vendredi 7 juin 2024

Notre France et Union Européenne et ses USA et OTAN si donneurs de leçon ainsi que notre monde de pays libres et démocratiques sont une monstruosité diplomatique de faux jetons !?

 

Chirac, Sarkozy, Hollande, Macron : comment ils ont tenté de s’imposer face à Poutine ah bon ? on ne s’en n’est pas rendu compte !?

Mais Poutine il vieillit mais pas assez vite car moi qui suis comme d’autres de mes amis plus âgés que lui on vit plus vieux à notre époque même malade car on a fait des progrès en matière de santé humaine et il a des médecins à sa botte ce criminel car s’en est un mais il semble increvable!?

Entre le chef du Kremlin et les quatre présidents français qu’il a côtoyés depuis son accession au pouvoir, en 1999, les relations ont toujours été tortueuses.

Lorsqu'ils atterrissent dans la capitale biélorusse, ce 11 février 2015, pour arracher un cessez-le-feu à l'est de l'Ukraine – les futurs accords de Minsk –, François Hollande et Angela Merkel n'imaginent pas qu'une nuit dantesque les attend. Seize heures durant, ils vont rester cloîtrés sous les voûtes néosoviétiques rococo du palais de l'Indépendance.

Vladimir Poutine, prévoyant, s'est octroyé une chambre pour se reposer et se rafraîchir entre deux bras de fer. Le président français et la chancelière allemande, dont l'hôtel se trouve à l'autre bout de la ville, sont coincés, eux, à la table des négociations. Lesquelles menacent plusieurs fois de capoter.

Entre deux portes entrebâillées, on aperçoit le maître du Kremlin et son homologue ukrainien, Petro Porochenko, se toisant debout, face à face, semblant prêts à en venir aux poings. Plus tard, Poutine brise même un crayon entre ses mains. Toute la nuit, Hollande tient bon, sans montrer un signe de fatigue, au point de susciter l'admiration du Russe. Qui s'enquiert, au terme du marathon : « Comment tu as fait pour tenir ? » Réponse savoureuse du Français : « Je vais t'expliquer ce que c'est qu'un congrès du Parti socialiste ! »

« Dureté, charme et séduction »

Des quatre présidents français que Poutine a côtoyés depuis son accession au pouvoir en 1999, il y a un quart de siècle, Hollande est sans doute celui qui, rendons-lui grâce, a vu le plus clair dans son jeu, comme immunisé contre ses tentatives alternées de séduction et d'intimidation.

« Sa méthode, décrypte l'ancien président pour Le Point, c'est toujours d'impressionner son interlocuteur. Cela lui vient de son histoire personnelle, qui commence au KGB et dans les cercles du pouvoir, où, pour s'imposer, il fallait un mélange de dureté, de force presque physique, mais aussi de charme et de séduction. » Il l'a perçu intuitivement dès leur première entrevue, en juin 2012, dans son bureau à l'Élysée. Question de body language, très prisé du Russe.

 Comment Poutine déstabilise l'Europe

À l'époque, Poutine vient d'être réinvesti pour un troisième mandat, après quatre ans à ronger son frein comme Premier ministre de Dmitri Medvedev. Hollande comprend alors qu'il a face à lui un homme qui se vit comme le nouveau tsar de la Grande Russie et regarde les dirigeants français, dont le mandat est borné à dix ans au plus, comme des nains.

Il a soif d'en découdre, de déployer sa puissance et répète que son pays n'a que trop cédé face à l'Occident depuis la chute de l'URSS. Réclamant du papier et un stylo, Poutine dessine devant lui une carte de l'Europe de l'Est avec des missiles de l'Otan, censés pointer vers la Russie. « Vous voyez ! Ils sont là contre nous ! »

Regard bleu délavé et perçant

Ainsi va « Vladimir Vladimirovitch », mâle alpha, ancien maître espion, tour à tour brûlant ou glacé pour mieux désarçonner. Il aime faire montre de sa force et donner dans la mise en scène de lui-même. Un jour de visite au Kremlin, François Hollande se retrouve dans son bureau, étrangement vide et impersonnel, hormis un curieux tableau téléphonique criblé de boutons, comme on en trouvait autrefois dans les préfectures.

