(Qu'il baisse la tête il aura l'air d'un coureur car le Tour de France arrive !? LOL)
Emmanuel Macron sur le
divan : qu'en disent les psys et ses proches ?! Les psys et ceux qui pratiquent
la psychologie qui est une science médicale qui est loin d’être fiable çà se saurait
quand à ses proches croyez vous qu’ils diraient ce qu’ils croient et même une
partie de la vérité sur ce qu’ils pensent ou savent du président c’est mal
connaitre les Français lambda ce n’est pas dans leur nature (il suffit de vivre
parmi le peuple lambda en les côtoyant dans leurs vies quotidiennes et n’on pas
comme le font ces médias orientées pour la majorité d’entre elles !?)
Sa décision
brutale de dissoudre l’Assemblée, le 9 juin 2024, ravive les interrogations sur
une personnalité énigmatique, même pour le premier cercle.
Publié le
27/06/2024 à 08h45, mis à jour le 27/06/2024 à 09h31
Le
président français au Quai d’Orsay avant une réunion, le 20 juin.
Suggestion de lecture faite
récemment au sujet d'Emmanuel
Macron : Les
Perversions narcissiques, du psychiatre Paul-Claude Racamier. Texte
délicieux, il faut dire, dans lequel se trouvent des phrases comme
celle-ci : « Cette
folie ne manque ni de culot ni de malignité ; réduit à l'état d'ustensile
ou de spectateur, autrui est exploité, grugé, disqualifié. Aucun scrupule
n'arrête le narcissique en son triomphe ; rien ne lui résiste ; tout
lui appartient ; tout doit se soumettre et plier. » Ou
celle-là : « Le
moi est mis à feu, comme on le dirait d'une fusée. Le moi se met à flamber.
(Impossible de ne pas penser à ces flambeurs qui jouent et gagnent avec
ivresse… jusqu'à tout perdre.) »
En
décidant de dissoudre l’Assemblée, Macron révèle en plein jour l’arrogance
qu’il ne peut plus contenir, son besoin de gloire et de triomphe.Elsa Godart
« En créant un
tel chaos, Macron oblige, non plus seulement à tenter une critique objective,
argumentée de sa politique, mais à se positionner face à sa personnalité », estime la philosophe et
psychanalyste Elsa Godart, qui a consacré un essai au besoin de reconnaissance
(Les Vies vides,
Armand Colin). « Cela,
poursuit-elle,
je le vois comme un acte de mort politique. En décidant de dissoudre
l'Assemblée, Macron révèle en plein jour l'arrogance qu'il ne peut plus
contenir, son besoin de gloire et de triomphe. Le peuple a eu l'audace de lui
faire défaut, de ne pas le reconnaître dans sa puissance, il s'en venge et le
défie en le plaçant en situation de choix contraint à travers ces
élections : nous devrons choisir et assumer une décision que nous ne voulions
pas prendre. » Et voilà donc la France entière qui verse,
déboussolée, dans l'analyse à la hussarde.
Un
one-man-show permanent
« Je suis
désemparé, car je ne vois pas de raisonnement crédible dans cette décision, confie un ex-Premier ministre. Le défaut d'Emmanuel Macron, c'est
sa conviction qu'il peut renverser la table en sa faveur. Le fait de ne pas
pouvoir se représenter joue beaucoup dans sa psychologie : il est, depuis
2022, dans une forme de pathos de départ. »
« Une
terreur régressive » : ce que les psys disent de l'état des Français
depuis la dissolutionCommentaire
plus rude d'un ancien de l'Élysée : « Il
y a chez lui une déprise de plus en plus grande, un renoncement. Il peine à
être au rendez-vous de ce qu'exige la fonction de président, il est incapable
d'expliquer sa politique, il ne cherche plus qu'à maximiser son bonheur d'être
chef de l'État pendant les trois ans qui lui restent. On assiste désormais à un
one-man-show permanent : des déclarations martiales sur l'Ukraine à son
passage en revue des troupes, seul, le 6 juin, en passant par sa manière excessive
d'utiliser la Constitution et son obsession pour les remises de décorations,
l'ego trip est sans limite. Sauf que tout le monde voit désormais que le
macronisme est réduit à Macron : il restera seul en scène. »
Non plus seulement
solitaire dans son exercice du pouvoir, dérive amplifiée par notre
Constitution, mais isolé. Non plus impérieux et grave mais logorrhéique,
suspect de caprices et de pulsions, transformant la vie politique en
tragi-comédie – en une série, plutôt, pleine de rebondissements grotesques et
angoissants. « Tout
se passe comme si l'acte du président de la République avait psychiquement
autorisé la liquidation de toutes les limites politiques »,
note justement dans Le
Monde l'essayiste Raphaël Llorca.
