mercredi 26 juin 2024

Je ne pensais pas que les FRANÇAIS soient aussi stupides que çà avec ce débat creux qui le confirme et en plus on va remettre çà à la télé avec la fringante Caroline Roux sur la 2 et en plus avec son émission qu’elle distille chaque jour « C’DANS L’AIR » sur la 5 !?

 

Législatives : les leçons du premier débat de l'après-Macron il y en pas ce n’est qu’une démonstration d’incompétence qui fait le bonheur des MEDIAS qui se régale !?

Bardella a tenté d’incarner la droite, Attal s’est émancipé de toute tutelle présidentielle quand Bompard a renvoyé dos à dos l’un et l’autre.

Par Charles Sapin

Publié le 26/06/2024 à 00h46, mis à jour le 26/06/2024 à 10h45

LA CELA FRISE L’INDISGESTION POLITICIENNE DEBILE ET ON VA REMETTRE CA LA SEMAINE SUIVANTE JUSQU’07 JUILLET on pourra peut-être après s’intéresser au Tour de France voir aux J.O. genre de bouée de sauvetage du Président pour éviter de couler trop vite à moins va savoir et que suite aux résultats notre président démissionne (enfin) va savoir ?!

Depuis 1968 je ne me souviens pas avoir vu pire il n’y a pas de quoi être fier mais j’étais plus jeune et devait le supporter mieux (mais j’ai honte !?)

Deux candidats et un faux-nez. Bien que déséquilibré, le débat organisé sur TF1 à cinq jours du premier tour des législatives anticipées – après la décision du chef de l'État de dissoudre l'Assemblée nationale – a tenu ses promesses. Celle d'être la première confrontation politique de l'après-Emmanuel Macron, tout d'abord. Le nom du président n'a à aucun moment été cité sur les près de deux heures d'émission. Une première depuis l'arrivée de ce dernier dans l'échiquier politique (Et pourtant c’set lui qui a semé le souk !?)

Celle, ensuite, de donner lieu à une nouvelle passe d'arme entre un Premier ministre sortant, Gabriel Attal, apparaissant plus émancipé que jamais de toute tutelle présidentielle, et un jeune premier ministrable, Jordan Bardella, qui n'aura jamais paru aussi proche de lui ravir sa place. Quitte à parfois tutoyer l'outrecuidance, en lui lançant : « J'ai hâte que vous fassiez vos cartons, vous n'êtes pas à la hauteur du poste que vous occupez… » Entre eux deux, le Nouveau Front populaire, la coalition des partis de gauche, avait choisi d'envoyer un non-candidat au poste de Premier ministre : Manuel Bompard. Homme lige de Jean-Luc Mélenchon de 38 ans et mécano de La France insoumise, dont la mission était de suppléer son mentor – interdit de s'y montrer parce que jugé répulsif par une partie de la gauche – sans pour autant laisser quiconque du PS ou d'EELV briguer à sa place l'Hôtel de Matignon…

Comme actant le passage à une nouvelle ère politique, Jordan Bardella aura tout au long de la confrontation tenté d'enfiler le costume du candidat de la droite. Particulièrement sur les questions économiques et financières, où le vingtenaire n'aura cessé d'insister sur ses promesses de « revenir à la raison budgétaire » et sortir le pays de son état de « quasi-faillite ». Au moyen, notamment, d'un audit sur les comptes de l'État lancé dès son accession au pouvoir.

 Le pari déjà perdu de Macron

« Tout ça n'est pas sérieux, tout ça n'est pas crédible […] Qui paye dans votre monde où il n'y a plus d'impôt et où on arrête de travailler à 60 ans ? » s'esclaffe Gabriel Attal en réplique au programme du RN sur la baisse de l'âge de départ à la retraite, la baisse de la TVA sur l'énergie ou les exonérations d'impôts sur le revenu des moins de 30 ans. Un procès en crédibilité que renverse Jordan Bardella avec une formule : « Allez-y, faites-nous un cours d'économie, monsieur le Premier ministre aux 1 000 milliards de dette supplémentaire […] Si vous étiez crédible, on ne serait pas là. »