Les provocations de Poutine en Baltique

Pour l'impressionner, Poutine appuie sur l'un d'eux, faisant mine d'appeler un général sur le terrain. Une voix russe décroche aussitôt. Saisissant ! En son for intérieur, le Français ne peut s'empêcher de penser que le quidam se trouve peut-être dans la pièce voisine, dans un montage Potemkine tout soviétique…

L'ancien président socialiste se souvient également de ce sommet du G20 de Saint-Pétersbourg en 2013, où il s'était retrouvé isolé quant à des frappes en Syrie en riposte à l'usage d'armes chimiques. La France était prête à faire décoller ses Rafale, en vain. Poutine l'avait défié du regard, triomphant, comme pour lui signifier : « Alors, tu as voulu faire le fort, montrer tes muscles ? »

Emmanuel Macron rencontre son homologue russe au Kremlin, le 7 février 2022. À l’issue de cet entretien, le président français dira : « L’homme que j’ai rencontré n’est pas celui que je connaissais. » © Russian President Press Office/T/Sipa

Et que dire de cette table interminable, à la blancheur immaculée, à laquelle plusieurs présidents français ont eu la surprise de se retrouver installés ? On a tant glosé sur ce meuble humiliant quand Emmanuel Macron tenta sa médiation de la dernière chance en février 2022 pour empêcher l'invasion de l'Ukraine.

À l'été 2008, venu à Moscou empêcher les chars russes de violer la frontière géorgienne, Nicolas Sarkozy avait aussi eu la surprise désagréable de s'y retrouver. Tandis qu'il avait rendez-vous avec Medvedev, alors son homologue, Poutine était entré le premier dans la pièce. Deux contre un !

 Vladimir Poutine et le supplice de la table

Au dire des conseillers élyséens qui ont eu le privilège rare de l'approcher, l'ogre russe n'a rien d'impressionnant physiquement, contrairement à l'imagerie viriliste du Kremlin, si ce n'est son regard bleu délavé et perçant. Les anciens du Château racontent pourtant la terreur tripale qu'il semble inspirer aux dirigeants de l'ancien bloc soviétique.

« Capable d'une grande vulgarité »

Ancienne physicienne est-allemande, Angela Merkel s'était épanchée sur la façon dont Poutine s'y prenait pour l'intimider, éveillant chez elle les souvenirs du joug soviétique, quand des espions du KGB venaient l'interroger d'une voix suave et menaçante. « Ce n'est pas facile pour moi, Allemande, de travailler avec lui, confiait-elle un soir de dîner à l'Élysée. Quand il veut me mettre la pression, il me parle en russe, parce qu'il sait que c'est ma première langue. Et moi, je lui réponds en allemand. »

Modérateurs. François Hollande et Angela Merkel entourent Vladimir Poutine et le président ukrainien Petro Porochenko, en marge du sommet du Dialogue Asie-Europe, à Milan, le 17 octobre 2014.© Alexei Nikolsky/AP/SIPA

Respect réciproque. Première visite officielle de Nicolas Sarkozy à Moscou, le 10 octobre 2007.© WITT/SIPA

Estime. Le président russe entouré de Jacques Chirac – dont il disait qu’il était « un véritable intellectuel, un vrai professeur » – et du chancelier allemand Gerhard Schröder, à Sotchi, en Russie, le 31 août 2004. © SERGEY PONOMAREV/AP/SIPA

« Poutine est d'une telle agressivité qu'on peut penser qu'il peut vous en mettre une… Il est capable d'une grande vulgarité avec les gens qu'il veut écraser s'il sent qu'il a l'avantage. Il a quand même fait empoisonner des gens ! » souffle un diplomate français. Fort avec les faibles, faible avec les forts.

Hollande se remémore ainsi le coup de fil où il lui avait annoncé que Paris ne livrerait pas les deux porte-hélicoptères Mistral, vendus sous Sarkozy, en riposte à l'annexion de la Crimée en 2014. Nulle colère chez Poutine, qui lui répondit avec un calme froid : « C'est une mauvaise manière, c'est votre décision, mais il faudra me rembourser. » « Il aurait pu dire : “Je vais vous couper le gaz !” narre l'ancien président. Non, il respecte la force. »

« Renarcissiser » un partenaire blessé

Dès lors, toute tentative de nouer une relation personnelle pour l'amadouer semble vouée à l'échec. C'est le pari qu'a tenté au début de son premier mandat Emmanuel Macron, convaincu qu'il parviendrait à force de séduction à « ancrer » la Russie dans l'Europe.

« C'est la ligne diplomatique que défendaient Jean-Pierre Chevènement et Hubert Védrine sur la Russie humiliée, encerclée, dont il fallait panser les plaies. N'oubliez pas que Chevènement fut le premier maître à penser du jeune Macron ! » note un intime du président.

Il a une capacité invraisemblable au mensonge.François Hollande

Tout à sa volonté de « renarcissiser » un partenaire russe blessé, de le mettre sur un piédestal pour le ramener dans le concert des nations, Macron lui offre, en 2017, les fastes de Versailles, avant de le convier en 2019 à un dîner avec Brigitte sur la terrasse du fort de Brégançon.