Européennes :
Macron, chef de guerre et directeur de campagne
il y avait Jupiter mesurant sa parole et retenant ses coups, il y a un
méchant gamin capable de jubiler, au lendemain de la dissolution, devant un
grand patron : « Je leur ai balancé ma grenade dégoupillée dans
les jambes. Maintenant on va voir comment ils s'en sortent… » La
phrase, rapportée par Le Monde et démentie par l'Élysée, a fait grand
bruit.
« On va bien se
marrer »
La veille du scrutin, lors du dîner d'État organisé au Palais à l'occasion de la visite officielle
du président américain Joe Biden, l'attitude d'Emmanuel Macron avait déjà
interpellé Nicolas Sarkozy. Son jeune successeur lui paraissait agité.
D'ordinaire, il lui réserve d'ailleurs un aparté à l'issue de ce genre de
cérémonial. Pas ce soir-là, comme s'il avait voulu éviter d'être confronté à
des personnes susceptibles d'infléchir sa décision de dissoudre l'Assemblée.
Alors que Sarkozy prenait congé, il lui avait cependant glissé un énigmatique
commentaire, qui prendrait tout son sens moins de vingt-quatre heures plus
tard : « On va bien se marrer. »
Des ministres chevronnés de son gouvernement avaient aussi remarqué que,
depuis quelque temps, le chef de l'État ne les consultait plus. Tous lui
auraient expliqué qu'il était suicidaire d'en passer par une dissolution.
Ceux-là mêmes qui lui avaient conseillé, en janvier, de conserver Élisabeth
Borne à Matignon, histoire de garder la cartouche du remaniement pour le
lendemain des européennes.
Dissolution :
l'histoire secrète d'une décision historique
« Il est dans la posture d'un Charles X, avance le psychanalyste Roland Gori,
auteur de La Nudité du pouvoir (Les Liens qui libèrent). La Restauration
avait tenté de renouer avec la tradition des rois thaumaturges, capables de
guérir les écrouelles par l'imposition des mains. Le malheur c'est que, pour
fonctionner, cette force religieuse du pouvoir a besoin que les gens y croient.
Pour Charles X, la foi n'était plus là. Elle n'est plus là non plus pour
Macron. En 2015, dans une interview au 1 Hebdo, il expliquait que
l'absence d'un roi créait un manque, dans la démocratie française, que seuls
les moments bonapartiste ou gaulliste avaient su combler… En quoi il se
trompait lourdement : la démocratie vit, au contraire, de cette
incomplétude. »
Il pense détenir le pouvoir de manière quasi
religieuse et ne consent à parler que pour évangéliser le bon peuple.Roland Gori
Le roi est nu. Jamais, peut-être, l'image n'aura été si juste. « Il
me fait penser à l'Alcibiade dont parle Lacan, ajoute Roland Gori :
une absence de peur de la castration, une absence de limites. Il pense détenir
le pouvoir de manière quasi religieuse et ne consent à parler que pour
évangéliser le bon peuple. Son attitude dans les débats est en ce sens assez
notable : on lui voit toujours le même geste de la main pour repousser ce
qui lui est opposé en disant “Je vais vous expliquer”. Le “en même temps” dont
il s'est réclamé peut avoir deux sens : prendre en charge la complexité du
monde ou être dans la simultanéité, c'est-à-dire être brutal tout en voulant
être aimé. C'est le second qui prévaut aujourd'hui. »
« Tu m'as mis un beau
bordel ! »
Incapable d'admettre la contradiction, donc, comme de reconnaître ses
torts ? « Il est si attaché à sa liberté qu'il ne tolère pas
qu'on lui tienne tête », se désole un ministre de poids. Quand
Emmanuel Macron n'est pas d'accord, il fuit. Ce député Renaissance nous raconte
l'avoir appris à ses dépens. Il y a un an, il a transmis une note au président,
lui conseillant de bonne foi de former un contrat de gouvernance avec la
droite, histoire de récupérer des marges de manœuvre politiques. Depuis, plus
de nouvelles du chef de l'État. Il en conclut qu'il ne partageait probablement
pas ses vues. Combien sont-ils à avoir subi un traitement similaire ?
À chaque fois que quelque chose ne lui
convient pas, il reporte la faute sur les autres.Une ancienne ministre
Étrange, aussi, cette remarque goguenarde de Macron glissée à l'un de ses
visiteurs du soir, au lendemain du 9 juin. « Tu m'as mis un beau
bordel ! » Un beau bordel ? Cet interlocuteur en reste
coi : si c'est de la dissolution qu'il est question, il n'y est pour rien
et n'y a été associé ni de près ni de loin ! Le président tenterait il de
mettre son acte à distance, soufflé par les expressions unanimes
d'hostilité ? « À chaque fois que quelque chose ne lui convient
pas, il reporte la faute sur les autres, relève une ancienne ministre.
