Macron enterre le « macronisme »
alors : DE PROFONDIS ou MEKTOUB INCHALLAH Concept exprimant une forme de
fatalisme dans notre pays qui devient de plus en plus multiconfessionnel
dans notre laïcité à la française pays judéo chrétien d’Europe qui a du mal à
tenir la route alors on peut toujours remonter à l’histoire de l’antiquité grecque
c’est peut-être plus simple va savoir ?
Mais surtout pour nous FRANCAIS notre principal défaut
et cela ne date pas d’aujourd’hui même après notre révolution de 1789 c’est de
donner trop de pouvoir à un seul homme (encore faut-il qu’il sache s’en servir
mais lui le dernier était pire que les autres avant lui donc alors tant pis
pour nous !?)
Tel
Cronos, le Titan grec qui dévora les siens, le président a pris le risque, dans
son opération kamikaze et impulsive, que la parenthèse du nouveau
monde se referme plus rapidement que prévu.
Publié le
17/06/2024 à 06h20, mis à jour le 17/06/2024 à 07h43
après lui, le déluge ? Pour dissoudre, rappelait il y a peu
un stratège haut placé, il faut une bonne raison et surtout, des chances de
gagner les élections. Sur le premier point, Emmanuel Macron a tenté de
rationaliser son acte lors d'une conférence de presse mercredi dernier, mettant
en exergue une situation parlementaire intenable (constat qui fait débat
dans sa majorité) ainsi qu'un vote massif pour les formations politiques
extrêmes lors du scrutin du 9 juin.
Macron et le risque de la
main tendue… dans le vide Ce député Renaissance reparti en
campagne en grommelant le reconnaît sans détour : « Nous sommes de la
chair à canon. » « Le gouvernement suinte la haine »,
relève quant à lui un conseiller officieux de la présidence. Le Palais n'en a
cure. Les enjeux sont ailleurs. Et puis un parlementaire de la majorité n'aime
jamais repartir aux urnes, qu'on se le tienne pour dit, d'autant moins quand le
chef de l'État est impopulaire.
Mais ce geste impulsif et
irraisonné, aux yeux de beaucoup, revêt une brutalité et un égoïsme à la
fois disproportionné et irresponsable. Se peut-il que le président, tout à sa
hantise d'avoir à quitter la scène dans moins de trois ans, frappé qu'il est
par l'interdiction de se représenter à un troisième mandat, ait voulu dans son
acte non préparé liquider le macronisme, obérant toute possibilité de
l'inscrire de manière pérenne dans le paysage politique et empêchant toute
succession ? Un éminent personnage de l'État mentionne en effet un
« pathos de départ », à même de nourrir une irrésistible et illusoire
volonté de « garder le contrôle ».
« La page Macron est tournée »
« Le président finira seul. Quelles sont désormais ses troupes
crédibles ? Pour eux, comme pour les Français, la page Macron est
tournée », statue, amer, un député proche de Gabriel Attal. L'encore
Premier ministre, a fortiori condamné à céder son poste dès le soir du
7 juillet, représentait pour nombre d'élus de la majorité l'espoir d'une vie après Emmanuel
Macron, la possibilité d'un héritage. Le chef de l'État n'a jamais accepté
cette idée. Tout comme il porte peu de considération à ses ministres ou à
ses députés, nuisant à la construction d'un collectif et amplifiant son
isolement. « Macron n'a pas eu d'enfance, pas eu de jeunesse. C'est comme
s'il cassait tous ses jouets », médite une source parlementaire.
EXCLUSIF.
Bernard Cazeneuve : « Nombre d'électeurs de gauche se sentent
orphelins » Ainsi, Emmanuel Macron donne raison à tous ses
contempteurs qui, depuis son élection en 2017, le condamnent à disparaître
aussi rapidement qu'il a surgi dans la vie politique. En marche !, puis La
République en marche et désormais Renaissance – nom bien peu adapté aux
circonstances actuelles – n'auront été qu'une parenthèse. Car ce n'est pas
autour du parti présidentiel, désormais en situation de faiblesse et qui
souffre d'un manque de structuration à la fois locale et idéologique, que se
fera la recomposition post-législatives.
Bien au contraire : le terme « démacronisation » est
désormais en vogue dans les rangs de la majorité, illustrant l'état de
déliquescence du camp au pouvoir. Les logos du parti et la figure du
président ont été prestement effacés des tracts et des affiches de
campagne. Un phénomène que l'Élysée n'avait pas anticipé, et que le chef de
l'État vit difficilement, nous apprend-on. On a même vu Clément Beaune, fidèle
conseiller d'Emmanuel Macron à Bercy puis à l'Élysée avant de devenir ministre
et ensuite se faire élire député, se représenter dans sa
circonscription en candidat « libre ». Tout un symbole.
Autre conséquence induite par cette dissolution : le clivage
gauche-droite, qu'Emmanuel Macron pensait avoir aboli à jamais grâce au
dépassement et à son « en même temps », ressuscite à la faveur
de cette campagne éclair. Sauf que les « tours jumelles »,
formule du centriste François Bayrou pour désigner le Parti socialiste et Les
Républicains, sont devenues deux blocs dominés par leur frange la plus
radicale : les Insoumis pour la gauche, le Rassemblement national pour la
droite.