Dans un entretien au Point au printemps 2022, Macron décryptait le « sentiment d'humiliation » de Moscou face à l'Otan, qui se serait « métabolisé en paranoïa ». Péché de naïveté ? On connaît la suite : l'histoire d'une déconvenue qui vit Poutine lui jurer au téléphone, jusqu'à la veille de l'invasion de l'Ukraine, qu'il n'avait pas de velléité expansionniste.

Des cadeaux intéressés ou pervers

« Il a une capacité invraisemblable au mensonge. Il vous ébranle par son immensité, son énormité. Il arrive à faire douter par la stupeur que cela peut générer », explique François Hollande, qui assista à un repas à Moscou où Poutine, devant les ministres russes et français attablés, accusa la France d'avoir mené en Algérie une guerre non pas de décolonisation, mais de religion contre l'islam…

 Le grand retour de la Russie au Caucase

« Il était capable de prétendre que Bachar el-Assad n'avait pas utilisé d'armes chimiques et affirmer ne pas connaître les milices Wagner, alors que Prigojine était son maître d'hôtel ! » tempête un diplomate. Même ses cadeaux peuvent s'avérer intéressés, sinon pervers.

Ainsi François Hollande trinqua-t-il avec lui avec un porto de 1912 censé célébrer le 500e anniversaire de la naissance de Jeanne d'Arc à Domrémy. Les conseillers français ne purent que constater après coup qu'il s'agissait également du centenaire de la bataille de la Berezina lors de la retraite napoléonienne de Russie…

Poutine n’est pas un diplomate, il dit ce qu’il pense. Comme Sarkozy, c’est “straight to the point”.Franck Louvrier

Le seul qui aurait pu se targuer d'avoir touché, chez Poutine, une corde sensible fut Jacques Chirac, élu quatre ans avant lui. Passionné par les civilisations orientales, l'ancien président avait appris le russe auprès d'un vieux Russe blanc qui avait fui la révolution bolchevique de 1917. La légende raconte qu'il aurait même traduit un poème de trois cents pages de Pouchkine.

Devenu chef de l'État, Chirac œuvra à l'adhésion de la Russie au sein du G8 et de l'OMC et éleva Poutine au rang de grand-croix de la Légion d'honneur. Le « non » à la guerre en Irak en 2003, dans la tradition gaulliste du non-alignement avec Washington, les avait rapprochés. « C'est un véritable intellectuel, un vrai professeur », vantait le président russe, si avare de compliments, avant la disparition de Chirac. De maître à élève.

« Un Slave qui aime la relation humaine »

Avec Nicolas Sarkozy, la relation prit un tour plus politique que personnel, entre deux fauves qui usaient des mêmes codes. Jamais l'ancien président de droite, pourtant convié en 2015 dans la datcha du Russe à Novo-Ogaryovo, où il avait défendu avec vigueur les intérêts de Moscou – « le monde a besoin de la Russie » – n'a rencontré sa famille ou sa compagne.

« Avec Nicolas, c'était une relation entre deux hommes politiques, teintée de respect réciproque. Poutine n'est pas un diplomate, comme son ministre Sergueï Lavrov, il dit ce qu'il pense. Comme Sarkozy, c'est straight to the point, [droit au but, NDLR] analyse Franck Louvrier, ancien grand patron de la communication à l'Élysée. Poutine peut paraître froid, mais c'est tout de même un Slave, qui aime la relation humaine. Sarkozy a toujours considéré qu'on pouvait lui faire confiance. Avec nous, il a tenu sa parole, notamment sur la Géorgie. »

 Poutine fait main basse sur la Géorgie

À dire vrai, Sarkozy avait plus de mal avec Barack Obama, si distant que ses conseillers le surnommaient… « le colin froid ». « Poutine n'est pas un glaçon. Il était plus abordable qu'Obama, qui était un universitaire avec qui il y avait une frontière quasi intellectuelle et sociale », avoue l'un d'eux. Si bien que l'ancien président français, dont le fait d'armes demeure d'avoir obtenu un cessez-le-feu à Tbilissi en 2008, prêche inlassablement depuis pour une reprise du dialogue avec Moscou, au risque d'être accusé de refuser de voir les exactions russes.

Ces jours-ci, redoutant un « engrenage guerrier aux conséquences incalculables », il prenait encore ses distances dans Le Figaro avec la posture trop belliciste à ses yeux d'Emmanuel Macron.

La rumeur de l'entretien avec Sarkozy

L'heure est aussi venue de tordre le cou à une rumeur tenace selon laquelle Poutine aurait piégé Sarkozy lors de leur première entrevue à l'été 2007 au G8 de Heiligendamm en Allemagne, sur les rives de la Baltique, en le forçant à partager de la vodka. C'est mal connaître Sarkozy, qui ne boit pas une goutte d'alcool, tout comme Poutine, plus esthète que soudard en la matière.

