vendredi 7 juin 2024

Avec les Français « c’est plus bête qu’eux je meurs » car c’est eux qui votent et choisissent si mal leur dirigeants et politiciens de tous bords depuis plus de 40 ans bien sonnés car quand on a connu tous les présidents de cette V eme république comme ceux de ma génération j’ai honte !?

 

Emmanuel Macron, le vote utile et le vote toxique bien sûr mais s'il n’y a que lui qui fait bien on se demande pourquoi depuis 2017/22 la France continue à sombrer !?

LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. Faute de promouvoir ouvertement sa candidate, le président a souligné, jeudi soir, les dangers de l’extrême droite pour l’Europe. Est-ce encore audible ?

Par Sophie Coignard

Publié le 07/06/2024 à 06h30

Emmanuel Macron s’alarme des « niveaux d’abstention » annoncés pour les élections européennes. © Jacques Witt/SIPA / SIPA

Il court, il court, le vote utile ! Habituellement réservé à des scrutins à deux tours, ce concept forgé à la fin des années 1960 par le communiste Jacques Duclos (à une époque où son parti faisait la course en tête à gauche) a été remis au goût du jour par de nombreux candidats pour les élections européennes de dimanche. Il ne s'agit pas, cette fois, de convaincre les Français de choisir le candidat le mieux placé dans leur camp en vue du second tour. Mais de leur démontrer, avec plus ou moins de bonne foi, que certains choix sont plus efficaces que d'autres.

Quelques exemples : Jordan Bardella assure qu'il faut voter pour lui parce qu'il est le grand favori, et que toute dispersion des voix à la droite de la droite serait vaine ; Marion Maréchal, inversement, soutient que le RN aura de toute façon beaucoup de députés à Strasbourg, et qu'il est plus avisé d'opter pour sa liste, parce que ses éventuels élus appartiendront à un groupe parlementaire plus influent que celui auquel est affilié le RN ; Raphaël Glucksmann n'a même pas besoin de prononcer l'expression pour siphonner le vote écologiste ; François-Xavier Bellamy martèle que c'est, avec le PPE, la droite dont il défend les couleurs qui conservera selon toute vraisemblance la prééminence au Parlement européen ; Valérie Hayer, lors de son dernier meeting à Nice ce jeudi soir, l'a déclaré sans détour : « Le vote utile, le vote de l'efficacité, c'est nous ! »…

Mobiliser son camp

Au même moment, Emmanuel Macron avançait sur une corde raide. Il clôturait une journée de commémoration comme il les aime par une interview télévisée très critiquée par avance par toutes les oppositions. Si près du scrutin, cette prise de parole s'apparenterait, en quelque sorte, à une distorsion de concurrence. Une opinion partagée, d'ailleurs, par une majorité de Français selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro : 67 % d'entre eux ont jugé cette intervention inopportune.

 Ukraine, Gaza, européennes… Ce qu'il faut retenir de l'interview d'Emmanuel MacronLe président devait donc se tenir aussi éloigné que possible de tout appel direct en faveur de sa candidate. À défaut d'utiliser l'argument du « vote utile », il a choisi de brandir la menace que ferait peser sur la France et sur l'Europe un « vote toxique ». L'expression n'a pas été employée, mais les cinq dernières minutes de son exposé n'ont été consacrées qu'à cela. Le chef de l'État sait bien qu'il n'arrachera pas de voix au RN. Pour mobiliser son propre camp, il s'alarme des « niveaux d'abstention ». Et se réfère au Brexit : « Je pense à nos amis britanniques qui ne sont pas allés voter »… Et qui le regrettent aujourd'hui.

 Emmanuel Macron et l'arme du référendumPuis il précise la nature du danger : « On voit monter partout en Europe l'extrême droite. Beaucoup de nos compatriotes peuvent se dire : “Il y a cinq ans, l'extrême droite était déjà un peu devant la majorité présidentielle, ça n'a pas été un drame.” Parce que l'extrême droite n'était pas haute en Europe. Mais si demain la France envoie une très grande délégation d'extrême droite, si d'autres grands pays le font, l'Europe peut se retrouver bloquée. » Et alors : pas de vaccin, pas de plan de relance… Voilà donc le « vote toxique » caractérisé.

Et le duel éternel avec le RN réinstallé pour la énième fois. Les charges à l'arme lourde contre la liste Bardella ont commencé dès le début de la campagne avec l'insuccès que l'on sait. Alors, quel dessein politique animait Emmanuel Macron ? Essayer de sauver une deuxième place, peut-être. Une ambition faible, comparée à l'importance, réelle et sérieuse, des enjeux européens.

Notre président c’est servi indirectement de ces commémorations du 6 juin et des 80 ans anniversaire du débarquement des allies qui elles étaient parfaitement réussies avec en plus un beau temps climatique pour encore en profiter pour nous gratifier d’un de ses interviews ou discours habituels d’auto satisfaction avec en plus car quand même (un peu) chahuté par ses journalistes ou présentateurs très connus des téléspectateurs de chaines de télés nationales ce qui n’est pas habituel d’ailleurs qui de fait l’a un peu obligé à  lever le ton à la limite de perte son calme habituel de donneur de leçon bienpensant hypocrite voir dédaigneux pour « ces gens de peu » comme il s’est plus à dire depuis qu’il est au pouvoir avec surtout cette réflexion je suis le président de la république ce sont mes idées et chaque président se doit de faire ce qu’il dit alors que lui depuis 2017/22 n’a rien fait de probant à cause des français apathiques qui bien que pour beaucoup n’y croitent plus mais ce resigne à attendre 2027 à cause leur réélection de celui-ci une erreur impardonnable de Français lambda qui ne savent plus choisir ni voter car il suffit que ceux qui se présentent à nos élections sachent bien parler en promettant tout et n’importe quoi et plus c’est gros mieux çà passe !?

En plus en alarmant les Français sur cette guerre larvée qui devient plus proche anti occidentale aux frontières de notre Europe occidentale de pays libres et démocratique car lui depuis le début  ne fait que parler n’agit pas et ne nous protège pas (assez) et quand il le fait il se plante avec en plus agitant le drapeau noir des vilaines extrêmes gauche LFI et droite RN de ses partis ringards car les autres sont inaudibles dans cette classe politique devenue hyper médiocre et quand on donne trop de pouvoir à un seul homme qui veut ressembler à un semblant de dirigeant de démocrature dans cette V eme République de 1958 de 66 ans Gaullienne usée car vieille pseudo monarchique on a ce que l’on mérite !?

Jdeclef 07/06/2024 10h17 LP

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire