Chirac, Sarkozy, Hollande, Macron : comment
ils ont tenté de s’imposer face à Poutine ah bon ? on ne s’en n’est pas rendu
compte !?
Mais Poutine il vieillit mais pas assez vite
car moi qui suis comme d’autres de mes amis plus âgés que lui on vit plus vieux
à notre époque même malade car on a fait des progrès en matière de santé
humaine et il a des médecins à sa botte ce criminel car s’en est un mais il semble
increvable!?
Entre le chef du Kremlin et les quatre
présidents français qu’il a côtoyés depuis son accession au pouvoir, en 1999,
les relations ont toujours été tortueuses.
Lorsqu'ils atterrissent dans la capitale
biélorusse, ce 11 février 2015, pour arracher un cessez-le-feu à l'est de
l'Ukraine – les
futurs accords de Minsk –, François Hollande et Angela Merkel n'imaginent
pas qu'une nuit dantesque les attend. Seize heures durant, ils vont rester
cloîtrés sous les voûtes néosoviétiques rococo du palais de l'Indépendance.
Vladimir Poutine,
prévoyant, s'est octroyé une chambre pour se reposer et se rafraîchir entre
deux bras de fer. Le président français et la chancelière allemande, dont
l'hôtel se trouve à l'autre bout de la ville, sont coincés, eux, à la table des
négociations. Lesquelles menacent plusieurs fois de capoter.
Entre deux portes entrebâillées, on aperçoit le
maître du Kremlin et son homologue ukrainien, Petro Porochenko, se toisant
debout, face à face, semblant prêts à en venir aux poings. Plus tard, Poutine
brise même un crayon entre ses mains. Toute la nuit, Hollande tient bon, sans
montrer un signe de fatigue, au point de susciter l'admiration du Russe. Qui
s'enquiert, au terme du marathon : « Comment tu as fait pour
tenir ? » Réponse savoureuse du Français : « Je vais
t'expliquer ce que c'est qu'un congrès du Parti socialiste ! »
« Dureté,
charme et séduction »
Des quatre présidents français que Poutine a
côtoyés depuis son accession au pouvoir en 1999, il y a un quart de siècle,
Hollande est sans doute celui qui, rendons-lui grâce, a vu le plus clair dans
son jeu, comme immunisé contre ses tentatives alternées de séduction et
d'intimidation.
« Sa méthode, décrypte l'ancien président
pour Le Point, c'est toujours d'impressionner son interlocuteur. Cela
lui vient de son histoire personnelle, qui
commence au KGB et dans les cercles du pouvoir, où, pour s'imposer, il
fallait un mélange de dureté, de force presque physique, mais aussi de charme
et de séduction. » Il l'a perçu intuitivement dès leur première entrevue,
en juin 2012, dans son bureau à l'Élysée. Question de body language, très
prisé du Russe.
Comment Poutine déstabilise l'Europe
À l'époque, Poutine vient d'être réinvesti pour
un troisième mandat, après quatre ans à ronger son frein comme Premier ministre
de Dmitri Medvedev. Hollande comprend alors qu'il a face à lui un homme qui se
vit comme le nouveau tsar de la Grande Russie et regarde les dirigeants
français, dont le mandat est borné à dix ans au plus, comme des nains.
Il a soif d'en découdre, de déployer sa puissance
et répète que son pays n'a que trop cédé face à l'Occident depuis la chute de
l'URSS. Réclamant du papier et un stylo, Poutine dessine devant lui une carte
de l'Europe de l'Est avec des missiles de l'Otan, censés pointer vers la
Russie. « Vous voyez ! Ils sont là contre nous ! »
Regard bleu
délavé et perçant
Ainsi va « Vladimir Vladimirovitch »,
mâle alpha, ancien maître espion, tour à tour brûlant ou glacé pour mieux
désarçonner. Il aime faire montre de sa force et donner dans la mise en scène
de lui-même. Un jour de visite au Kremlin, François Hollande se retrouve dans
son bureau, étrangement vide et impersonnel, hormis un curieux tableau
téléphonique criblé de boutons, comme on en trouvait autrefois dans les
préfectures.
Les provocations de Poutine en Baltique
Pour l'impressionner, Poutine appuie sur l'un
d'eux, faisant mine d'appeler un général sur le terrain. Une voix russe
décroche aussitôt. Saisissant ! En son for intérieur, le Français ne peut
s'empêcher de penser que le quidam se trouve peut-être dans la pièce voisine,
dans un montage Potemkine tout soviétique…
L'ancien président socialiste se souvient
également de ce sommet du G20 de Saint-Pétersbourg en 2013, où il s'était
retrouvé isolé quant à des frappes en Syrie en riposte à l'usage d'armes
chimiques. La France était prête à faire décoller ses Rafale, en vain. Poutine
l'avait défié du regard, triomphant, comme pour lui signifier :
« Alors, tu as voulu faire le fort, montrer tes muscles ? »
Emmanuel Macron rencontre son homologue russe au Kremlin, le 7 février
2022. À l’issue de cet entretien, le président français dira :
« L’homme que j’ai rencontré n’est pas celui que je connaissais. » ©
Russian President Press Office/T/Sipa
Et que dire de cette table interminable, à la
blancheur immaculée, à laquelle plusieurs présidents français ont eu la
surprise de se retrouver installés ? On a tant glosé sur ce meuble
humiliant quand Emmanuel Macron tenta sa médiation de la dernière chance en
février 2022 pour empêcher l'invasion de l'Ukraine.
À l'été 2008, venu à Moscou empêcher les chars
russes de violer la frontière géorgienne, Nicolas Sarkozy avait aussi eu la
surprise désagréable de s'y retrouver. Tandis qu'il avait rendez-vous avec
Medvedev, alors son homologue, Poutine était entré le premier dans la pièce.
Deux contre un !
Vladimir Poutine et le supplice de la table
Au dire des conseillers élyséens qui ont eu le
privilège rare de l'approcher, l'ogre russe n'a rien d'impressionnant
physiquement, contrairement à l'imagerie viriliste du Kremlin, si ce n'est son
regard bleu délavé et perçant. Les anciens du Château racontent pourtant la
terreur tripale qu'il semble inspirer aux dirigeants de l'ancien bloc
soviétique.
« Capable
d'une grande vulgarité »
Ancienne physicienne est-allemande, Angela Merkel
s'était épanchée sur la façon dont Poutine s'y prenait pour l'intimider,
éveillant chez elle les souvenirs du joug soviétique, quand des espions du KGB
venaient l'interroger d'une voix suave et menaçante. « Ce n'est pas facile
pour moi, Allemande, de travailler avec lui, confiait-elle un soir de dîner à
l'Élysée. Quand il veut me mettre la pression, il me parle en russe, parce
qu'il sait que c'est ma première langue. Et moi, je lui réponds en allemand. »
Modérateurs. François Hollande et Angela Merkel
entourent Vladimir Poutine et le président ukrainien Petro Porochenko, en
marge du sommet du Dialogue Asie-Europe, à Milan, le 17 octobre 2014.©
Alexei Nikolsky/AP/SIPA
Respect réciproque. Première visite officielle de
Nicolas Sarkozy à Moscou, le 10 octobre 2007.© WITT/SIPA
Estime. Le président russe entouré de Jacques
Chirac – dont il disait qu’il était « un véritable
intellectuel, un vrai professeur » – et du chancelier allemand Gerhard
Schröder, à Sotchi, en Russie, le 31 août 2004. © SERGEY
PONOMAREV/AP/SIPA
« Poutine est d'une telle agressivité qu'on
peut penser qu'il peut vous en mettre une… Il est capable d'une grande
vulgarité avec les gens qu'il veut écraser s'il sent qu'il a l'avantage. Il a
quand même fait empoisonner des gens ! » souffle un diplomate
français. Fort avec les faibles, faible avec les forts.
