Illustration de voitures de police.
«Trois policiers sont actuellement en garde à vue», a déclaré à l'AFP le parquet de Bobigny, se refusant pour le moment à donner plus de précisions.
Selon les premiers éléments de l'enquête de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN, la «police des polices»), les fonctionnaires sont soupçonnés d'avoir prêté main forte à un réseau de maquilleurs, revendeurs et trafiquants de voitures.
Parallèlement à ces interpellations de policiers elle a également procédé à des perquisitions à la BAC de Seine-Saint-Denis, ont indiqué des sources proches de l'enquête.
Selon ces sources, les suspects se seraient «entendus et concertés» afin de renseigner ce présumé réseau en se servant notamment «des fichiers spécialisés». Pour ces «renseignements», ils auraient pu être rétribués, ont-elles ajouté, dans des circonstances et pour des montants qui n'ont pas été précisés
Banditisme: Un troisième policier de la BAC de Seine-Saint-Denis en garde à vue
SOCIETE - Ils sont soupçonnés d'avoir prêté main forte à un réseau de
maquilleurs, revendeurs et trafiquants de voitures...
Un troisième policier de la Brigade
anti-criminalité (BAC) de Seine-Saint-Denis a été placé en garde à vue,
soupçonné, comme ses deux collègues interpellés mardi, de dérives liées à une
affaire de banditisme, a-t-on appris mercredi de sources concordantes.«Trois policiers sont actuellement en garde à vue», a déclaré à l'AFP le parquet de Bobigny, se refusant pour le moment à donner plus de précisions.
Selon les premiers éléments de l'enquête de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN, la «police des polices»), les fonctionnaires sont soupçonnés d'avoir prêté main forte à un réseau de maquilleurs, revendeurs et trafiquants de voitures.
Perquisitions à la BAC 93
La «police des polices» a agi sur commission rogatoire d'un juge pour «association de malfaiteurs».Parallèlement à ces interpellations de policiers elle a également procédé à des perquisitions à la BAC de Seine-Saint-Denis, ont indiqué des sources proches de l'enquête.
Selon ces sources, les suspects se seraient «entendus et concertés» afin de renseigner ce présumé réseau en se servant notamment «des fichiers spécialisés». Pour ces «renseignements», ils auraient pu être rétribués, ont-elles ajouté, dans des circonstances et pour des montants qui n'ont pas été précisés
A croire que ce département (93)
concentre tout ce que l'on peut trouver de "hors la loi" ou délinquants,
malfrats de tous poils?
Alors des policiers "ripoux" cela va avec pas si
étonnant que cela!
On a bien vu déjà le cas à Marseille
Lyon etc...
C'est peut être au ministère de
l’intérieur de faire plus de "turn over "dans ces endroits plus
risqués en terme de délits divers dans le personnel et effectif de police pour
éviter les mauvaises habitudes prises plus facilement, car les tentations sont
immuables à tout homme, et "il ne
faut pas tenter le diable"!
jdeclef09.10.2014 -
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