François Hollande, la
stratégie du coucou : TYPIQUEMENT l’EXEMPLE DE NOS EX DIRIGEANTS QUI N’ONT
AUCUN AMOUR PROPRE CAR SE CROYANT TOUJOURS LES MEILLEURS GONFLES D’ORGUEILS
COMME DES BAUDRUCHES CREVEES ?!
LA CHRONIQUE
DE MICHEL RICHARD. Toutes les occasions sont bonnes à saisir. Hollande,
aux aguets, et n’ayant renoncé à rien, essaie de surfer sur la dynamique
Glucksmann.
Publié le
08/06/2024 à 08h00
DE TOUTE
FACON CES POLITICIENS CHEVRONNES DE TOUS BORDS ONT UN BON PUBLIC DE FRANÇAIS QUI
FRISENT LA DEBILITE ALORS…….
François
Hollande s'exprime face aux médias le 6 mars 2024. © Gabrielle
CEZARD/SIPA
Chacun sait que le coucou est cet oiseau
de la taille d'un pigeon, au plumage gris cendré barré de noir, dont la femelle
pond ses œufs dans le nid d'autres espèces. François Hollande calquerait-il sa
stratégie politique sur celle de l'oiseau ?
Aujourd'hui, la gauche le suspecte de vouloir profiter du nid de Raphaël
Glucksmann comme d'un incubateur, pour effectuer son retour en présidentiable.
Il y mettrait au chaud sa popularité, il y puiserait des forces, il s'y
propulserait comme rénovateur d'une gauche pour l'essentiel débarrassée de la
Nupes.
Hollande s'immisce
En effet, le jeune Glucksmann, on peut se permettre de le dire sans attendre
les résultats de dimanche soir, a réussi à éclipser celui qui est devenu
l'ennemi intime de Hollande, Jean-Luc Mélenchon, à larguer la liste LFI
conduite par Manon Aubry,
à redonner de l'espoir à une gauche qui se veut sociale-démocrate. Précisément
celle que défend – et ne désespère pas d'incarner – François Hollande.
Hollande-Sarkozy, le
retour des dinosaures ?
On le voit du coup s'immiscer autant qu'il le peut dans la campagne du
candidat PS-Place publique. Multiplier les déplacements. Arpenter salles de
classe et amphis de facs. Commenter, consulter, recevoir. Avec la jovialité qui
est la sienne, patelin, toujours le bon mot, celui pour rire et, soudain, pour
tuer. Il s'y entend, il en raffole.
L'embêtant, c'est que pas grand monde ne veut de lui, de son soutien et
encore moins de son retour. Raphaël Glucksmann se garde bien de l'inviter à ses
côtés, il préfère la compagnie de Lionel Jospin ou de Martine Aubry.
Pas question d'un retour vers le passé
Le hollandisme n'a pas bonne presse à gauche. Le candidat s'agace de
s'entendre dire que sa campagne est un camouflage pour servir Hollande. Il
s'énerve même d'un « Mais lâchez-moi les baskets avec ça » devant une
Manon Aubry qui l'en accuse. Pas question d'un retour vers le passé, dit-il,
mais d'une refondation. Il ne dit pas s'il en sera l'homme, au lendemain du
9 juin. Au moins a-t-il dit qu'il ne disparaîtra pas à Strasbourg, comme
il l'avait fait au lendemain de sa première élection de député européen. Au
moins a-t-il manifesté son refus que quiconque préempte ou surfe sur son
(relatif ?) succès électoral.
Raphaël
Glucksmann, la gauche et le syndrome Cohn-Bendit
On doute que François Hollande en soit effarouché. Il a trop d'expérience,
trop de rouerie, trop d'envie d'un grand retour pour en rester là. Sa
popularité, ma foi, tient la route, même si elle peut se révéler factice à
l'épreuve des urnes. Ses publics nombreux, ses selfies demandés. Et puis les
ennuis d'Emmanuel Macron, sa réputation à la baisse, lui profitent
indirectement. Non pas comme une réhabilitation, pas quand même, mais comme un
correctif de jugement bienvenu.
Les plus allergiques sont dans son camp, qui le jugent trop dévalorisé, d'un
autre temps. Mais qui s'imposera dans ce vaste maelström dont la gauche
sociale-démocrate et écologiste ne pourra pas faire l'économie après les
européennes ? Hollande s'y voit. D'autant que, pour s'être trop tôt
désisté en 2017, il juge qu'il n'a pas soldé sa relation avec les Français. Il
n'a pas vécu un échec de leur part, juste un renoncement de la sienne. À ne pas
s'en remettre.
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Il n’y a vraiment rien à
faire avec ses ex présidents sans amour propre comme HOLLANDE qui avait jeté l’éponge
avant la fin de son quinquennat pour éviter
une défaite retentissante qui a permis plus facilement l’élection de notre président
actuel par des Français ne sachant plus voter ni choisir leurs dirigeants en
2017 par défaut mais depuis + de 40 ans car sans vraie opposition structurée car
divisée ce qui représente bien la mentalité des Français lambda râleurs
indisciplinés et égoïstes ne pensant car « leur petit moi personnel étriqué »
et qui ont récidivé avec leur jeune dit chef
d’Etat bavard comme des naïfs stupides en le réélisant en 2022 jusqu’en 2027 en
subissant toujours ses discours
alambiqués sa spécialité que certains de nos citoyens bornés avalent toujours
avec une majorité relative à notre assemblée nationale notre parlement qui
porte bien son nom car composé de bavards comme tous ses députés « macroniens »
et autres qui s’invectivent bien sûr pour la forme mais voulant garder leurs places
et avantages lucratifs mais ne servant à rien car système électoral de cette Veme
république redevenue pseudo monarchique comme cet ancien régime favorisant les
sortant et notamment notre dirigeant actuel en place se prenant pour un
monarque et ses gouvernements ou 1ers ministres désignés par lui à qui à se
seul homme on a donné trop de pouvoir mais il n’y a pas que lui ces prédécesseurs
aussi malgré des changements divers de façade septennat devenu quinquennat bidons
etc. ?!
Mais pendant ce temps la France
que certains comme moi aiment encore voient notre pays continuer à sombrer que
ce soit en politique nationale ou surtout internationale les deux in
sécuritaires mais là cela devient plus hasardeux voir dangereux car mal
gouverné et mal protégé par ceux censés nous gouverner !?
Pour les Français lambda « il
n’y a pas plus aveugles que ceux qui ne veulent rien voir » et cela semble
une tare indélébile !?
Alors merci à eux mes concitoyens
franchouillards car moi ma vie est derrière moi donc comme eux je suis obligé
de subir même si cela ne me plait pas tant pis !?
Jdeclef 08/06/2024 15h01
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