Avec le temps, les langues se délient pour livrer la véritable histoire. À l'époque, le président français, fraîchement élu, est – l'opinion l'ignore encore – en pleine séparation d'avec sa femme, Cécilia. Le matin du sommet, l'éphémère première dame a quitté l'Allemagne à bord de l'avion de secours de la délégation – le « spare », dans le jargon.

 « Poutine n'est pas dans l'état mental de négocier »

L'entretien avec Poutine, interminable, achevé, Sarkozy veut en finir au plus vite, pressé de retrouver son épouse qui lui échappe. Or le temps presse : dans le ciel, point de protocole. Le premier avion sur le tarmac est le premier à décoller. Sinon, il faut parfois des heures pour arracher l'autorisation de la tour de contrôle.

« On fait la conférence de presse tout de suite ! » intime Sarkozy, qui veut être le premier dirigeant dans les airs et presse le pas pour rejoindre les journalistes dans un préfabriqué installé à l'écart, en hauteur. Après avoir grimpé au pas de course un escalier assez raide, il ouvre la porte, croyant déboucher sur un couloir et… tombe sur la presse, sans avoir le temps de reprendre son souffle.

Entrevue glaçante

De tous les dirigeants français qui ont croisé la route de Vladimir Poutine, à qui l'Histoire donnera-t-elle in fine raison ? À ceux qui plaident inlassablement pour le dialogue ou ceux qui prêchent pour le rapport de force ? Qui est véritablement le maître du Kremlin, que la pandémie de Covid a contribué à enfermer dans une quasi-paranoïa ?

« J'ai connu un Poutine qui respectait encore les formes. Il a signé les accords de Minsk parce qu'il voulait être un acteur majeur du jeu diplomatique, achève François Hollande. Il est partagé entre être un grand du monde et un nationaliste russe. »

« Poutine est insatiable. Après Kiev, il visera l'Ouest »

Dans l'avion qui le ramenait de Moscou, en février 2022 après cette entrevue glaçante de part et d'autre de l'interminable table blanche du Kremlin, Emmanuel Macron avait confié aux siens : « L'homme que j'ai rencontré n'est pas celui que je connaissais. »

De colombe, le président français est devenu faucon. Ce 6 juin, Vladimir Poutine ne foulera pas le sable d'Omaha Beach pour le 80e anniversaire du Débarquement avec Joe Biden ou Charles III. Ni, humiliation publique, avec Volodymyr Zelensky.

Le peuple Français est nul quand il s’agit de choisir ses dirigeants ou politiciens de tous bords et de voter aussi mal et cela ne date pas d’aujourd’hui dans notre histoire contemporaine surtout avec la V EME REPUBLIQUE devenue gaullienne n’a pas fait mieux en 1958 avec notre suffrage universel pour élire nos présidents car déjà avant ou on n’élisait pas nos présidents directement

En 1939 dans cette IV eme république et guerre mondiale ou on se glorifiait d’avoir l’armée la plus puissante plus que celle de l’Allemagne et bien qu’aidé aussi par l’ANGLETERRE qui a sauvé une majorité de nos soldats à DUNKERQUE et après une défaite en quelque mois en 1940 au point qu’HITLER lui-même n’y croyait pas à la déroute Française !?

Et ces Français lambda n’ont rien fait de mieux que de rejeter de Gaulle qui venait de créer cette nouvelle république à cause d’un référendum sur « le projet de loi relatif à la création de régions et à la rénovation du Sénat » a lieu en France le 27 avril 1969.

Depuis de toute façon les Français votent aussi mal en ne sachant pas choisir leurs dirigeants et leurs gouvernements bien qu’ils réclament depuis cette époque de 1970 des changements qui ne peuvent pas aboutir car ils sont trop divisés politiquement ou plutôt n’y comprennent rien pour une majorité d’entre eux égoïstes ou partisans de leur petit chacun pour soi alors que l’union fait la force comme dans notre U.E. à 27 et 447 MILLIONS d’habitants mais comme le caractère français est indiscipliné frondeur individualiste car remontant à notre révolution de 1789 cela ne peut marcher et la France régresse depuis + 66 ans hélas !?

On cite ces 4 présidents Français qui se seraient opposés à POUTINE il faut arrêter de se moquer de nos citoyens qui votent mal et qui ont en plus élus et réélus le dernier jeune hyper bavard en place qui en plus se moque des Français qu’il dédaigne et qui les a insulté en passant qui est aller se faire fiche de lui à domicile chez POUTINE qui lui continue à menacer la France et les occidentaux et surtout qui est dangereux et qui peut dérailler à tout moment puisque la communauté Européenne et mondiale des pays libres et démocratiques n’a pu ou n’a pas voulu l’arrêter au début de cette guerre Russo ukrainienne et annexion de la Crimée ou on n’a pas bougé !?

Jdeclef 07/06/2024 14h32LP

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