Hollande se remémore ainsi le coup de fil où il
lui avait annoncé que Paris ne livrerait pas les deux porte-hélicoptères
Mistral, vendus sous Sarkozy, en riposte à l'annexion de la Crimée en 2014.
Nulle colère chez Poutine, qui lui répondit avec un calme froid :
« C'est une mauvaise manière, c'est votre décision, mais il faudra me
rembourser. » « Il aurait pu dire : “Je vais vous couper le
gaz !” narre l'ancien président. Non, il respecte la force. »
« Renarcissiser »
un partenaire blessé
Dès lors, toute tentative de nouer une relation
personnelle pour l'amadouer semble vouée à l'échec. C'est le pari qu'a tenté au
début de son premier mandat Emmanuel Macron, convaincu qu'il parviendrait à
force de séduction à « ancrer » la Russie dans l'Europe.
« C'est la ligne diplomatique que
défendaient Jean-Pierre Chevènement et Hubert Védrine sur la Russie humiliée,
encerclée, dont il fallait panser les plaies. N'oubliez pas que Chevènement fut
le premier maître à penser du jeune Macron ! » note un intime du
président.
Il a une capacité invraisemblable au mensonge.François Hollande
Tout à sa volonté de « renarcissiser »
un partenaire russe blessé, de le mettre sur un piédestal pour le ramener dans
le concert des nations, Macron lui offre, en 2017, les fastes de Versailles, avant
de le convier en 2019 à un dîner avec Brigitte sur la terrasse du fort de
Brégançon.
Dans un entretien au Point au printemps
2022, Macron décryptait le « sentiment d'humiliation » de Moscou face
à l'Otan, qui se serait « métabolisé en paranoïa ». Péché de
naïveté ? On connaît la suite : l'histoire d'une déconvenue qui vit
Poutine lui jurer au téléphone, jusqu'à la veille de l'invasion de l'Ukraine,
qu'il n'avait pas de velléité expansionniste.
Des cadeaux
intéressés ou pervers
« Il a une capacité invraisemblable au
mensonge. Il vous ébranle par son immensité, son énormité. Il arrive à faire
douter par la stupeur que cela peut générer », explique François Hollande,
qui assista à un repas à Moscou où Poutine, devant les ministres russes et
français attablés, accusa la France d'avoir mené en Algérie une guerre non pas
de décolonisation, mais de religion contre l'islam…
Le grand retour de la Russie au Caucase
« Il était capable de prétendre que Bachar
el-Assad n'avait pas utilisé d'armes chimiques et affirmer ne pas connaître les
milices Wagner, alors que Prigojine
était son maître d'hôtel ! » tempête un diplomate. Même ses
cadeaux peuvent s'avérer intéressés, sinon pervers.
Ainsi François Hollande trinqua-t-il avec lui
avec un porto de 1912 censé célébrer le 500e anniversaire de la
naissance de Jeanne d'Arc à Domrémy. Les conseillers français ne purent que
constater après coup qu'il s'agissait également du centenaire de la bataille de
la Berezina lors de la retraite napoléonienne de Russie…
Poutine n’est pas un diplomate, il dit ce qu’il pense. Comme Sarkozy, c’est
“straight to the point”.Franck Louvrier
Le seul qui aurait pu se targuer d'avoir touché,
chez Poutine, une corde sensible fut Jacques Chirac, élu quatre ans avant lui.
Passionné par les civilisations orientales, l'ancien président avait appris le
russe auprès d'un vieux Russe blanc qui avait fui la révolution bolchevique de
1917. La légende raconte qu'il aurait même traduit un poème de trois
cents pages de Pouchkine.
