lundi 12 septembre 2011

BEURK… ! CES POLITICIENS ÉLUS, SANS MORALES SANS SCRUPULES…

Dominique de Villepin et Jacques Chirac, le 15 mai 2007 à l'Elysée 

Françafrique: Chirac et Villepin accusés de financement occulte pour la campagne 2002

AFFAIRES - Ils ne sont pas les seuls cités dans les révélations...

Sale temps pour Chirac et Villepin. Déjà empêtrés dans des procès-fleuve, les deux hommes sont accusés, par un des piliers de la «Françafrique», Robert Bourgi, d'avoir reçu, par mallettes entières, des fonds occultes de dirigeants africains, ce que l'ex-Premier ministre qualifie de «fariboles». Dans le Journal du Dimanche, l'avocat d'origine libanaise Robert Bourgi, 66 ans, décrit avec luxe de détails des remises de fonds d'Afrique - d'un montant «incalculable», dit-il - qu'il aurait effectuées personnellement auprès de l'ex-président et l'ex-Premier ministre entre 1997 et 2005.

10 millions de dollars

Sa confession coïncide avec la sortie d'un livre-brûlot de Pierre Péan, La République des mallettes, dans lequel le journaliste-enquêteur décrit un tourbillon de commissions et rétrocommissions avec en fil rouge Alexandre Djouhri, ami de Dominique de Villepin. La noria de «valises» africaines aurait commencé, selon Robert Bourgi, en mars 1997 «le jour de l'enterrement de mon maître Jacques Foccart». Ce dernier créa à l'Elysée, sous de Gaulle, la Françafrique, système très décrié de réseaux d'influence maintenus par Paris avec ses ex-colonies d'Afrique noire.
Les livraisons auraient pris fin en 2005 quand Dominique de Villepin a lancé abruptement, selon Robert Bourgi: «l'argent de tous les Africains sent le soufre». «Par mon intermédiaire», «cinq chefs d'état africains -Abdoulaye Wade (Sénégal), Blaise Compaoré (Burkina Faso), Laurent Gbagbo (Côte d'Ivoire), Denis Sassou Nguesso (Congo-Brazzaville) et, bien sûr, Omar Bongo (Gabon) ont versé environ 10 millions de dollars pour cette campagne de 2002», prétend l'avocat. L'actuel ministre des Affaires étrangères Alain Juppé n'est pas épargné. «L'argent d'Omar Bongo a payé le loyer pendant des années» de son club 89, accuse Robert Bourgi.

Une grosse mallette «aux pieds du ministre de l'Intérieur»

Quel monde politique nauséabond !

La seule chose qu'il ressort en cette période pré-électorale, c'est ces révélations vraies ou fausses de magouilles financières touchant au plus haut de l'état !

Mais pourquoi voulez vous que les français aient confiance en leur politique et ses politiciens de tous bords, car il ne se passe pas un moment on l'on apprend des faits délictueux plus ou moins graves de la part de nos élus !

Les  dix dernières années ont été fructueuses en matière d'affaires douteuses à tous les niveaux !

Il est temps de mettre fin radicalement à de tels agissements dans notre pays !
Et de sanctionner vertement par une justice sévère et vraiment indépendante rapidement les auteurs quels qu'ils soient de tels faits !

La corruption et prévarication devient un fléau pratique habituelle de nos élus, c'est insupportable !

Dans une période de crise on apprend que l'état encaisse depuis des décennies  des fonds très importants (au noir) sans mauvais jeu de mot dont la destination s'évapore (pas pour tout le monde...)

IL NE S'AGIT PLUS DE DROITE OU DE GAUCHE, MAIS D'UN MAL POLITIQUE FRANÇAIS !

jdeclef 12.09.2011 -

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