mercredi 29 mai 2024

Il faudrait enfin prendre conscience en FRANCE qu’on est très mal gouverné par ce président à qui on a donné trop de pouvoir et 2 fois en plus qui ne nous protège pas et nous a ruiné se cachant derrière l’effet COVID alibi et son « quoi qu’il en coute » quand en fait cette EUROPE qui justement réussi à s’unir à payer pour la vaccination que même çà on n’arrivait pas à maitriser ?!

 

Macron et Scholz cherchent des sous pour l’Europe ils ont l’air fin tous les deux en matière économique de petits boutiquiers bavards qu’elle honte !?

Face à l’euroscepticisme et au décrochage économique, le président français et le chancelier allemand se serrent les coudes avant la raclée des européennes.

Par Emmanuel Berretta

Publié le 29/05/2024 à 10h39, mis à jour le 29/05/2024 à 11h44

Le président Emmanuel Macron et le chancelier allemand Olaf Scholz devant le château de Meseberg, dans le Brandebourg (Allemagne), le 28 mai 2024. © Michael Kappeler/DPA/Abaca

Que retenir de la visite d'État d'Emmanuel Macron en Allemagne ? Si l'on met de côté la pompe officielle, les appels à la mémoire de nos guerres passées, le prix de la paix de Westphalie reçu par le président Macron pour ses tentatives de raisonner les appétits guerriers de Vladimir Poutine, les décorations remises aux époux Klarsfeld, il reste une image. Celle de deux hommes inquiets, Olaf Scholz et Emmanuel Macron, à quelques jours d'une déroute électorale programmée aux européennes. Détail ironique : le SPD et la coalition macroniste sont à peu près crédités des mêmes intentions de vote des deux côtés du Rhin, soit environ 14 à 15 %.

Des besoins estimés à 745 milliards d'euros par an !

Voilà pour le message politique, mais il y avait une seconde adresse, cette fois destinée aux partenaires européens en forme de contribution à l'« agenda stratégique », qui façonnera le prochain mandat de la Commission européenne et qui sera adopté, à l'unanimité fin juin, pour les cinq prochaines années.

Un message également destiné aux forces économiques d'un continent en décrochage : « Il nous faut un choc d'investissements au sein de notre Europe », a lancé le président Macron, aux côtés du chancelier. La Commission a chiffré les besoins gigantesques : plus de 620 milliards d'euros par an ( !) pour couvrir les besoins du Pacte vert et la décarbonation de l'économie et 125 milliards d'euros par an pour revenir dans la course à l'innovation technologique (intelligence artificielle, quantique…). Cela représente donc 745 milliards d'euros par an. Rapportés à la population européenne, on parle de 1 655 euros par an et par Européen.

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Le rapport Draghi, attendu fin juin, devrait confirmer et chiffrer plus précisément les besoins. Une chose est certaine et fait consensus : les budgets des États membres sont incapables d'y répondre ; le budget européen de long terme n'y suffira pas non plus et son échéancier sur sept ans (2028-2035) ne répond pas aux besoins immédiats. La France et l'Allemagne conviennent donc de se tourner vers l'épargne dormante des Européens (10 000 milliards d'euros non fléchés sur la masse totale de 35 000 milliards d'euros) qui, pour l'heure, profitent surtout aux Américains. Ils militent pour lancer un « produit d'épargne européen » le plus vite possible.

La préoccupation allemande sur la chimie

Emmanuel Macron et Olaf Scholz confirment en quelque sorte les conclusions du dernier Conseil européen. « La convergence entre nous deux est inédite à cet égard, ajoute le président français. Et je ne doute pas qu'elle entraînera maintenant un mouvement fort accéléré au sein de toute l'Europe. Elle était nécessaire et nous y sommes arrivés. » Le Luxembourg, place financière rétive, n'a sans doute pas dit son dernier mot face au projet franco-allemand.

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La France et l'Allemagne s'accordent également pour réviser la législation des marchés publics européens afin de « les simplifier, de les intégrer davantage, avec des conditions tenant à l'innovation, l'environnement et la résilience ».

Les deux pays invitent la Commission européenne à ne pas fracasser l'industrie chimique européenne mais à créer un cadre réglementaire « favorable à l'innovation » dans une « approche basée sur les risques plutôt que de recourir à de larges interdictions de produits ». En somme, BASF et Bayer ont trouvé ici deux bons avocats.

