoir choisir ou bien voter pour élire nos dirigeants et leurs gouvernements de tous bords efficaces c’est hélas notre principal défaut car individualistes et donc divisés partisans du « chacun pour soi » qui peut nous conduire au totalitarisme et perdre nos libertés !?

Face à « l'alliance contre nature » entre le Rassemblement national et Les Républicains, ou du moins son futur ex-président, Éric Ciotti, et face aux « bricolages d'appareil » à gauche entre les anciennes composantes de la Nupes, le président estime que seul le « bloc central » est à même de constituer une majorité capable de gouverner à la suite des élections législatives des 30 juin et 7 juillet.

 Législatives : « Macron cherche à enclencher un mouvement positif »

Il a donc appelé à un « dialogue constructif, ouvert, des sociaux-démocrates, des radicaux, des écologistes, des gaullistes, des démocrates chrétiens et de ceux qui ne se retrouvent pas dans la fièvre extrémiste afin de bâtir une fédération de projets », se déclarant favorable à un « accord, une plateforme d'action » à partir de cinq priorités (écologie, services publics, travail, international et l'autorité en tête).

Un cap décliné en propositions, toutes déjà connues (service national universel, contrôle des écrans, justice des mineurs), à l'exception d'une seule : l'idée de lancer un « grand débat sur la laïcité ». C'est sur cette base programmatique qu'Emmanuel Macron entend discuter avec d'éventuels partenaires. Il est prêt à intégrer des mesures qui viendraient « de la droite gaulliste et des sociaux-démocrates », a par ailleurs précisé son entourage.

« La clarification, c'est maintenant »

Puisse le « bloc central » s'élargir, après sept années au pouvoir et une lourde défaite dans les urnes ? Qui saisira cette main tendue ? Qui a encore envie de rejoindre Emmanuel Macron ? Le chef de l'État a lâché un nom, durant sa prise de parole : Jérôme Guedj. Le député socialiste, en rupture totale avec les relents antisémites de son ancien camarade Jean-Luc Mélenchon, aurait donc le profil idoine, au dire du locataire de l'Élysée.

Ses équipes citent d'autres profils : Anne Hidalgo, la maire de Paris, et Bernard Cazeneuve, ex-Premier ministre de François Hollande. Des personnalités de premier plan de la gauche raisonnable, donc, résolument hostiles à toute alliance avec La France insoumise. Des ministres disent par ailleurs avoir pris contact avec des élus compatibles, notamment des députés LR en rupture de ban avec la ligne Ciotti, comme Virginie Duby-Muller. « Ces élections sont une bataille pour les valeurs et une bataille pour la capacité à gouverner », pose l'entourage présidentiel. « La clarification, c'est maintenant », dit Emmanuel Macron.

Le énième « Je vous ai compris ! » d'Emmanuel Macron

Reste que la macronie ne serait sûrement pas dans cet état aujourd'hui si le chef de l'État avait consenti à créer les conditions d'une coalition de gouvernement. L'erreur de 2022, voilà le péché originel. Affaibli par la majorité relative, Emmanuel Macron a voulu poursuivre sa logique de débauchage plutôt que de compromis. Les ralliements de Catherine Vautrin et de Rachida Dati, depuis la réélection, illustrent cette stratégie. Si l'Élysée continue de dire aujourd'hui que des signaux ont été adressés, jamais le président n'a imaginé partager le pouvoir avec une ou plusieurs forces politiques. La présidence rejette aujourd'hui la faute sur Gérard Larcher, président du Sénat, qui a écarté à la veille des européennes toute perspective d'alliance.

« Macron n'a pas voulu d'accord de gouvernement. Et maintenant, il est à la baisse ! Il n'aurait jamais dû gouverner de la même manière dès lors qu'il n'avait plus de majorité. Avec les mêmes recettes, le grand écart permanent », regrette une figure à droite, quand un autre griffe un « président qui préside pour lui-même ». « Il ne veut rendre ni le pouvoir ni l'apparence du pouvoir. »

Si on veut éviter Le Pen, la question du grand rassemblement se pose.Un ancien ministre de gauche

À gauche, même état d'esprit : « Il fallait une grande coalition à l'allemande en 2022. En période de crise extrême, partager ensemble les grandes orientations. Macron n'a pas voulu : il pensait que deux flancs hystérisés aux extrêmes permettaient de garder un flanc large. La vraie modernisation, c'était pourtant la coalition. » Aujourd'hui, pourrait-il revoir son jugement et répondre à la main tendue du chef de l'État ? « Si on veut éviter Le Pen, la question du grand rassemblement se pose », dit-il.

Une démarche à contretemps

Les lieutenants du président vont désormais étudier une à une les circonscriptions qui ne comptent pas de député macroniste sortant. Au cas par cas, en fonction des profils, des parlementaires de droite ou de gauche compatibles qui se représentent pourront être exonérés de concurrent Renaissance. L'heure de vérité aura donc lieu dimanche, date limite pour le dépôt des candidatures.

Dos au mur, Emmanuel Macron veut convaincre aujourd'hui qu'il est prêt à gouverner différemment. « La fédération de projets, ce n'est pas “qui m'aime me suive”, mais la volonté humble de bâtir des consensus. » Une démarche bienvenue, mais probablement à contretemps.

Le plus important et plus grave pour les Français lambda qui se laisse enfumer par des discours bien tournés de notre « chef d’état » car il a été en plus élu et réélu par des Français divers dont je ne qualifierais pas le niveau de leur compréhension par cette mascarade théâtrale bien dans les lignées de nos présidents passés qui se sont succédés dans cette VEME REPUBLIQUE USEE dit Gaullienne car créée par le General de Gaulle ou des français stupides n’ont trouvé rien de mieux de le rejeter suite à une modification ou suppression du Senat ces mêmes citoyens lambda ou Nicolas Sarkozy élu président deux ans plus tard, va aussi contourner le référendum de 2005 : avec l'assentiment des élus tant de droite que de gauche, de toute façon ces referendums divers sont noyautés par les pouvoirs politique en place les ayant beaucoup trop compliqué à organisés par les pouvoirs en place depuis qu’ils existent !?

Quant à cette dissolution présidentielle et la conférence de presse inutiles de notre dirigeant ou il a semblé reprendre « du poil de la bête » comme d’habitude artificiellement car ce ne sont en fait que des paroles et bla-bla électoral !?

Car c’est lui et qui est présent il faudrait enfin que les français se rentre çà dans la tête et qu’il est là jusqu’en 2027 indéboulonnable il a préféré semer le souk (car s’il avait démissionné cela aurait été plus utile mais il n’est pas si bête !?)

Il peut même se payer le luxe de reprendre son petit minet 1er ministre ATTAL cela fera faire des économies car faire perdre du temps à la France çà il sait le faire car reconstituer un gouvernement ne se fait en claquant des doigts !?

Le résultat est simple on va perdre encore 3 ans mais c’était écrit dans notre constitution avec ce « roitelet sans couronne » donneur de leçons bienpensant qui a de la chance parce que les Français ont la mémoire courte et ne s’intéresse pas à leurs histoires contemporaine ou ancienne que l’on enseigne si mal dans notre Education Nationale dans nos écoles collèges lycées et bien sur nos universités car orientées par les politiques d’état du moment en place !?

Jdeclef 13/08/2024 11h27

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