Mais il n’a pas avoué quoi que ce soit notre président mais son annonce rapide de dissolution de l’Assemblée Nationale n’était pas si étonnante que çà et prouvait qu’il l’a savait consommée avant cette défaite mais peut être pas si importante que cela !?

 

Dissolution : l’aveu de faiblesse d’Emmanuel Macron NON IL N’AVOUE RIEN CE PRESIDENT IL L’A SIMPLEMENT MERITEE !?

Le problème étant qu’il faut faire tourner le pays qui lui doit vivre comme les Français lambda et comme a son habitude il n’a fait rien de probant avant on n’est pas sorti de l’ornière boueuse avec ce président et aussi les Français car la vie et les problèmes de gouvernance ou de gestion du pays ne s’arrêtent pas !?

Et faire un gros ménage dans ces partis politique DE CETTE EXTREME GAUCHE ringards style LFI NUPES etc.

Sophie Coignard
Journaliste

LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. Après une défaite cinglante aux européennes, Emmanuel Macron choisit de renverser la table. Au risque qu’elle lui tombe sur la tête ?

C'est une expression qu'Emmanuel Macron récuse : « lame duck » ou, en bon français, canard boîteux. C'est ainsi qu'on appelle, aux États-Unis, les présidents qui, durant leur second mandat, ne peuvent plus se représenter et voient leur pouvoir s'étioler au fil des jours. Le chef de l'État tentait tant bien que mal, avec sa majorité relative et sa popularité en berne, de déjouer ce funeste destin, assurant qu'il présiderait « jusqu'au dernier quart d'heure ».

Mais la politique l'a rattrapé ce dimanche 9 juin au soir, quand les résultats des élections européennes ont confirmé les sondages, qui, cette fois, ne se sont pas trompés. Alors, le président, tout bien considéré, a choisi de s'exprimer solennellement pour tirer les leçons d'un scrutin dont tout son camp avait dit et répété qu'il ne revêtait aucun caractère national. Il a opéré un virage sur l'aile et annoncé une dissolution dont tout le microcosme commentait l'éventualité pour mieux la rejeter.

Dissolution de l'Assemblée nationale : une soirée électorale et un coup de tonnerreToutefois, ce « coup de tonnerre » lancé par un Jupiter claudiquant, au soir d'une défaite électorale cinglante, n'apparaît pas comme une audace, mais s'apparente au contraire à un aveu de faiblesse. Cette dissolution, Jordan Bardella l'a demandée, pas le soir de sa victoire, mais pendant toute sa campagne électorale. Et Emmanuel Macron la lui a accordée, quelques dizaines de minutes seulement après l'annonce des premières estimations. Accéder aux exigences de la tête de liste RN n'est pas chose facile à accepter, et encore moins à assumer devant la nation tout entière. Emmanuel Macron déteste céder à la pression. Il a dû forcer sa nature ce dimanche soir.

L'argumentaire présidentiel est de surcroît sujet à caution. « La France, dit-il, a besoin d'une majorité claire. » Rien ne lui permet de croire qu'une dissolution sera synonyme de clarification.

Des allumettes sur un baril de poudre

« Je ferai tout » pour qu'il n'y ait « plus aucune raison de voter pour les extrêmes, assurait Emmanuel Macron au soir de sa première élection, en 2017. Il est facile et cruel de rappeler cet engagement, alors que l'addition des droites extrêmes pèse près de 40 % des voix sept ans plus tard. Comment Emmanuel Macron, qui ne peut négliger la trace qu'il laissera dans l'histoire politique du pays, envisage-t-il d'accommoder cette ambitieuse promesse avec la réalité électorale du moment, où la détestation de sa personne est devenue une variable importante ?

 Allemagne, Italie, Pologne… : les enseignements des européennesPrévoit-il, comme certains le soupçonnent, une victoire si éclatante du RN aux législatives qu'elle se traduise par la nomination de Jordan Bardella au poste de Premier ministre ? Envisage-t-il donc une cohabitation de nature à placer le RN à l'épreuve du pouvoir ? Ce serait non seulement jouer avec des allumettes sur un baril de poudre, mais aussi sous-estimer l'humeur versatile les électeurs tricolores, qui ont montré en 2022 qu'ils ne votent pas toujours où on les attend.

Croit-il vraiment que l'idée de ne pas présenter de candidat face à un sortant « républicain », quel qu'il soit, à condition qu'il ne se réclame pas des extrêmes, suffira à cimenter une majorité ? Difficile d'imaginer une telle candeur de sa part.

Sinon, tout ça pour quoi ? Pour se retrouver avec une Assemblée nationale atomisée, « bordélisée », sans aucune majorité claire, quand l'objectif affiché consistait précisément à clarifier ?

Depuis vingt ans, une émission de télévision intitulée Rendez-vous en terre inconnue emmène une personnalité vers une destination mystère. Cette fois, c'est le président de la République qui embarque 68 millions de Français dans une aventure dont ils se seraient bien passés.

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Le président presque en panique a déclaré la dissolution de l’assemblée nationale ce qui de montre sa faiblesse depuis sa réélection et sa majorité relative au parlement il n’a pas fait surface et était dépassé et ne savait déjà plus où il allait en 2022 !?

Nous gratifiant sans cesse de ses discours alambiqués se croyant au théâtre ou on jouait toujours les même fours qui soulait les Français qui ne l’écoutait même plus et bien sur n’agissant pas n’arrivant pas à ou a ce décider avec cette procrastination pathologique qui le freine sur tous les problèmes de notre société intérieure avec notamment cette insécurité en constante augmentation et bien sur en politique internationale ou ne l’écoute plus depuis longtemps et ou la France qu’il protège mal en plus continue à glisser vers un trou sans fond !?

Le pire étant mais il n’y a pas que lui car ces prédécesseurs n’étaient pas meilleurs est-ce un défaut des Français du peuple peut être car de GAULLE n’était pas comme çà et beaucoup ne l’on même pas connu et s’en recommande mais cela ne l’est a pas empêché de le rejeter dans cette Veme république qu’il avait créé et que l’on ne peut utiliser facilement par ce système référendaire que l’on a compliqué à dessein !?

Pour le reste et cette élection européenne qui s’est transformé en sanction contre notre président à qui on a donné » trop de pouvoir qu’il a utilisé mal ou pas du tout il eut été préférable qu’il démissionne mais comme la place est bonne à garder jusqu’en 2027 et puis il fallait un certain courage pour qu’il admette vraiment sa défaite et ses erreurs car il s’avait ce qui l’attendait avant mais ne devait pas croire à un rejet des français de cette importance !?

Le pire peut être étant que les Français n’aiment pas que certain comme lui se prennent pour des monarques ou messies donneurs de leçons bienpensant hypocrites en les dédaignant ces « gens de peu » voire même les insultant en les disant pas de son monde et qu’il ne se plaigne pas il a de la chance car étant encore là jusqu’en 2027 ce Monsieur sans amour propre !?

Jdeclef 10/06/2024 10h01

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