Devenu chef de l'État, Chirac œuvra à l'adhésion
de la Russie au sein du G8 et de l'OMC et éleva Poutine au rang de grand-croix
de la Légion d'honneur. Le « non » à la guerre en Irak en 2003, dans
la tradition gaulliste du non-alignement avec Washington, les avait rapprochés.
« C'est
un véritable intellectuel, un vrai professeur », vantait le président
russe, si avare de compliments, avant la disparition de Chirac. De maître à
élève.
« Un
Slave qui aime la relation humaine »
Avec Nicolas Sarkozy, la relation prit un tour
plus politique que personnel, entre deux fauves qui usaient des mêmes codes.
Jamais l'ancien président de droite, pourtant convié en 2015 dans la datcha du
Russe à Novo-Ogaryovo, où il avait défendu avec vigueur les intérêts de Moscou
– « le monde a besoin de la Russie » – n'a rencontré sa famille ou sa
compagne.
« Avec Nicolas, c'était une relation entre
deux hommes politiques, teintée de respect réciproque. Poutine n'est pas un
diplomate, comme son ministre Sergueï Lavrov, il dit ce qu'il pense. Comme
Sarkozy, c'est straight to the point, [droit au but, NDLR] analyse
Franck Louvrier, ancien grand patron de la communication à l'Élysée. Poutine
peut paraître froid, mais c'est tout de même un Slave, qui aime la relation
humaine. Sarkozy a toujours considéré qu'on pouvait lui faire confiance. Avec
nous, il a tenu sa parole, notamment sur la Géorgie. »
Poutine fait main basse sur la Géorgie
À dire vrai, Sarkozy avait plus de mal avec
Barack Obama, si distant que ses conseillers le surnommaient… « le colin
froid ». « Poutine n'est pas un glaçon. Il était plus abordable
qu'Obama, qui était un universitaire avec qui il y avait une frontière quasi
intellectuelle et sociale », avoue l'un d'eux. Si bien que l'ancien
président français, dont le fait d'armes demeure d'avoir obtenu un
cessez-le-feu à Tbilissi en 2008, prêche inlassablement depuis pour une reprise
du dialogue avec Moscou, au risque d'être accusé de refuser de voir les
exactions russes.
Ces jours-ci, redoutant un « engrenage
guerrier aux conséquences incalculables », il prenait encore ses distances
dans Le Figaro avec la posture trop belliciste à ses yeux d'Emmanuel
Macron.
La rumeur de
l'entretien avec Sarkozy
L'heure est aussi venue de tordre le cou à une
rumeur tenace selon laquelle Poutine aurait piégé Sarkozy lors de leur première
entrevue à l'été 2007 au G8 de Heiligendamm en Allemagne, sur les rives de la
Baltique, en le forçant à partager de la vodka. C'est mal connaître Sarkozy,
qui ne boit pas une goutte d'alcool, tout comme Poutine, plus esthète que
soudard en la matière.
Avec le temps, les langues se délient pour livrer
la véritable histoire. À l'époque, le président français, fraîchement élu, est
– l'opinion l'ignore encore – en pleine séparation d'avec sa femme, Cécilia. Le
matin du sommet, l'éphémère première dame a quitté l'Allemagne à bord de
l'avion de secours de la délégation – le « spare », dans le jargon.
« Poutine n'est pas dans
l'état mental de négocier »
L'entretien avec Poutine, interminable, achevé,
Sarkozy veut en finir au plus vite, pressé de retrouver son épouse qui lui
échappe. Or le temps presse : dans le ciel, point de protocole. Le premier
avion sur le tarmac est le premier à décoller. Sinon, il faut parfois des
heures pour arracher l'autorisation de la tour de contrôle.
« On fait la conférence de presse tout de
suite ! » intime Sarkozy, qui veut être le premier dirigeant dans les
airs et presse le pas pour rejoindre les journalistes dans un préfabriqué
installé à l'écart, en hauteur. Après avoir grimpé au pas de course un escalier
assez raide, il ouvre la porte, croyant déboucher sur un couloir et… tombe sur
la presse, sans avoir le temps de reprendre son souffle.