« Effet Zorro »
Il n'y a pas que sur le plan du personnel politique et de la reconfiguration
à l'œuvre qu'Emmanuel Macron semble avoir dissous le macronisme. D'un point de
vue de la pratique politique, ces élections législatives mettent en lumière des
comportements et des stratégies aux antipodes de la promesse originelle de
2017. Le président et son entourage semblent avoir définitivement abdiqué toute
ambition de renouvellement des pratiques et de défense d'idéaux éthiques, qui
avaient pourtant suscité l'espoir et contribué au succès électoral lors de la
première présidentielle. La pratique du pouvoir jupitérienne avait,
certes, déjà montré une propension au chacun pour soi, à la solitude et à
l'extrême verticalité : le fameux « effet Zorro » reproché ici
ou là au chef de l'État. Les agriculteurs sont vent debout ? Je force les
barrages et me mets en scène dans l'adversité, manches retroussées. La
Nouvelle-Calédonie est à feu et à sang ? Je débarque et mise sur mon seul
panache, sans aucun plan de sortie de crise à proposer.
Dissolution :
l'histoire secrète d'une décision historiqueLes lieutenants du
président, enfermés nuit et jour cette semaine pour ficeler la liste des
investitures, décrivent une ambiance crépusculaire et des attitudes qui
rappellent les pires heures de la politique version ancien monde,
celle que les Français pensaient avoir éliminée en élisant Emmanuel
Macron. « Un clientélisme de fin de règne », regrette un proche du
président. « Les plus belles circonscriptions, facilement gagnables, sont
réservées aux courtisans, explicite un élu local. C'est devenu ça, la macronie :
des coups de billard à 15 bandes avec des stratèges qui ne
connaissent rien au pays. Ils font de la politique comme on fait de la
publicité, du marketing. »
La décision de ne pas réinvestir le député Gilles
Le Gendre à Paris
confirme cette dérive, souligne-t-on en interne. Lui a été préféré un proche de
la ministre Rachida Dati pour porter les couleurs de la majorité
présidentielle. La nomination surprise au gouvernement de la maire du 7e
arrondissement de la capitale, en janvier, avait d'ailleurs été très mal perçue
par une partie de la macronie, encore attachée aux promesses de 2017.
Les investitures aux législatives ? “Un
clientélisme de fin de règne”Un proche du président
Emmanuel Macron enterre donc le
macronisme, qu'il n'a jamais voulu définir. Sa dissolution engloutit ses
représentants, tel Cronos avec ses enfants, et accélère la rupture
avec ses principes originels. « Personne ne comprend pourquoi il est
là et pour faire quoi. On paye la campagne de 2022, vide et creuse, qui a
débouché sur un second quinquennat sans ligne », conclut-on au
gouvernement. Et qui conduit à ce qu'en voulant se protéger, il se saborde
lui-même.
C’est pourtant simple à comprendre
ce « macronisme » extention de son nom patronymique que je ne prononce
pas car pour moi ce n’est pour l’instant que le président de notre république « cul
par-dessus tête » comme il a dit si élégamment dédaignant les Français
sans amour propre « ce plus haut dans l’échelle du fonctionarisme d’état français
poussiéreux » typiquement a la limite kafkaïen de cette Veme république de
66 ans de 1958 élu par défaut par la défection
annoncé de son prédécesseur HOLLANDE et que l’on trainé ayant enfoncé une porte
ouverte depuis de son élection en 2017 mais réélu par des gogos Français peut être
aveugles ou sourds surtout naïfs en 2022 mais ça c’est leur erreur impardonnable !?
Car n’a rien changé car les
Français semble-t-il n’ont plus l’air de l’aimer autant qu’au début ce frais
moulu sorti de nulle part s’étant trop moqué d’eux les a ignorés et si ce n’est
pire car n’a rien fait de probant en 2017 ni depuis 2022 et quand il a essayé
de faire quelque chose ce qui n’a pas été souvent il s’est souvent planté !?
Et quand on voit même
F.HOLLANDE ce dégonflé se représenter à la députation dans la CORREZE c’est
vraiment se foutre de nos concitoyens si niais ou gogos incurables qui montre
surtout ce que valent cette classe politique ancienne qui s’accroche aux branches
de cette pauvre Veme république moribonde avec la façon dont les français vont
voter à ses législatives il ne faut pas s’attendre à des miracles le Président
si les Français avec leur habitude de pleutres ont peur du lendemain votent mal
ou ne sachant pas qui choisir comme d’habitude il va se retrouver en roue libre
et peut être avec un nouveau gouvernement « macronien » en plus !?
Je préférerais me tromper mais
quand on connait l’aéropage de ces politiciens de tous bords et leurs partis ringards
de cette classe politique si médiocre c’est difficile d’avoir confiance !?
On peut s'attendre à tout
avec les Français frondeurs indisciplinés partisans de leur chacun pour soi !?
Jdeclef 17/06/2024 14h46CLP
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