Clash sur la double nationalité

Peinant parfois à s'immiscer dans ce ping-pong, jusqu'à accumuler régulièrement un retard de temps de parole, le représentant de La France insoumise, Manuel Bompard, finira par prendre le parti de s'en extraire presque tout à fait : « Je les laisse polémiquer. Moi, je parle aux Français, c'est ce qui est le plus important. » Façon, outre de rappeler le programme de la coalition de la gauche à laquelle il appartient, de renvoyer dos à dos Rassemblement national et la coalition présidentielle Ensemble. Tous deux responsables, selon lui, d'« enrichir les 10 % les plus riches au détriment des 30 % des plus pauvres », comme d'avoir « voté ensemble la même loi sur l'immigration ». Attaqué par le RN Jordan Bardella sur la hausse de 50 milliards d'impôts dès cet été que prévoit le programme du Nouveau Front populaire, Manuel Bompard rétorque tout sourire : « Ce sont les arguments de M. Attal ça normalement, non ? »

 Le RN prend le large, la participation grimpe : les enseignements de notre dernier sondageReste un sujet sur lequel se seront réconciliés le représentant du Nouveau Front populaire et l'actuel Premier ministre Gabriel Attal : la dénonciation de l'interdiction de certains emplois stratégiques aux personnes bénéficiant d'une double nationalité prônée par Jordan Bardella. Gabriel Attal évoque le témoignage de deux jeunes femmes, rencontrées le jour même, « humiliées » par la mesure.

Mesure également qualifiée « tout simplement d'insupportable » par Manuel Bompard. Quelques minutes après que ce dernier a tenté de démontrer l'incompatibilité entre les origines italiennes de Jordan Bardella et ses origines politiques. « Les immigrés en France ne coûtent pas de l'argent, ils rapportent de l'argent sur les dix dernières années », défend l'Insoumis. « Augmentons l'immigration alors, on deviendra très riche », ironise son adversaire du RN.

Si aucun débat n'a jamais inversé une dynamique, ni véritablement changé le cours d'une élection, celui-ci aura peut-être permis à chaque électeur de confirmer ses raisons de faire barrage à l'un ou à l'autre camp ces deux prochains dimanches dans les urnes. Alors même que les différents instituts de sondages pronostiquent une participation de plus de 64 %. Un record depuis plus de 20 ans.

Hélas mais je ne m’attendais pas à autre chose de ce débat insipide de ces politiciens pitoyables connus mais aussi nuls les uns que les autres le seul vainqueur si on peut l’appeler comme cela c’est le président qui s’est encore moqué des Français en les dédaignant avec sa dissolution de notre ASSEMBLEE NATIONALE mais ils l’ont mérités puisqu’ils l’ont réélu alors ils n'ont pas à se plaindre car ayant une propension à tout avaler de leurs dirigeants passés ou présents (je peux dire cela car je les ai tous connus comme tous les français de ma génération d’ailleurs !?)

Mais semble-t-il ces débateurs n’aiment plus le président même son petit minet marionnette ATTAL devenant ex 1er ministre de fait pour l’instant après 8 mois d’exercice car ça fait bien peu pour le satisfaire ?!

Car pour l’instant ce n’est pas lui le président avec sa « macronie » devenue en gestation qui est perdant puisqu’il est là jusqu’en 2027 !?

Tout le reste est du bla-bla de mauvaise politique politicienne dont on crève depuis que cette vieille V eme république de 66 ans redevenue pseudo monarchique style ancien régime confirmée depuis + de 40 ans depuis l’ancien mitterrandisme qui fut un échec dont on ne s’est pas relevé malgré des quinquennats qui n’ont fait que changer nos dirigeants plus rapidement et le noms de leurs partis politiques ringards qui ne pensent qu’à eux et ne compte même plus l’ampleur de la dette pharaonique de la France avec ce « quoi qu’il en coute ou le en même temps » car irremboursable donc faillite masquée à cause de ce président si « macronien » sans amour propre qui n’a jamais su nous gouvernez et même nous protégez et çà c’est plus grave tant pis pour nous qui donnons trop de pouvoir à un seul homme comme des naïfs incurables !?

JDeclef 2606/2024 14h31LP

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