Dette : Emmanuel
Macron, le cancre de la classe européenne OUI MAIS COMME IL N’A PAS D’AMOUR
PROPRE NI NOUS LES FRANÇAIS CE QUI EST PLUS GRAVE TANT PIS POUR NOUS !?
L'ÉDITO DE
PIERRE-ANTOINE DELHOMMAIS. La décision de l’agence Standard & Poor’s
d’abaisser la note de la France de « AA » à « AA – » nous
fait apparaître un peu plus encore comme un passager clandestin de l’euro.
Pas de nouveau miracle. Alors que Fitch et Moody's avaient fin avril
et contre toute attente maintenu leur note attribuée à la dette de la France,
l'agence américaine Standard & Poor’s a annoncé
vendredi soir 31 mai qu’elle abaissait celle-ci de « AA » à
« AA – ». Rien de vraiment étonnant au vu de l'envolée récente de la dette
(+ 13 points de PIB depuis 2019), du creusement spectaculaire et
imprévu des déficits budgétaires en 2023 (5,5 %)
et 2024 (5,1 %) mais aussi du flou des mesures envisagées par le
gouvernement pour stopper la dérive des finances publiques d'ici la fin du
quinquennat. Partageant l'avis formulé par le FMI il y a une
semaine, les analystes de S&P ne croient pas une seconde au scénario de
Bercy d’un déficit ramené à moins de 3 % en 2027 et qui repose
selon eux sur des hypothèses de croissance bien trop optimistes.
À dix jours des élections
européennes, la dégradation de la note de la France
prend des allures de coup de grâce pour la liste de Valérie Hayer en
enterrant définitivement la réputation de financier talentueux et de
gestionnaire rigoureux d'Emmanuel
Macron. Le moment paraît bien loin où, candidat à la présidentielle de
2017, il s'était notamment engagé à diminuer de 60 milliards d'euros les
dépenses publiques et à supprimer 120 000 postes de fonctionnaires. En
sept ans, l'élève modèle est devenu le cancre de la classe européenne en
matière de déficit et le président aux mille milliards de
dette.
Dette :
l'étonnante clémence de Moody's et FitchLes analystes de S&P n’ont pas jugé
recevable l’argument avancé par la défense du camp macroniste selon lequel
l’épidémie de Covid et la guerre en Ukraine étaient les seuls responsables de
la dérive des comptes publics. D’autant moins recevable, il est vrai, que nos
partenaires européens, confrontés aux mêmes crises, ont su bien mieux que nous
tenir leurs finances et limiter leur déficit (à 2,5 % en Allemagne,
0,6 % en Suède, 0,3 % aux Pays-Bas).
Emmanuel Macron inaudible
Difficile pour Emmanuel
Macron de se présenter en leader d’une Europe forte et unie alors qu’elle se
trouve confrontée par sa faute à la préoccupante divergence des ratios de
dettes entre la France
(110,6 % du PIB) et l’Allemagne (63,6 % du PIB). Avec une note
dégradée, ses appels vibrants en faveur « de chocs d’investissements
communs » et de mutualisation des dettes ont encore moins de chances
d’être entendus qu’auparavant par nos partenaires. La décision de S&P fait
apparaître un peu plus encore la France comme un passager clandestin de l’euro
qui profite des taux d’intérêt bas offerts par l’Allemagne et de la protection
de la BCE sans respecter aucune des règles de vie monétaire commune.
Marine Le Pen aurait
toutefois tort de trop se réjouir d'un abaissement de la note, qui traduit
aussi la difficulté d'engager en France de grandes réformes structurelles
visant à redresser les finances publiques, comme celle des retraites que le RN a combattue sans
relâche. L'agence Fitch s'était même inquiétée à cette occasion du poids
« des forces radicales et anti-establishment » dans notre pays. Et si
la gestion des deniers publics par Emmanuel Macron a sans conteste été
calamiteuse, celle qui se profile en cas d'arrivée au pouvoir du RN s'annonce
tout bonnement apocalyptique au vu de son programme économique social-étatiste
et de son épais catalogue de dépenses nouvelles non financées.
