lundi 17 juin 2024

Donc dernier avatar de notre président qu’il vient de produire par sa fameuse dissolution surprise dommage car une démission aurait été plus productive pour une France à la ramasse et pour les Français lambda mais là il ne fallait pas rêver ?!

 

Macron enterre le « macronisme » alors : DE PROFONDIS ou MEKTOUB INCHALLAH Concept exprimant une forme de fatalisme dans notre pays qui devient de plus en plus multiconfessionnel dans notre laïcité à la française pays judéo chrétien d’Europe qui a du mal à tenir la route alors on peut toujours remonter à l’histoire de l’antiquité grecque c’est peut-être plus simple va savoir ?

Mais surtout pour nous FRANCAIS notre principal défaut et cela ne date pas d’aujourd’hui même après notre révolution de 1789 c’est de donner trop de pouvoir à un seul homme (encore faut-il qu’il sache s’en servir mais lui le dernier était pire que les autres avant lui donc alors tant pis pour nous !?)

Tel Cronos, le Titan grec qui dévora les siens, le président a pris le risque, dans son opération kamikaze et impulsive, que la parenthèse du nouveau monde se referme plus rapidement que prévu.

Par Mathilde Siraud

Publié le 17/06/2024 à 06h20, mis à jour le 17/06/2024 à 07h43

après lui, le déluge ? Pour dissoudre, rappelait il y a peu un stratège haut placé, il faut une bonne raison et surtout, des chances de gagner les élections. Sur le premier point, Emmanuel Macron a tenté de rationaliser son acte lors d'une conférence de presse mercredi dernier, mettant en exergue une situation parlementaire intenable (constat qui fait débat dans sa majorité) ainsi qu'un vote massif pour les formations politiques extrêmes lors du scrutin du 9 juin.

 Macron et le risque de la main tendue… dans le vide Ce député Renaissance reparti en campagne en grommelant le reconnaît sans détour : « Nous sommes de la chair à canon. » « Le gouvernement suinte la haine », relève quant à lui un conseiller officieux de la présidence. Le Palais n'en a cure. Les enjeux sont ailleurs. Et puis un parlementaire de la majorité n'aime jamais repartir aux urnes, qu'on se le tienne pour dit, d'autant moins quand le chef de l'État est impopulaire.

Mais ce geste impulsif et irraisonné, aux yeux de beaucoup, revêt une brutalité et un égoïsme à la fois disproportionné et irresponsable. Se peut-il que le président, tout à sa hantise d'avoir à quitter la scène dans moins de trois ans, frappé qu'il est par l'interdiction de se représenter à un troisième mandat, ait voulu dans son acte non préparé liquider le macronisme, obérant toute possibilité de l'inscrire de manière pérenne dans le paysage politique et empêchant toute succession ? Un éminent personnage de l'État mentionne en effet un « pathos de départ », à même de nourrir une irrésistible et illusoire volonté de « garder le contrôle ».

« La page Macron est tournée »

« Le président finira seul. Quelles sont désormais ses troupes crédibles ? Pour eux, comme pour les Français, la page Macron est tournée », statue, amer, un député proche de Gabriel Attal. L'encore Premier ministre, a fortiori condamné à céder son poste dès le soir du 7 juillet, représentait pour nombre d'élus de la majorité l'espoir d'une vie après Emmanuel Macron, la possibilité d'un héritage. Le chef de l'État n'a jamais accepté cette idée. Tout comme il porte peu de considération à ses ministres ou à ses députés, nuisant à la construction d'un collectif et amplifiant son isolement. « Macron n'a pas eu d'enfance, pas eu de jeunesse. C'est comme s'il cassait tous ses jouets », médite une source parlementaire.

EXCLUSIF. Bernard Cazeneuve : « Nombre d'électeurs de gauche se sentent orphelins » Ainsi, Emmanuel Macron donne raison à tous ses contempteurs qui, depuis son élection en 2017, le condamnent à disparaître aussi rapidement qu'il a surgi dans la vie politique. En marche !, puis La République en marche et désormais Renaissance – nom bien peu adapté aux circonstances actuelles – n'auront été qu'une parenthèse. Car ce n'est pas autour du parti présidentiel, désormais en situation de faiblesse et qui souffre d'un manque de structuration à la fois locale et idéologique, que se fera la recomposition post-législatives.

Bien au contraire : le terme « démacronisation » est désormais en vogue dans les rangs de la majorité, illustrant l'état de déliquescence du camp au pouvoir. Les logos du parti et la figure du président ont été prestement effacés des tracts et des affiches de campagne. Un phénomène que l'Élysée n'avait pas anticipé, et que le chef de l'État vit difficilement, nous apprend-on. On a même vu Clément Beaune, fidèle conseiller d'Emmanuel Macron à Bercy puis à l'Élysée avant de devenir ministre et ensuite se faire élire député, se représenter dans sa circonscription en candidat « libre ». Tout un symbole.

