Législatives : les
leçons du premier débat de l'après-Macron il y en pas ce n’est qu’une démonstration
d’incompétence qui fait le bonheur des MEDIAS qui se régale !?
Bardella a
tenté d’incarner la droite, Attal s’est émancipé de toute tutelle
présidentielle quand Bompard a renvoyé dos à dos l’un et l’autre.
Publié le
26/06/2024 à 00h46, mis à jour le 26/06/2024 à 10h45
LA CELA
FRISE L’INDISGESTION POLITICIENNE DEBILE ET ON VA REMETTRE CA LA SEMAINE SUIVANTE
JUSQU’07 JUILLET on pourra peut-être après s’intéresser au Tour de France voir
aux J.O. genre de bouée de sauvetage du Président pour éviter de couler trop
vite à moins va savoir et que suite aux résultats notre président démissionne
(enfin) va savoir ?!
Depuis
1968 je ne me souviens pas avoir vu pire il n’y a pas de quoi être fier mais j’étais
plus jeune et devait le supporter mieux (mais j’ai honte !?)
Deux candidats et un faux-nez. Bien
que déséquilibré, le débat organisé sur TF1 à cinq
jours du premier tour des législatives anticipées – après
la décision du chef de l'État de dissoudre l'Assemblée nationale – a tenu ses
promesses. Celle d'être la première confrontation politique
de l'après-Emmanuel Macron, tout d'abord. Le nom du président n'a à aucun
moment été cité sur les près de deux heures d'émission. Une première depuis
l'arrivée de ce dernier dans l'échiquier politique (Et pourtant c’set lui
qui a semé le souk !?)
Celle, ensuite, de donner lieu à une nouvelle passe d'arme entre un Premier
ministre sortant, Gabriel
Attal, apparaissant plus émancipé que jamais de toute tutelle
présidentielle, et un jeune premier ministrable, Jordan Bardella, qui n'aura
jamais paru aussi proche de lui ravir sa place. Quitte à parfois tutoyer
l'outrecuidance, en lui lançant : « J'ai hâte que vous fassiez vos
cartons, vous n'êtes pas à la hauteur du poste que vous occupez… » Entre
eux deux, le Nouveau Front populaire, la coalition des partis de gauche, avait
choisi d'envoyer un non-candidat au poste de Premier ministre : Manuel
Bompard. Homme lige de Jean-Luc Mélenchon de 38 ans et mécano de La France insoumise, dont la mission
était de suppléer son mentor – interdit de s'y montrer parce que jugé répulsif
par une partie de la gauche – sans pour autant laisser quiconque du PS ou
d'EELV briguer à sa place l'Hôtel de Matignon…
Comme actant le passage à une nouvelle ère politique, Jordan Bardella aura
tout au long de la confrontation tenté d'enfiler le costume du candidat de
la droite. Particulièrement sur les questions économiques et
financières, où le vingtenaire n'aura cessé d'insister sur ses promesses
de « revenir à la raison budgétaire » et sortir le pays de son état
de « quasi-faillite ». Au moyen, notamment, d'un audit sur les
comptes de l'État lancé dès son accession au pouvoir.
