mercredi 3 août 2011

Quand vous avez trop d’absences dans votre entreprise on ne vous paie pas et on vous licencie si s’aggrave (pourquoi pas eux !)





P.BALKANY
 

Absentéisme à l'Assemblée: Montebourg et Balkany, députés les plus pénalisés


Une étude révèle que plus d'une centaine de députés ont été sanctionnés cette année pour leur présence très ponctuelle dans l'hémicycle du Palais Bourbon...

Voilà un classement où ils auraient probablement préféré ne pas figurer. Encore aurait-il fallu faire plus souvent acte de présence... L’Assemblée nationale aurait sanctionné 102 députés pour un montant de 95.140 euros lors de la dernière session parlementaire, selon une étude du collectif Regards Citoyens.
25% de retenue sur l’indemnité

Dixit le règlement du Palais Bourbon, les députés absents plus de deux fois par mois en commission, le mercredi matin, s’exposent à une retenue de 25% sur les 1.420 euros d’indemnité de fonction qu’ils perçoivent.

Dans le trio de tête des absentéistes, on retrouve le député UMP Patrick Balkany avec 4.615 euros de retenues, suivi par deux homologues du PS : Michel Delebarre (4.260 euros) et Arnaud Montebourg (3.905 euros).
Par voie de communiqué, Patrick Balkany a expliqué, mercredi, que ces absences répétées étaient dûes à de violentes douleurs au dos nécessitant une opération en mai dernier.

Dans l’entourage d’Arnaud Montebourg, on tient juste à rappeler que ce dernier ne compte pas se représenter aux législatives de 2012. Et que depuis novembre, en raison  de sa candidature à la primaire socialiste, il a effectivement été moins présent à l’Assemblée.

Mais d’après l’étude, ces sanctions sont bien appliquées. En effet, «certaines d'entre elles nous ont en effet été confirmées, c'est notamment le cas pour Jean-François Copé (1.420 euros de sanctions) ou Jean Glavani (355 euros)».
 Une trentaine de mesures financières par mois

(Balkany il n'y a pas que cela dont il est recordman... )
Que BALKANY soit dans le lot des plus absents (EN 1ER) ce n'est pas étonnant on se demande encore comment il peut être député, maire et politicien etc etc...

Tellement il traine de casseroles diverses et variées  Exemples :

Condamnation et exil à Saint-Martin :

En mai 1996, Patrick Balkany est condamné (décision confirmée en appel le 30 janvier 1997) par la 9e chambre du tribunal correctionnel de Nanterre, à quinze mois de prison avec sursis, 200 000 francs d'amende et deux ans d'inéligibilité.

Il avait rémunéré aux frais du contribuable levalloisien entre 1985 et 1995 trois personnes désignées comme des employés municipaux, mais qui ne s'occupaient que de son appartement de Levallois-Perret et de sa résidence secondaire près de Giverny

Il s'exile alors volontairement à Saint-Martin pour, selon ses propos, « chercher la paix et se faire oublier »
Ce dernier s'est mensongèrement présenté, dans un article publié dans L'Express, comme étant le directeur de la station de radio RCI2, la principale radio de l'île.

Le 28 juillet 1999, la Chambre régionale des comptes d'Île-de-France condamne Patrick Balkany à rembourser à la ville de Levallois-Perret le montant des salaires des employés municipaux liés à sa condamnation, soit 523 897,96 euros.

Son épouse Isabelle, vice-présidente du conseil général des Hauts-de-Seine et conseillère municipale à Levallois-Perret, est condamnée à la même peine pour « prise illégale d'intérêts ».

Retour en politique :

À nouveau éligible, il effectue son retour sur la scène politique de Levallois à l'occasion des élections municipales de 2001. Sans étiquette, il remporte le scrutin face au maire sortant soutenu par le RPR et l'UDF, la liste de la gauche plurielle, ainsi qu'une liste divers droite.

Le préfet des Hauts-de-Seine saisit alors le tribunal administratif de Paris pour contester l'élection de Patrick Balkany au conseil municipal de Levallois-Perret, ce dernier étant selon lui inéligible.

À la suite du recours préfectoral, le 29 juillet 2002, le Conseil d'État confirmant un jugement du tribunal administratif de Paris du 17 octobre 2001, considère que Patrick Balkany était inéligible au moment du scrutin et annule son élection à la mairie de Levallois-Perret

La Cour d'appel de Versailles le reconnaît coupable, le 31 mars 2004, de « délit de diffamation » pour avoir accusé, lors d'un conseil municipal, la communiste Annie Mandois d'avoir utilisé des fonds publics dans l'intérêt d'un parti politique ou pour son intérêt personnel, coupable d'« injure publique » et de « diffamation » à l'encontre d'une personne chargée d'un service public pour l'avoir accusé « d'avoir endoctriné des enfants » lorsqu'elle était enseignante.

Il est en outre condamné à une peine d'amende de 1 500 euros, à verser 1 500 euros à Mme Mandois de dommages et intérêts plus 1 000 euros pour préjudice moral

Un article du journal Le Monde, daté du 29 juin 2009, se fait l'écho d'un rapport de la Chambre régionale des comptes d'Île-de-France du 6 avril 2009 dressant un bilan sévère de la gestion de Levallois-Perret.

Le document évoque une hausse de la dette, une explosion des dépenses festives et des « anomalies » dans le contrôle des frais et dans la gestion du parc de voitures de fonction.

En réaction, Isabelle Balkany conteste le bien-fondé de ces accusations, et s'étonne que seul le dernier mandat de son mari ait fait l'objet d'investigations de la part des magistrats financiers.

D'octobre 2010 à juin 2011, Patrick Balkany n’a assisté à aucune des 33 réunions du mercredi de la Commission des affaires étrangères de l'Assemblée nationale, et écope d'une sanction financière (retenue sur les indemnités)

Et j'ai résumé son palmarès déjà assez édifiant comme cela !!!

Tous ces faits sont avérés et publics (voir source Wikypédia) et pourtant le couple BALKANY est toujours là, une spécialité bien Française de nos élus politiciens de tout bord celui là étant seulement sur le haut du panier de crabe !

ET QUI VOTENT ET ÉLISENT ET RÉÉLISENT DE TELS PERSONNAGES NOUS LES ÉLECTEURS FRANÇAIS !

NOUS SOMMES VRAIMENT NULS !
Nous méritons cela et ne devrions pas nous plaindre !

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