Macron et le risque de
la main tendue… dans le vide Oui mais lui il est indécrottable jusqu’en 2027 CAR
IL NE CRAINT RIEN car en plus s’acharnant à faire peur aux Français avec ce RN
et LFI !?
ANALYSE. Lors
de sa conférence de presse, le chef de l’État a lancé un nouvel appel aux
« femmes et hommes de bonne volonté qui disent non aux
extrêmes » pour « bâtir un projet en commun ». Trop
tard ?
Publié le
12/06/2024 à 19h52
« La clarification, c'est maintenant », dit
Emmanuel Macron. © Stéphane Mahé /
Reuters
Non à « l'esprit de
défaite ». Oui à l'esprit de résistance. Voilà en substance le message
qu'a voulu faire passer Emmanuel Macron lors de sa conférence de presse de
lancement de campagne. Trois jours après une spectaculaire dissolution préparée dans le plus grand secret,
le chef de l'État a pris appui sur la recomposition politique à l'œuvre – à
gauche comme à droite – en prenant acte d'une situation politique divisée en
trois blocs au sortir du scrutin des européennes pour adresser un énième
appel au rassemblement des « femmes et hommes de bonne volonté qui disent
“non” aux extrêmes ».
Car nous sommes
encore dans un des pays les plus libres et démocratique du monde malgré que
certains veulent dire le contraire mais qui ne nous empêche pas de ne pas savoir
choisir ou bien voter pour élire nos dirigeants et leurs gouvernements de tous bords
efficaces c’est hélas notre principal défaut car individualistes et donc
divisés partisans du « chacun pour soi » qui peut nous conduire au
totalitarisme et perdre nos libertés !?
Face à « l'alliance contre nature » entre le Rassemblement national et Les
Républicains, ou du moins son futur ex-président, Éric Ciotti, et face aux
« bricolages d'appareil » à gauche entre les anciennes composantes de
la Nupes, le président estime que seul le « bloc central » est à
même de constituer une majorité capable de gouverner à la suite des élections
législatives des 30 juin et 7 juillet.
Législatives :
« Macron cherche à enclencher un mouvement positif »
Il a donc appelé à un « dialogue constructif, ouvert, des
sociaux-démocrates, des radicaux, des écologistes, des gaullistes, des
démocrates chrétiens et de ceux qui ne se retrouvent pas dans la fièvre
extrémiste afin de bâtir une fédération de projets », se déclarant
favorable à un « accord, une plateforme d'action » à partir de cinq
priorités (écologie, services publics, travail, international et l'autorité en
tête).
Un cap décliné en propositions, toutes déjà connues (service national
universel, contrôle des écrans, justice des
mineurs), à l'exception d'une seule : l'idée de lancer un « grand débat sur la laïcité ».
C'est sur cette base programmatique qu'Emmanuel Macron entend discuter avec
d'éventuels partenaires. Il est prêt à intégrer des mesures qui
viendraient « de la droite gaulliste et des sociaux-démocrates », a
par ailleurs précisé son entourage.
« La clarification, c'est maintenant »
Puisse le « bloc central » s'élargir, après sept années au pouvoir
et une lourde défaite dans les urnes ? Qui saisira cette main
tendue ? Qui a encore envie de rejoindre Emmanuel Macron ? Le chef de
l'État a lâché un nom, durant sa prise de parole : Jérôme Guedj. Le député
socialiste, en rupture totale avec les relents antisémites de son ancien
camarade Jean-Luc Mélenchon, aurait donc le profil idoine, au dire du locataire
de l'Élysée.
Ses équipes citent d'autres profils : Anne Hidalgo, la maire de Paris, et Bernard Cazeneuve,
ex-Premier ministre de François Hollande. Des personnalités de premier plan de
la gauche raisonnable, donc, résolument hostiles à toute alliance avec La
France insoumise. Des ministres disent par ailleurs avoir pris contact avec
des élus compatibles, notamment des députés LR en rupture de ban avec la ligne
Ciotti, comme Virginie Duby-Muller. « Ces élections sont une bataille pour
les valeurs et une bataille pour la capacité à gouverner », pose
l'entourage présidentiel. « La clarification, c'est maintenant », dit
Emmanuel Macron.
Le
énième « Je vous ai compris ! » d'Emmanuel Macron
Reste que la macronie ne serait sûrement pas dans cet
état aujourd'hui si le chef de l'État avait consenti à créer les
conditions d'une coalition de gouvernement. L'erreur de 2022, voilà le péché
originel. Affaibli par la majorité relative, Emmanuel Macron a voulu poursuivre
sa logique de débauchage plutôt que de compromis. Les ralliements de Catherine
Vautrin et de Rachida Dati, depuis la réélection, illustrent cette stratégie.