Pendant le Covid, Olivier Véran a joué le rôle de bouc émissaire ; après
la dissolution, c'était au tour de Bruno Roger-Petit. » L'intrigant
conseiller mémoire, qui a encouragé Emmanuel Macron à appuyer sur le bouton de
l'arme nucléaire puis défendu ce choix dans la presse, a en effet subi un
recadrage en règle du chef de l'État. Un grand classique.
Pourquoi, alors, avoir déclenché ces élections ? Patrick Weil,
historien, a écrit Le président est-il devenu fou ? (Grasset). Un
essai consacré non pas à Emmanuel Macron mais au président américain Woodrow
Wilson, dont Freud, sur la demande d'un ancien diplomate américain, avait
cherché à établir le portrait psychologique après que le président avait fait
échouer la ratification du traité de Versailles qu'il était pourtant venu
négocier à Paris en 1919. « Freud est d'abord réticent, explique
Patrick Weil, mais il explique qu'une investigation de cet ordre est
légitime lorsqu'un président se retrouve à faire l'exact inverse de ce qu'il
avait promis. Ce renversement, on le retrouve aujourd'hui chez Macron, qui
avait été élu sur la promesse de tenir en échec l'extrême droite. Le président
a également en commun avec Wilson un rapport particulier à ses paroles. Wilson
tenait à ce que chacune de ses actions puisse être rattachée à l'un de ses
discours, quand bien même elle contredirait le fond du propos. Macron, lui, est
capable de dire tout et son contraire. Surtout, l'un et l'autre sont des
personnages immensément narcissiques. »
Le jour où Narcisse a cassé le
miroir
« Un goût certain pour
la transgression »
Le narcissisme n'est pas une pathologie, ni d'ailleurs un trait fort rare
chez un politique. « Il convient de parler plutôt d'une structure de
personnalité, souvent bâtie sur des failles affectives précoces et accompagnée
d'un talent certain pour l'adaptation et la manipulation, explique
Jean-Luc Ployé, psychologue expert auprès des tribunaux et auteur de La
Passion du mal (Grasset). Le président Macron est très tactile, par
exemple, sans qu'il en ressorte grand-chose du domaine de l'empathie. Il
manifeste en outre un goût certain pour la transgression, au moins
symbolique : on pense évidemment à son mariage, comme à la façon dont il a
tué le père en trahissant François Hollande. Je trouve intéressant, aussi, le
fait qu'il soit systématiquement en retard, de trente à quarante-cinq minutes.
Il faut à tout prix, il l'a lui-même dit, qu'il reste maître des
horloges : tout-puissant. » Là s'arrête la possibilité de
l'analyse, là commence la question des ressorts intimes et celle des accidents
d'une vie.
« Si Emmanuel Macron me demandait un rendez-vous, écrivait
dans Le Point, en 2021, le regretté Michel Schneider,
je le questionnerais : d'où vient le fait que, à 40 ans passés, il
répète sans cesse une sorte de grand oral perpétuel comme celui qu'il a passé à
l'ENA, cherchant à remplir les attentes du jury et à faire ses preuves ?