Toute la classe politique
française sanctionnée
C’est en fait toute la
classe politique française, de gauche comme de droite, pour qui l’accroissement
de la dépense publique est depuis des décennies le moyen systématiquement
employé ou recommandé pour résoudre les problèmes économiques et sociaux du pays
que S&P vient de sanctionner. Le cas de la France donne a posteriori raison
au Prix Nobel d’économie James Buchanan qui expliquait que les dirigeants
politiques des démocraties, contrairement à ce qu’ils prétendent, n’agissent
pas du tout en fonction de l’intérêt général mais de leur seul intérêt
personnel, à savoir la jouissance du pouvoir. Pour ces derniers, obsédés par
leur élection ou leur réélection, augmenter les dépenses publiques est
un moyen facile de s'attirer des votes, surtout en les finançant par de la
dette que les générations futures auront à rembourser.
Il reste toutefois à
comprendre pourquoi les sombres prédictions de Buchanan se vérifient en France
mais pas en Allemagne, aux Pays-Bas, en Suède, en Irlande ou au Portugal. Il
reste à comprendre pourquoi les Français, plus que tout autre peuple, sont à ce
point accros à la dépense publique et se montrent aussi indifférents à
l'ampleur des déficits et à l'envolée de la dette. Sans doute mieux que des
économistes, des historiens et des sociologues seraient en mesure d'apporter
des explications à cette situation dont nous sommes tous, collectivement et
individuellement, responsables et coupabl
La
France doit-elle vraiment réduire ses dépenses publiques ? Que les Français soient toutefois
rassurés, la sanction de S&P ne devrait a priori pas avoir d’impact
significatif sur le niveau de nos taux d’intérêt, pas d’autres conséquences que
celles d’alimenter pendant quelques jours les polémiques politiciennes. Sauf
improbable révolte de nos créanciers dont on finit par se dire qu’elle serait
peut-être un électrochoc salutaire, la France devrait pouvoir continuer demain,
comme si de rien n’était, à vivre au-dessus de ses moyens en s’endettant sans
compter et en attendant la prochaine dégradation de sa note.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------
De toute façon c’est le président qui est inaudible par
sa procrastination donc ses indécisions alors il se tait car ces discours
alambiqués on fait feu de tout bois car enfermé dans son orgueil démesuré maladif
et surtout son manque d’amour propre tout comme les Français stupides qu’ils l’ont
élu en 2017 mais surtout réélu en 2022 car on peut se tromper une fois mais
deux ce n’est pardonnable !?
Ceci étant on est des récidivistes car on n’avait fait la
même chose avec le Mitterrand qui fut deux échecs !?
Maintenant notre faux monarque petit bourgeois il semble plus
détesté par les Français lambda selon des sondages médiatiques qui valent ce qu’ils
valent mais les citoyens ne disent jamais la vérité quand on les interrogent on
verra bien peut être avec cette élection Européenne pour nos représentants si l’extrême
droite du beau BARDELLA RN passe haut la main pour avoir + de 30 représentant
pour siéger pour sanctionner politiquement notre président qui maintenant se
fiche de tout et va aller pérorer au commémoration du débarquement le 06 juin car
qui lui convient parfaitement ce dit chef d’état devenu un peu style IV eme république
pour arroser les chrysanthèmes comme on disait à l’époque !?
Ce qui est curieux c’est que les Français (je dis cela parce
que j’ai connu tous les présidents depuis 1958 et leurs gouvernements) immuablement
demande des changements râle bien sur mais c’est dans leurs gènes mais surtout
revotent toujours pour les mêmes et pareil malgré les générations c’est
difficilement compréhensible et illogique puisqu’ils semblent toujours mécontents !?
Naturellement cela fait le bonheur de tous ces politiciens de tous
bords et des médias qui jettent de l’huile sur le feu nous poussant à la faillite
avec CE BON LEMAIRE Ministre de
l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique (beau
titre pompeux galvaudé !?) et faux jeton patenté qui ment à
ses heures !?
Jdeclef
01/06/2024 14h26LP
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire