RN, NFP, camp « macroniste »
: les résultats de notre dernier sondage peut-être un piège à couillons qui ne
profite qu’aux médias et il y a 2 tours en plus bien organisé par ce président
avec sa dissolution inutile puisqu’heureusement inéligible jusqu’en 2027 !?
Un notre
dernier baromètre Cluster17-« Le Point » (mais inféodé au pouvoir place défaut de
cet hebdo) avant le premier tour des législatives, les intentions de vote se
cristallisent autour des trois grands blocs.
Publié le
28/06/2024 à 18h37, mis à jour le 29/06/2024 à 09h16
Malgré l'arrivée de l'été, rien de
nouveau sous le soleil. À deux jours du premier tour des élections législatives
anticipées, notre ultime estimation confirme la tendance à la polarisation du
scrutin et la consolidation des intentions de vote.
Crédité de 35 % des
voix, contre 34,5 % mardi dernier, le Rassemblement national (RN) reste en
tête, profitant d'un nombre accru de reports de voix provenant des électeurs de
Reconquête. En légère perte de vitesse, le Nouveau Front
populaire (NFP) affiche 29,5 % des intentions de vote (contre
30 %), encore loin devant le bloc présidentiel à 20 % (contre
19,5 %).
En projection en sièges,
estimation qui reste toutefois très incertaine avant les résultats du premier
tour, le RN distancerait ses concurrents en
envoyant 210 à 255 députés à l'Assemblée. Le NFP
obtiendrait pour sa part entre 180 et 220 sièges, et la
majorité pourrait reconduire 65 à 110 parlementaires. Les
Républicains (LR) se disputeraient les miettes avec les autres listes,
récupérant respectivement entre 25 et 35 sièges et
entre 20 et 30 sièges.
Législatives :
Macron et le fantasme de la coalition des modérés
86 % des électeurs sont ainsi sûrs de leur choix
« Il n'y a pas de dynamique notable, résume Jean-Yves Dormagen,
fondateur de l'institut Cluster17 et professeur en sciences politiques à
l'université de Montpellier. On est dans une situation qui semble assez
cristallisée, et qui confirme ce que l'on voit depuis le début : des
électorats très fermement positionnés sur leurs intentions de vote, avec très
peu d'hésitation et peu de seconds choix. »
Le vote de la colère
86 % des électeurs qui iront voter sont ainsi sûrs de leur choix, avec un
pic à 94 % et 91 %, respectivement, pour les sympathisants du RN et
du NFP. Le niveau de participation, en légère hausse de 0,5 % pour
atteindre 65 %, est « d'autant plus remarquable que les Français ont
déjà voté le 9 juin, note le fondateur de Cluster17. Une partie importante
de la population a conscience que c'est une élection importante, qui
mobilise ».
« Les gens ont l'air d'être plus tranchés sur le fait de voter ou de
s'abstenir », ajoute-t-il. 14 % des électeurs disent toutefois
pouvoir « encore changer d'avis », une proportion plus grande chez
les électeurs LR et Reconquête. Ces électeurs « tendent à se reporter
principalement sur le RN, ce qui explique que la coalition LR-RN aura sans
doute plus, voire sensiblement plus que son score des européennes »,
prophétise le sondeur.
Le front républicain, stop ou encore ?
« La grande incertitude de ce scrutin à ce stade, poursuit-il, c'est
quel va être l'effet du premier tour sur les électeurs. Comment les électeurs
vont-ils réagir au fait que le RN et Jordan Bardella ont la majorité relative,
voire absolue, à portée de main ? »
Un constat sans doute « pas complètement intégré » par une partie
de l'opinion, en particulier l'électorat centriste, dont les réactions durant
l'entre-deux-tours seront déterminantes dans l'issue du scrutin. « Soit on
va voir se mettre en place une dynamique d'amplification de la progression du
RN et de ses alliés, soit les résultats de ce premier tour produiront au
contraire une reconstitution d'une forme de front républicain », lance
Jean-Yves Dormagen.
Législatives :
les triangulaires, comment ça marche ? L'abstention
potentielle des électeurs de l'actuelle majorité dans le cas de duel RN-NFP a
d'ailleurs évolué à la baisse depuis une semaine, passant de 70 % à
50 %. « Dans 3 cas sur 4, leur vote se reporterait sur le
NFP, pointe le professeur en sciences politiques. On est donc revenu à une
situation de début de campagne, qui s'était dégradée, liée à l'omniprésence de
Jean-Luc Mélenchon dans les médias et au narratif de la majorité reposant sur
la mise en équivalence de deux extrêmes. »
Aujourd'hui, ce narratif a un peu évolué, en témoignent les appels d'Édouard Philippe à
« une grande coalition qui irait de la droite à la gauche écologiste comme
alternative au RN » et les positions de Gabriel Attal plus
virulentes envers l'extrême droite que la gauche lors des deux débats télévisés
de la semaine. « Ce discours qui vient des leaders les plus populaires
et importants de la majorité présidentielle peut impacter les électeurs »,
confie Jean-Yves Dormagen.