Autre conséquence induite par cette dissolution : le clivage gauche-droite, qu'Emmanuel Macron pensait avoir aboli à jamais grâce au dépassement et à son « en même temps », ressuscite à la faveur de cette campagne éclair. Sauf que les « tours jumelles », formule du centriste François Bayrou pour désigner le Parti socialiste et Les Républicains, sont devenues deux blocs dominés par leur frange la plus radicale : les Insoumis pour la gauche, le Rassemblement national pour la droite.

« Effet Zorro »

Il n'y a pas que sur le plan du personnel politique et de la reconfiguration à l'œuvre qu'Emmanuel Macron semble avoir dissous le macronisme. D'un point de vue de la pratique politique, ces élections législatives mettent en lumière des comportements et des stratégies aux antipodes de la promesse originelle de 2017. Le président et son entourage semblent avoir définitivement abdiqué toute ambition de renouvellement des pratiques et de défense d'idéaux éthiques, qui avaient pourtant suscité l'espoir et contribué au succès électoral lors de la première présidentielle. La pratique du pouvoir jupitérienne avait, certes, déjà montré une propension au chacun pour soi, à la solitude et à l'extrême verticalité : le fameux « effet Zorro » reproché ici ou là au chef de l'État. Les agriculteurs sont vent debout ? Je force les barrages et me mets en scène dans l'adversité, manches retroussées. La Nouvelle-Calédonie est à feu et à sang ? Je débarque et mise sur mon seul panache, sans aucun plan de sortie de crise à proposer.

Dissolution : l'histoire secrète d'une décision historiqueLes lieutenants du président, enfermés nuit et jour cette semaine pour ficeler la liste des investitures, décrivent une ambiance crépusculaire et des attitudes qui rappellent les pires heures de la politique version ancien monde, celle que les Français pensaient avoir éliminée en élisant Emmanuel Macron. « Un clientélisme de fin de règne », regrette un proche du président. « Les plus belles circonscriptions, facilement gagnables, sont réservées aux courtisans, explicite un élu local. C'est devenu ça, la macronie : des coups de billard à 15 bandes avec des stratèges qui ne connaissent rien au pays. Ils font de la politique comme on fait de la publicité, du marketing. »

La décision de ne pas réinvestir le député Gilles Le Gendre à Paris confirme cette dérive, souligne-t-on en interne. Lui a été préféré un proche de la ministre Rachida Dati pour porter les couleurs de la majorité présidentielle. La nomination surprise au gouvernement de la maire du 7e arrondissement de la capitale, en janvier, avait d'ailleurs été très mal perçue par une partie de la macronie, encore attachée aux promesses de 2017.

Les investitures aux législatives ? “Un clientélisme de fin de règne”Un proche du président

Emmanuel Macron enterre donc le macronisme, qu'il n'a jamais voulu définir. Sa dissolution engloutit ses représentants, tel Cronos avec ses enfants, et accélère la rupture avec ses principes originels. « Personne ne comprend pourquoi il est là et pour faire quoi. On paye la campagne de 2022, vide et creuse, qui a débouché sur un second quinquennat sans ligne », conclut-on au gouvernement. Et qui conduit à ce qu'en voulant se protéger, il se saborde lui-même.

C’est pourtant simple à comprendre ce « macronisme » extention de son nom patronymique que je ne prononce pas car pour moi ce n’est pour l’instant que le président de notre république « cul par-dessus tête » comme il a dit si élégamment dédaignant les Français sans amour propre « ce plus haut dans l’échelle du fonctionarisme d’état français poussiéreux » typiquement a la limite kafkaïen de cette Veme république de 66 ans de 1958 élu par défaut par  la défection annoncé de son prédécesseur HOLLANDE et que l’on trainé ayant enfoncé une porte ouverte depuis de son élection en 2017 mais réélu par des gogos Français peut être aveugles ou sourds surtout naïfs en 2022 mais ça c’est  leur erreur impardonnable !?

Car n’a rien changé car les Français semble-t-il n’ont plus l’air de l’aimer autant qu’au début ce frais moulu sorti de nulle part s’étant trop moqué d’eux les a ignorés et si ce n’est pire car n’a rien fait de probant en 2017 ni depuis 2022 et quand il a essayé de faire quelque chose ce qui n’a pas été souvent il s’est souvent planté !?

Et quand on voit même F.HOLLANDE ce dégonflé se représenter à la députation dans la CORREZE c’est vraiment se foutre de nos concitoyens si niais ou gogos incurables qui montre surtout ce que valent cette classe politique ancienne qui s’accroche aux branches de cette pauvre Veme république moribonde avec la façon dont les français vont voter à ses législatives il ne faut pas s’attendre à des miracles le Président si les Français avec leur habitude de pleutres ont peur du lendemain votent mal ou ne sachant pas qui choisir comme d’habitude il va se retrouver en roue libre et peut être avec un nouveau gouvernement « macronien » en plus !?

Je préférerais me tromper mais quand on connait l’aéropage de ces politiciens de tous bords et leurs partis ringards de cette classe politique si médiocre c’est difficile d’avoir confiance !?

On peut s'attendre à tout avec les Français frondeurs indisciplinés partisans de leur chacun pour soi !?

Jdeclef 17/06/2024 14h46CLP

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