Si l'Élysée continue de dire aujourd'hui que des signaux ont été adressés,
jamais le président n'a imaginé partager le pouvoir avec une ou plusieurs
forces politiques. La présidence rejette aujourd'hui la faute sur Gérard
Larcher, président du Sénat, qui a écarté à la veille des
européennes toute perspective d'alliance.
« Macron n'a pas voulu d'accord de gouvernement. Et maintenant, il est
à la baisse ! Il n'aurait jamais dû gouverner de la même manière dès lors
qu'il n'avait plus de majorité. Avec les mêmes recettes, le grand écart
permanent », regrette une figure à droite, quand un autre griffe un
« président qui préside pour lui-même ». « Il ne veut rendre ni
le pouvoir ni l'apparence du pouvoir. »
Si on veut éviter Le Pen, la question du grand
rassemblement se pose.Un ancien ministre de gauche
À gauche, même état d'esprit : « Il fallait une grande coalition à
l'allemande en 2022. En période de crise extrême, partager ensemble les grandes
orientations. Macron n'a pas voulu : il pensait que deux flancs
hystérisés aux extrêmes permettaient de garder un flanc large. La vraie
modernisation, c'était pourtant la coalition. » Aujourd'hui, pourrait-il
revoir son jugement et répondre à la main tendue du chef de l'État ?
« Si on veut éviter Le Pen, la question du grand rassemblement se
pose », dit-il.
Une démarche à contretemps
Les lieutenants du président vont désormais étudier une à une les
circonscriptions qui ne comptent pas de député macroniste sortant. Au cas par
cas, en fonction des profils, des parlementaires de droite ou de gauche
compatibles qui se représentent pourront être exonérés de concurrent
Renaissance. L'heure de vérité aura donc lieu dimanche, date limite pour le
dépôt des candidatures.
Dos au mur, Emmanuel Macron veut
convaincre aujourd'hui qu'il est prêt à gouverner différemment. « La
fédération de projets, ce n'est pas “qui m'aime me suive”, mais la volonté
humble de bâtir des consensus. » Une démarche bienvenue, mais probablement
à contretemps.
Le plus important et plus grave pour
les Français lambda qui se laisse enfumer par des discours bien tournés de
notre « chef d’état » car il a été en plus élu et réélu par des Français
divers dont je ne qualifierais pas le niveau de leur compréhension par cette
mascarade théâtrale bien dans les lignées de nos présidents passés qui se sont succédés
dans cette VEME REPUBLIQUE USEE dit Gaullienne car créée par le General de
Gaulle ou des français stupides n’ont trouvé rien de mieux de le rejeter suite
à une modification ou suppression du Senat ces mêmes citoyens lambda ou Nicolas Sarkozy élu président deux ans plus tard, va aussi
contourner le référendum de 2005 : avec l'assentiment des élus tant de droite
que de gauche, de toute façon ces referendums divers sont noyautés par les
pouvoirs politique en place les ayant beaucoup trop compliqué à organisés par
les pouvoirs en place depuis qu’ils existent !?
Quant à cette dissolution présidentielle et la conférence de
presse inutiles de notre dirigeant ou il a semblé reprendre « du poil de
la bête » comme d’habitude artificiellement car ce ne sont en fait que des
paroles et bla-bla électoral !?
Car c’est lui et qui est présent il faudrait enfin que les
français se rentre çà dans la tête et qu’il est là jusqu’en 2027 indéboulonnable
il a préféré semer le souk (car s’il avait démissionné cela aurait été plus utile
mais il n’est pas si bête !?)
Il peut même se payer le luxe de reprendre son petit minet 1er
ministre ATTAL cela fera faire des économies car faire perdre du temps à
la France çà il sait le faire car reconstituer un gouvernement ne se fait en
claquant des doigts !?
Le résultat est simple on va perdre encore 3 ans mais c’était
écrit dans notre constitution avec ce « roitelet sans couronne »
donneur de leçons bienpensant qui a de la chance parce que les Français ont la mémoire
courte et ne s’intéresse pas à leurs histoires contemporaine ou ancienne que l’on
enseigne si mal dans notre Education Nationale dans nos écoles collèges lycées
et bien sur nos universités car orientées par les politiques d’état du moment
en place !?
Jdeclef 13/08/2024 11h27
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