« Tout ça n'est pas sérieux, tout ça n'est pas crédible […] Qui paye
dans votre monde où il n'y a plus d'impôt et où on arrête de travailler à
60 ans ? » s'esclaffe Gabriel Attal en réplique au
programme du RN sur la baisse de l'âge de départ à la retraite, la baisse de la
TVA sur l'énergie ou les exonérations d'impôts sur le revenu des moins de
30 ans. Un procès en crédibilité que renverse Jordan Bardella avec
une formule : « Allez-y, faites-nous un cours d'économie, monsieur le
Premier ministre aux 1 000 milliards de dette supplémentaire […] Si
vous étiez crédible, on ne serait pas là. »
Clash sur la double nationalité
Peinant parfois à s'immiscer dans ce ping-pong, jusqu'à accumuler
régulièrement un retard de temps de parole, le représentant de La France
insoumise, Manuel Bompard, finira par prendre le parti de s'en extraire presque
tout à fait : « Je les laisse polémiquer. Moi, je parle aux Français,
c'est ce qui est le plus important. » Façon, outre de rappeler le programme de la coalition de la
gauche à laquelle il appartient, de renvoyer dos à dos Rassemblement
national et la coalition présidentielle Ensemble. Tous deux responsables,
selon lui, d'« enrichir les 10 % les plus riches au détriment des
30 % des plus pauvres », comme d'avoir « voté ensemble la même
loi sur l'immigration ». Attaqué par le RN Jordan Bardella sur la hausse
de 50 milliards d'impôts dès cet été que prévoit le programme du Nouveau
Front populaire, Manuel Bompard rétorque tout sourire : « Ce
sont les arguments de M. Attal ça normalement, non ? »
Le
RN prend le large, la participation grimpe : les enseignements de notre
dernier sondageReste un sujet sur lequel se seront réconciliés le
représentant du Nouveau Front populaire et l'actuel Premier ministre Gabriel
Attal : la dénonciation de l'interdiction de certains emplois stratégiques
aux personnes bénéficiant d'une double nationalité prônée par Jordan
Bardella. Gabriel Attal évoque le témoignage de deux jeunes femmes,
rencontrées le jour même, « humiliées » par la mesure.
Mesure également qualifiée « tout simplement d'insupportable » par
Manuel Bompard. Quelques minutes après que ce dernier a tenté de
démontrer l'incompatibilité entre les origines italiennes de Jordan
Bardella et ses origines politiques. « Les immigrés en France ne coûtent
pas de l'argent, ils rapportent de l'argent sur les dix dernières
années », défend l'Insoumis. « Augmentons l'immigration alors, on
deviendra très riche », ironise son adversaire du RN.
Si aucun débat n'a jamais inversé une
dynamique, ni véritablement changé le cours d'une élection, celui-ci aura
peut-être permis à chaque électeur de confirmer ses raisons de faire barrage à
l'un ou à l'autre camp ces deux prochains dimanches dans les urnes. Alors même
que les différents instituts de sondages pronostiquent une participation de
plus de 64 %. Un record depuis plus de 20 ans.
Hélas mais je ne m’attendais
pas à autre chose de ce débat insipide de ces politiciens pitoyables connus
mais aussi nuls les uns que les autres le seul vainqueur si on peut l’appeler
comme cela c’est le président qui s’est encore moqué des Français en les dédaignant
avec sa dissolution de notre ASSEMBLEE NATIONALE mais ils l’ont mérités puisqu’ils
l’ont réélu alors ils n'ont pas à se plaindre car ayant une propension à tout
avaler de leurs dirigeants passés ou présents (je peux dire cela car je les ai
tous connus comme tous les français de ma génération d’ailleurs !?)
Mais semble-t-il ces débateurs
n’aiment plus le président même son petit minet marionnette ATTAL devenant ex 1er
ministre de fait pour l’instant après 8 mois d’exercice car ça fait bien peu
pour le satisfaire ?!
Car pour l’instant ce n’est
pas lui le président avec sa « macronie » devenue en gestation qui
est perdant puisqu’il est là jusqu’en 2027 !?
Tout le reste est du bla-bla
de mauvaise politique politicienne dont on crève depuis que cette vieille V eme
république de 66 ans redevenue pseudo monarchique style ancien régime confirmée
depuis + de 40 ans depuis l’ancien mitterrandisme qui fut un échec dont on ne s’est
pas relevé malgré des quinquennats qui n’ont fait que changer nos dirigeants
plus rapidement et le noms de leurs partis politiques ringards qui ne pensent
qu’à eux et ne compte même plus l’ampleur de la dette pharaonique de la France avec
ce « quoi qu’il en coute ou le en même temps » car irremboursable
donc faillite masquée à cause de ce président si « macronien » sans
amour propre qui n’a jamais su nous gouvernez et même nous protégez et çà c’est
plus grave tant pis pour nous qui donnons trop de pouvoir à un seul homme comme
des naïfs incurables !?
JDeclef 2606/2024 14h31LP
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