Immigration, nucléaire,
laïcité… Macron fixe le cap avant les législatives ET SEMBLE S’EN SORTIR PAS
TROP MAL mais ce n’est pas encore gagné pour 2027 car lui n’est pas rééligible
donc qui prendra la suite car on n’est pas sorti de l’auberge car des remplaçants
dans cette classe politique si médiocre il faut les chercher car ceux que l’on
connait ils sont lamentables !?
Trois jours
après la dissolution de l’Assemblée nationale, le président de la République a
pris la parole, ce mercredi, lors d’une conférence de presse.
Publié le
12/06/2024 à 13h10, mis à jour le 12/06/2024 à 15h11
C'est
une prise de parole qui était très attendue, trois jours après la dissolution surprise de
l'Assemblée. Emmanuel
Macron s'est présenté devant une importante nuée de journalistes, ce
mercredi 12 juin, au cours d'une conférence de presse consacrée
aux législatives anticipées.
Législatives :
Macron et la stratégie de la guerre éclair
Réduire l'immigration illégale
Face à « l'inquiétude existentielle et le
sentiment de dépossession », Emmanuel Macron souhaite « protéger
nos valeurs républicaines et nos compatriotes ». Parmi la liste des
réponses apportées : la réduction de l'immigration illégale envers « ceux
qui considèrent la citoyenneté française comme un ensemble de droits à la
carte » et un meilleur contrôle des mineurs non accompagnés, « qui
sont un problème de sécurité dans plusieurs villes ».
« Il faut des mesures radicales contre les
mineurs », selon le chef de l'État, qui promet un « renforcement
d'un axe régalien ». Des peines plus rapides de la justice sont aussi à
l'agenda.
Un grand débat sur la laïcité
Le chef de l'État souhaite « un grand débat sur la laïcité »
avec les associations et les acteurs spécialisés et « régler »
un certain nombre de questions. « Jamais une
religion ne doit permettre de sortir de la République », estime le
président.
SNU, contrôle des écrans et des réseaux
« Il faut redonner le pouvoir aux
enseignants », affirme Emmanuel Macron. Formation des enseignements,
« respect des professeurs », enseignement des
mathématiques. Emmanuel Macron souhaite « recréer
des rites républicains ». Le Service national universel (SNU) doit être
généralisé d'ici à 2026. D'après le chef de l'État, le « modèle
d'intégration passe par l'école ». Ce modèle d'intégration passe également
par « la lutte contre les discriminations ».
Le rôle des écrans sur le harcèlement a été également mis en lumière
par le chef de l'État. Ceux-ci peuvent entraîner « le
harcèlement, les violences et le décrochage scolaire ». Le président de la
République ne souhaite pas que les jeunes aient de téléphones avant
11 ans, et de réseaux avant 15. Sur l'accès au logement des jeunes,
Emmanuel Macron souhaite faire son mea culpa. « La
réponse a été trop timide, j'en porte la responsabilité », confie-t-il.
Nucléaire
Le locataire de l'Élysée fait de l'énergie un sujet majeur de ces élections,
critiquant notamment les désaccords du « nouveau
front populaire » sur ce sujet. Emmanuel Macron a confirmé vouloir
construire huit nouveaux réacteurs EPR2, en plus des six premiers déjà lancés.
Vers la fin des grandes régions ?
Le président de la République souhaite « rouvrir
la question des grandes régions », qui ont, selon lui, éloigné les centres
de décision des populations. Pour Emmanuel Macron, il faut « supprimer
un échelon ». Le chef de l'État estime que les habitants des campagnes
aspirent à « vivre mieux ». « Nous
devons avoir une réponse plus drastique sur les transports, la santé »
dans les zones rurales.
La réforme suspendue en Nouvelle-Calédonie
Le chef de l'État a également annoncé « suspendre » le projet
de loi constitutionnelle modifiant le corps électoral
de Nouvelle-Calédonie, à l'origine des émeutes sur place, pour
« donner toute sa force au dialogue sur place et au retour à
l'ordre » .
« Le projet de loi
constitutionnelle qui a été voté dans les mêmes termes par les deux chambres,
j'ai décidé de le suspendre parce qu'on ne peut pas laisser l'ambiguïté dans la
période », a déclaré le chef de l'État lors de sa conférence de presse. De
facto, le chef de l'État ne peut convoquer de Congrès depuis la dissolution de
l'Assemblée nationale.
Il peut toujours parler lors de ses conférences
de presse qu’il pratique très bien avec ces discours bien tournés ou développés
et avec ses réponses structurées lors des interrogations de ses interlocuteurs
des médias car il sait très bien faire cet exercice !?
Pour le reste nous verrons surtout
si les partis politiques si ringards divisés et leurs leaders seront faire front contre le
RN mais surtout contre cette « macronie » qui vient de montrer ces
limites depuis déjà 2018 avec les gilets jaunes par exemple car justement cette
classe politique de tous bords (hors RN pour l’instant tout à sa victoire européenne)
car c’est cela que les Français lambda doivent comprendre qui ne se retrouvera peut
être pas lors de nos élections législatives nationales car beaucoup de FRANÇAIS
se méfient encore quand mêmes des EXTREMES DROITE RN et surtout peut être de LFI
Mélenchoniste EXTREME GAUCHE pire que celle de droite Lepéniste BARNELLA et cette
NUPES poubelle écolo PS PC et ce résidu de LR avec leur patron Ciotti qui a
viré sa cuti vers RN et confirme ses divisions de ce partis en déconfiture ex
sarkoziste après se défaite de sa non réélection qui n’en s’est pas remis (un peu pareil avec le PS et Hollande !?)
Car lui le président lors de sa conférence
de presse à repris du poil de la bête après sa dissolution précipitée qui l’avait
déstabilisée lors de cette mascarade qu’il a déclenchée lui-même bien que
louvoyant sur le flou de son plan hypothétique d’ailleurs n’ayant pas le choix !?
Mais quand on connait la façon dont
votent les Français si mal on ne peut s’attendre à des miracles d’ici 2027 car
ils semblent incurables et de fait feront indirectement le sauvetage peut être
de la « MACRONIE » car lui le président ne peut être réélu de toute
façon !?
Jdeclef 12/06/2024 18h00
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