[…] Comment un président peut-il à ce point calquer son propos sur ce que
l'autre peut ou veut entendre et dire ainsi : “Il y a des violences
policières, si ça vous fait plaisir que je le dise” ? Banalement, nous
rechercherions dans son enfance ce qui a pu déterminer ce besoin irrépressible
de séduire son monde tout en protégeant ses désirs inconscients de l'emprise de
l'autre. À qui, à quelle figure parentale adresse-t-il sa demande éperdue de
reconnaissance ? »
Je crois davantage à l’hypothèse d’un geste
réfléchi de ce que nous appelons en psychiatrie un “chercheur de
sensations” .Patrick Lemoine
« Est-ce qu'il faut être fou pour vouloir le pouvoir ou est-ce le
pouvoir qui rend fou ? La réponse est toujours « les deux, mon
capitaine », commente le psychiatre Patrick Lemoine, auteur de La
Santé psychique de ceux qui ont fait le monde (Odile Jacob). Le besoin
effréné de domination est constant chez les politiques : on le retrouve
chez tous, de Catherine II à Winston Churchill – qui faisait carrément des
phases maniaques lorsqu'il entrait en guerre. Pour ce qui est d'Emmanuel
Macron, je ne crois pas beaucoup à l'idée d'un passage à l'acte mû par une
blessure narcissique. Davantage à l'hypothèse d'un geste réfléchi de ce que
nous appelons en psychiatrie un “chercheur de sensations” : ce
syndrome commun aux parachutistes, aux joueurs de poker ou à tous ceux qui
pratiquent des sports extrêmes – et la politique en est un. Macron aime
profondément ferrailler, aller au combat, aller au contact. Ce syndrome-là se
trouve, par ailleurs, associé à des personnalités dépendantes. Qu'il soit accro
au pouvoir, c'est certain. Y a-t-il autre chose ? »
« Sa prétention à incarner
le récit français »
« On parle beaucoup en termes de jeu : pari fou, coup de
poker, etc. Je pense plutôt qu'il faut étudier le geste d'Emmanuel Macron en
termes de narration, nuance le philosophe Michel Eltchaninoff. De Paul
Ricœur, dont il a été l'assistant, Macron a retenu cette idée, qui l'a obsédé,
que l'identité individuelle ou collective se construit par le récit – c'est ce
que le philosophe appelle “l'identité narrative”. Voyant que sa prétention à
incarner le récit français a échoué, Macron décide de raconter et mettre en
scène son histoire à lui : ç'aura été l'histoire d'un président qui
provoque un coup de théâtre, d'un homme fougueux, flamboyant, étonnant, capable
de renverser la table. Les effets de son nouveau chapitre seront peut-être un
désastre, mais cela donnera un roman plein de panache – à la Cyrano. Le
problème est évidemment qu'il ne songe plus ici qu'à lui-même. Or le récit
national s'écrit toujours à plusieurs : ce n'est pas lui qui, in fine,
écrira sa propre histoire, mais les électeurs. »
Bruno
Le Maire : « Mes plus grands combats politiques sont devant
moi »
Après sept années à l'Élysée, Emmanuel Macron demeure un complet
mystère, y compris pour son premier cercle. Beaucoup ne le comprennent
plus, ou ont arrêté d'essayer. Reste une blessure, profonde, qui, au dire des
plus proches, ronge le président : son incapacité à avoir su créer un lien
d'affection avec les Français. « Au fond, avance un intime du
couple présidentiel, je suis persuadé qu'Emmanuel Macron se dit que, si le
Rassemblement national arrive au pouvoir, il sera adulé et son bilan sera revu
et applaudi a posteriori. » De quoi, si l'on poursuit le
raisonnement, envisager un retour à l'Élysée en 2032…
(Comme je l’ai dit et peut être
trop d’ailleurs) je suis un vieux Français qui aime son pays encore plus que certains
puisque qu’ayant voyagé de par le monde j’ai pu comparer la chance que nous
avons et ayant séjourné aussi dans de nombreux pays démocratiques libres ou
aussi totalitaires voire démocratures mais où la réalité de l'exercice du pouvoir penche vers la dictature et
la suppression de l'État de droit. (Donc la démocrature est par conséquent un
simulacre de démocratie.) Nouveau mot usité par nos bienpensants
donneurs de leçons hypocrites qui se regardent le nombril tout en se moquant de
leur peuple comme chez nous dans notre France un des pays les plus libres du monde
et que peut être certains de nos dirigeants regrettent de ne pas avoir versé dans
ce type de gouvernance totalitaire pourtant ils ont un maximum de pouvoir qu’on
leur a donné toujours à un seul homme notre président sans même s’en rendre
compte dans cette Veme REPUBLIQUE dite GAULLIENNE ?!
Sans remonter au départ de
la création de la Veme république 1958 par de Gaulle que de pauvres Français
bornés ont jeté en 1969 si on prend les derniers après Giscard d’Estaing ou le Mitterrandisme
raté on n’a pas évolué et même on a régressé avec Sarkozy et sa droite (UMP) LR
qui voulait tout avaler pétard mouillé qui a fait pschitt qui raté sa réélection
ou Hollande qui hélas est tombé au milieu des attentats terroristes (qui n’ont
pas cessé et dont on s’habitue ce qui est dément sans oublier cette guerre
Russo ukrainienne aux portes de l’U.E.!?)
Maintenant avec ce dernier Président
réélu en plus par des Français stupides et incurables qui est détesté un peu
plus chaque jour et qui s’acharne à faire peur aux plus faibles mais comme il
est là ce « Mr » sans amour propre tout comme les Français d’ailleurs
encore jusqu’en 2027 à cause de ses citoyens lambda à moins d’un miracle ce n’est
pas fini attendons ces législatives du 30/6 et 07/7 sans miracle pour une suite
éventuelle ?!)
Bien sur on vote mais
pourquoi faire car si mal ?!
Jdeclef 27/06/2024 12h06
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