Entrevue
glaçante
De tous les dirigeants français qui ont croisé la
route de Vladimir Poutine, à qui l'Histoire donnera-t-elle in fine
raison ? À ceux qui plaident inlassablement pour le dialogue ou ceux qui
prêchent pour le rapport de force ? Qui est véritablement le maître du
Kremlin, que
la pandémie de Covid a contribué à enfermer dans une quasi-paranoïa ?
« J'ai connu un Poutine qui respectait
encore les formes. Il a signé les accords de Minsk parce qu'il voulait être un
acteur majeur du jeu diplomatique, achève François Hollande. Il est
partagé entre être un grand du monde et un nationaliste russe. »
« Poutine est insatiable.
Après Kiev, il visera l'Ouest »
Dans l'avion qui le ramenait de Moscou, en
février 2022 après cette entrevue glaçante de part et d'autre de
l'interminable table blanche du Kremlin, Emmanuel Macron avait confié aux
siens : « L'homme que j'ai rencontré n'est pas celui que je
connaissais. »
De colombe, le
président français est devenu faucon. Ce 6 juin, Vladimir Poutine ne
foulera pas le sable d'Omaha Beach pour le 80e anniversaire du
Débarquement avec Joe Biden ou Charles III. Ni, humiliation publique, avec
Volodymyr Zelensky.
Le peuple Français est nul quand il s’agit de
choisir ses dirigeants ou politiciens de tous bords et de voter aussi mal et
cela ne date pas d’aujourd’hui dans notre histoire contemporaine surtout avec la
V EME REPUBLIQUE devenue gaullienne n’a pas fait mieux en 1958 avec notre
suffrage universel pour élire nos présidents car déjà avant ou on n’élisait pas
nos présidents directement
En 1939 dans cette IV eme république et guerre mondiale
ou on se glorifiait d’avoir l’armée la plus puissante plus que celle de l’Allemagne
et bien qu’aidé aussi par l’ANGLETERRE qui a sauvé une majorité de nos soldats
à DUNKERQUE et après une défaite en quelque mois en 1940 au point qu’HITLER lui-même
n’y croyait pas à la déroute Française !?
Et ces Français lambda n’ont rien fait de mieux
que de rejeter de Gaulle qui venait de créer cette nouvelle république à cause d’un référendum sur « le projet de
loi relatif à la création de régions et
à la rénovation du Sénat » a lieu en France le 27 avril 1969.
Depuis de toute façon les Français votent aussi
mal en ne sachant pas choisir leurs dirigeants et leurs gouvernements bien qu’ils
réclament depuis cette époque de 1970 des changements qui ne peuvent pas
aboutir car ils sont trop divisés politiquement ou plutôt n’y comprennent rien
pour une majorité d’entre eux égoïstes ou partisans de leur petit chacun pour
soi alors que l’union fait la force comme dans notre U.E. à 27 et 447 MILLIONS
d’habitants mais comme le caractère français est indiscipliné frondeur
individualiste car remontant à notre révolution de 1789 cela ne peut marcher et
la France régresse depuis + 66 ans hélas !?
On cite ces 4 présidents Français qui se seraient
opposés à POUTINE il faut arrêter de se moquer de nos citoyens qui votent mal
et qui ont en plus élus et réélus le dernier jeune hyper bavard en place qui en
plus se moque des Français qu’il dédaigne et qui les a insulté en passant qui
est aller se faire fiche de lui à domicile chez POUTINE qui lui continue à menacer
la France et les occidentaux et surtout qui est dangereux et qui peut dérailler
à tout moment puisque la communauté Européenne et mondiale des pays libres et démocratiques
n’a pu ou n’a pas voulu l’arrêter au début de cette guerre Russo ukrainienne et
annexion de la Crimée ou on n’a pas bougé !?
Jdeclef 07/06/2024 14h32LP
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