Le défi de l'inflation normative

L'inflation des normes européennes n'a pas échappé aux deux dirigeants : 850 nouvelles règles entre 2017 et 2022. Là aussi, ils appellent la Commission à « élaborer un plan d'action ambition pour la réduction de la bureaucratie », soit « davantage d'efforts pour mieux impliquer, dès le départ, les entreprises, les citoyens et territoires, y compris les régions ultrapériphériques, en tenant compte de leurs contraintes dès le stade où les règles sont rédigées ». Les PME devraient être soulagées d'un fardeau de déclarations tous azimuts en réduisant ce reporting de 25 %. L'accès aux aides d'État devrait être accéléré.

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« Je suis confiant, a lancé le chancelier Scholz, au terme d'une conférence de presse commune à Meseberg. Nous avons enregistré beaucoup de réussites par le passé, et il faut le dire. On a toujours dit que ça n'allait pas bien marcher, mais finalement ça a marché. Il y a eu des débats pendant la pandémie de Covid, et en fin de compte, vous avez vu que l'Europe est maintenant plus proche. Le plan de relance a été une possibilité de créer de la croissance en Europe, et il reste encore beaucoup d'opportunités. Tous les moyens ne sont pas encore employés. »

Quid du plan de relance européen ?

De fait, pour le moment, sur les 800 milliards d'euros du plan de relance, la Commission a décaissé seulement un peu plus de 224 milliards d'euros. Or, le plan de relance connaît une date butoir : tout doit être engagé avant le 31 décembre 2026. On se trouve donc dans la situation paradoxale de chercher précipitamment de l'argent par tous les moyens alors que celui qui a été prévu et convenu à 27 ne sort que très lentement de la cagnotte commune…

Aujourd'hui, la dette globale de la Commission est de 500 milliards d'euros pour couvrir les besoins du plan de relance. Pour réaliser entièrement ce plan de relance, la Commission européenne prévoit d'émettre environ 150 milliards d'euros par an jusqu'au 31 décembre 2026. Puis, à partir de 2028, il faudra rembourser cet emprunt à raison de 25 milliards d'euros par an. Or, sur ce point, Emmanuel Macron et Olaf Scholz sont restés muets. La discussion difficile commencera à partir de la mi-2025.

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Le faux nouveau couple franco-allemand de « panier percé » est aussi nul que les anciens semble-t-il sauf que nous en France on est en faillite virtuelle il faut dire que nous on ne sait plus voter correctement depuis + de 40 ans et l’après mitterrandisme qui fut un échec avec sa réélection de président de l’époque !?

Mais ce n’a pas suffi on en n’a redemandé comme on l’a fait en 2022 pour subir cette mauvaise gouvernance avec les mêmes du passé jusqu’en 2027 et va savoir quel nouveau on aura trouvé dans 3 ans !?

Quant à l’EUROPE UNIE est quand même virtuelle et instable d’ailleurs la gestion déplorable de la crise UKRAINE par notre président est un exemple stupide pour pas dire pire car menaçant l’envoi de troupe en UKRAINE qui n’a d’ailleurs n’a pas trouvé d’assentiment de 27 adhérents européens et maintenant parle d’envoyer nos fameux missiles scalp à longue portée mais  de l’UKRAINE vers la Russie sous prétexte de défense de celle-ci pour contre carrer les percées de l’armée de POUTINE  le dictateur car oui s’en est un n’en déplaise au bien portant donneurs de leçon hypocrite comme notre président d’ailleurs hésitant procrastinateur qui ne sait plus quoi dire se noyant dans ses discours de non-sens illogique se prenant peut être pour le chef des armées de par sa fonction mais serait étonnant car il n’a jamais endossé un uniforme ni fait son service car trop jeune sa seule excuse mais qui ne gomme pas son incompétence de petit bourgeois se prenant pour un monarque !?

Mais qui ne nous protège pas car notre monde actuel est devenu très instable voir dangereux car il faut muscler drastiquement notre armée car pas assez puissante et peut être organiser un formation militaire pour tous ces jeunes désœuvrés ce qui leur permettrait d’apprendre quelque chose d’utile surtout pour ceux par exemple en échec scolaire en fin de 3eme ou qui n’ont pas essayé l’apprentissage ou d’entrer en entreprise pour commencer à travailler car on manque d’employés d’ouvriers ou d’agriculteurs etc…

Jdeclef 29/05/2024 13h54

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