La gauche dans les
griffes du cannibale Mélenchon
Les électeurs centristes, clé du scrutin ?
D'après lui, « les responsables politiques à partir de dimanche
20 heures vont avoir un rôle important à jouer, selon les positions qu'ils
vont prendre ». Choisiront-ils de se désister en cas d'arrivée en
troisième place lors d'une triangulaire, comme certains leaders de gauche
l'ont annoncé ces derniers jours ? Y aura-t-il « un appel clair
des leaders des différents camps à faire barrage au RN » ? Ces
décisions entraîneront-elles un regain de participation, comme ça a été le cas
en 1997 dans l'entre-deux-tours ? « Si l'électorat de
Renaissance par exemple s'abstient à 40 % ou 70 % dans le cas d'un
duel NFP-RN, le résultat ne sera pas le même », rappelle le sondeur.
Européennes :
pourquoi la jeunesse ne vote pasLe scrutin se décidera-t-il chez
les électeurs de la majorité ? Jean-Yves Dormagen n'en doute pas :
« La participation, la mobilisation et le choix qu'opéreront les électeurs
dont les candidats auront été éliminés le premier tour vont être absolument
décisifs pour le scénario de second tour. » De son côté, l'électorat
RN semble moins inquiété que les autres des résultats de ces élections :
68 % disent qu'il leur « importe vraiment de savoir qui gagnera
l'élection législative anticipée », contre 76 % des électeurs de
Renaissance et 87 % des électeurs du NFP.
« C'est un électorat en moyenne un
peu moins politisé, un peu plus sceptique envers les politiciens, décrypte
Jean-Yves Dormagen. Il attend moins d'impact important sur sa vie des résultats
des élections, c'est un électorat un peu désabusé. » Et de conclure :
« La plupart des électeurs pensent que le RN va gagner ces élections, et
répondent à cette question avec cette idée à l'esprit. […] Je lis leur réponse
aussi comme le fait que ceux qui craignent le RN le craignent avec plus d'intensité
que ceux qui l'espèrent. » Leurs craintes sont-elles fondées ?
Verdict ce dimanche, à 20 heures.
(D’ailleurs ce que l’on n’a pu aussi constater aux USA avec ce pauvre
président BIDEN qui a perdu une partie de son langage à cause de son âge 81 ans
dans sa confrontation avec TRUMP car eux sont aussi en campagne électorale avec
leur en plus 2 trop VIEUX ex présidents usés !?)
Hier soir au stade vélodrome de Marseille car bien sur le stade de France
était indisponible à cause des prochains J.O. un autre évènement à venir dans
notre état malade mal gouverné ou notre président hors sol croit peut-être que
cela gommera les problèmes sociétaux et internationaux divers de notre pays ?!
Notre président devenu fantôme virtuel avec « sa macronie moribonde »
ne s’est pas déplacé comme c’est la tradition habituelle pour cette sublime
finale de rugby du top 14 qui a rempli ce beau stade archi plein de 66 milles
spectateurs enthousiastes plus tous ceux qui l’on regardé à la télé sur la
chaine 2 nationale ou CANAL+ (style jeux du cirque de l’ancien empire romain et
devenu saint empire romain germanique avec CHARLEMAGNE mais ça c’est
notre histoire de France que l’on enseigne si mal à nos jeunes par notre Education
Nationale d’état orientée vers les pouvoirs en place !?)
Ce « Mr fat » notre chef d’état sans amour-propre il a bien
fait de ne pas venir car il n’aime pas les Français lambda car « pas de son
monde » en les dédaignant car c’est lui qui l’a dit et pourtant a été élu
et réélu par certains encore trop nombreux à cause d’un système electoral qui ne
profite qu’aux sortants comme en 2022 ou qui ont eu peur du lendemain alors qu’il
ne les protège PAS !?
Attendons les résultats des votes du 30/06 et 7/07 de nos concitoyens en
espérant qu’ils votent ou choisissent mieux que d’habitude ce qui serait étonnant
d’ailleurs !?
Notre pouvoir actuel virtuel à quand même mobilisé 5000 fonctionnaires
des forces de l’ordre supplémentaire étant donné que le président lui-même les a
effrayés en prédisant le CHAOS voire l’anarchie c’est une honte désespérante à
cause d’un seul homme à qui des français naïfs ont donné trop de pouvoir c’est
cela la réalité !?
Jdeclef 2906/2024 12h29
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